vendredi 14 mai 2021

ADN or not ADN ?

 L’hérédité existe-t-elle ?

C’est un point de vue.

En lisant « Contact with Space », j’avais compris
- que la soustraction du dor dans le désert ravivait la présence de l’orgone ;
- que cela provoquait le retour le l’humidité ;
- qu’alors les grains de sable (silice) se décomposaient en bions. du fait du changement de tension orgonale favorable (cela faisait un moment que ces grains de sable « cuisaient » au soleil).
Ces bions se développaient ensuite en « algues » qui elles-mêmes permettaient aux graines d’herbes de s’installer et de croître.
C’est comme le lichen (algue plus champignon) sur les rochers qui permet aux graines de se développer.

Bon, ok : mais quid de ces graines ?
L’herbe est un organisme « complexe », je veux dire que son développement (du grain qui passe par la germination, la plantule, etc., pour revenir au grain) DOIT traverser des ÉTAPES successives pour parvenir à sa croissance de sorte à ce qu’il SE réalise. Ces étapes sont (en quelque sorte) « programmées » par une organisation protéique : l’ADN. L’ADN permet la succession des ÉTAPES de croissance de sorte que l’organisme « complexe » parvienne à sa maturité (et profite de la vie, en tant qu’autonome). Rigolo : cette organisation protéique est assise sur QUATRE protéines, ni plus, ni moins, agencées en « séquences ».

Cet ADN contient la forme et les ADAPTATIONS de la forme à son milieu. Si le milieu ne convient pas, il n’y a pas de croissance optimal de la forme, en fonction des possibilités d’adaptation liées au contenu de l’ADN.
Que des protozoaires et autres monocellulaires puissent se développer à partir d’une vésicule bioneuse (composition élémentaire de la vie à partir d’une décomposition de l’organique ou du minéral), cela est possible, car il n’y a pas de DEMANDE d’adaptation à un milieu : ils naissent partout, ils sont partout adaptés, quelque soit le milieu environnemental.
Ce seront plutôt leur « descendants » qui, opportunistes, utiliseront des FORMES adaptées à un milieu en particulier.  C’est ALORS que s’organisera un ADN comme MÉMOIRE de cette adaptation. C’est cette MÉMOIRE d’adaptation qui donne, EN RETOUR, la FORME de la vie.

Mais cet « ADN » ne sera qu’un BROUILLON (un « en gros, ça se passera comme ça ») du phénomène d’adaptation de ce monocellulaire de sorte que l’adaptation laisse une plage de possibilités qui permet à cette forme de vie d’exister dans ce milieu VARIABLE.
Dès lors, on peut penser que cette variabilité d’adaptation nous donne une variabilité des formes, et .... etc.

On a raison de dire que, à partir de vésicules bioneuses, les proto-protozoaires de WR sont variables en fonction du milieu de leur croissance. Ce qui donnera des FORMES différentes suivant leur milieu d’apparition (voir, à ce propos, aussi Antoine Béchamp avec les variations issues des microzymas). Et on constate plusieurs formes résultant de cette décomposition du minéral en organique (les bions). On peut penser aussi à un mélange possible de ces organismes élémentaires, comme initial de l’ADN (mémoire de l’adaptation à un milieu).

La décomposition bioneuse est toujours continue et actuelle, et elle peut donner de nouvelles formes de vie... des adaptations à un milieu variable.

C’est avec un grand plaisir et un immense enchantement que je rêve à la complexité du déroulement du « programme » que contient l’ADN pour arriver à un organisme autonome. Si on coupe cette protéine à un endroit précis, la croissance s’arrête, ou bien il apparaît un AUTRE organisme. Si un fœtus placentaire XY reçoit un choc inopportun, il croitra selon la forme élémentaire (chez les placentaires) d’un XX, mais sans la capacité de reproduction.  La variabilité de l’obéissance d’un organisme à l’ADN correspond à son adaptation à un milieu variable... et il peut y avoir des spécificités d’adaptation à des milieux, nous le savons, même intra-utérin. On retrouve cette souplesse d’adaptation de l’ADN à son environnement dans la multiplicité des variations de la forme pourtant identiques ! et ceci, depuis des millénaires, de sorte qu’on réussisse à identifier un pollen du paléolithique ancien, par exemple à partir du pollen présent.

La « vie » est apparue sur terre, à cause de la concentration de l’eau qui est à l’état de molécules dans le cosmos qui nous entoure. Cette concentration est elle-même le résultat de la tension orgonale de notre planète qui a favorisé la décomposition bioneuse du minéral (lui aussi cosmique) et l’adaptation des VÉSICULES bioneuses à leur milieu... et les variations d’adaptation. Ce développement de la forme de vie que nous ne connaissons qu’à peine, est dû à une pluralité de facteur cosmique tel que notre position géographique par rapport au soleil, et celle de Jupiter, entre autres.
Les éclairs et autres émanations de souffre ont simplement modifié ces adaptations. Ces phénomènes n’ont pas donné naissance à la vie ORGANIQUE... c’est la décomposition bioneuse qui a donné naissance à cette organicité de la vie sur notre planète. Les phénomènes électriques et chimiques sont venues ensuite pour modifier leur adaptation. L’ADN est la mémoire de cette adaptation sous UNE forme ou une AUTRE.

Je comprends dans cette adaptation, la sexualité, la prodigieuse, ensorcelante et merveilleuse sexualité. D’un point de vue strictement mathématique, nous savons tous que la sexualité est l’optimum de l’adaptabilité d’une FORME de vie à un milieu par l’addition d’une division (en deux sexes) de cette forme. Ok. Mais c’est quoi cette « adaptabilité » ? Cette adaptabilité reçoit le PLAISIR DE VIVRE de manière optimale dans un milieu. Si les oiseaux chantent, c’est parce qu’ils sont HEUREUX de vivre dans un milieu auquel ils sont BIEN adaptés. Le bonheur s’exprime dans leur joie, celle de vivre, bien sûr, mais aussi de faire parti du monde, COLLECTIVEMENT, car chacun a besoin d’autrui.

Écoutez le DIALOGUE des mésanges ! Celui des baleines, des singes, des grenouilles, etc. C’est la JOIE de vivre, car on est parfaitement ADAPTÉ à son milieu ; la vie est confiante d’elle-même. Chez la plupart des animaux la douleur est silencieuse. Cette joie envahit de manière SONORE le monde de l’expression de ces animaux. La question de WR (« Quel a été la transformation de la la JOIE de la sexualité en malheur ? ») reste en suspend (quoique j’ai une petite idée de l’origine de cette peur du plaisir, cette « angoisse d’orgasme », de sorte à éviter de percevoir que les animaux n’éprouvent aucune peur au plaisir : ils s’y adonnent pleinement, comme tout ce qu’ils font, d’ailleurs). La sexualité a pour origine une source de joie intense provenant de la division (la vie se DIVISE, elle ne se multiplie pas. Le résultat peut être une addition, pas une multiplication ! La multiplication est une interprétation de la vie) de la vie par le mélange, par l’addition.

Alors que la DIVISION est le principe de l’identique chez le monocellulaire ; le MÉLANGE par ADDITION est le principe du pluricellulaire (pour ensuite procéder à la division – du zygote, de la transe, etc.)... auquel peut aboutir le mélange des ADN, des mémoires d’adaptation.

On parle sans fin de multiplication. C’est une grave erreur d’entendement du monde. Rien dans le monde ne se multiplie : tout se DIVISE, et principalement en DEUX, dans le seul et unique but : la DÉTENTE d’une tension (j’ai calculé cette détente qui correspond à *un moins racine cubique de un demi* – le Nombre d’Isidore). Le nom générique de cette détente est l’orgasme : merci Wilhelm Reich ! La « multiplication » est une vue de l’esprit humain qui a, précisément, perdu la possibilité de détente ; c’est un calcul, une rigidité acquise. Il ne voit plus la division qui est en tout, car il en a peur ; l’humain est le seul animal sur cette planète qui a peur de la détente, de la division succédant à l’addition. Heureusement (« espoirement ») c’est un acquis social.

La Vie du monde ne tend qu’au cycle de la tension et de la détente. Chaque organisme additionne de l'énergie et la *saturation* de cette énergie, aboutissant à une tension, demande une *détente*.
Chez les monocellulaires, cette détente se matérialise par la division (en deux : détente de la tension superficielle = 1 - racine cubique de 0,5). Chez les multicellulaires, cette détente se manifeste dans les convulsions de l'orgasme. Bravo Wilhelm Reich ! Bon... reste à expliquer la croissance, c’est-à-dire, le retard de saturation de l’énergie à des fins de réalisation de l’organisme.

Penser l’ADN comme un procédé d’hérédité peut être une pensée « right-wing ideology » ; mais penser cette molécule comme la MÉMOIRE d’une adaptation, lui redonne tout son sens.

Quant à l’ARN, ce n’est qu’une machine qui obéit aux séquences de l’ADN.
« Séquences » signifie ici : succession impérative, inévitable et indispensable en vue d’obtenir un Tout cohérent et adapté à son milieu. Bien sûr, ce séquençage est toujours en fonctionnement, en marche, car l’organisme autonome doit continuellement interagir avec son environnement affectif, social, sexuel, nutritionnel, intellectuel. Sans fin, il faut transformer, modifier, s’adapter. Au surplus, on pense généralement qu’un organisme possédant un ADN fonctionne SEUL : il n’en est RIEN : il y a cent fois plus de cellules « xénophiles » que celles qui composent l’organisme et encore cent fois plus de virus pour réguler l’équilibre de ces monocellulaires.  

C’est ainsi que j’en suis arrivé à penser que ce qu’on nomme « système immunitaire » n’en est pas précisément un, mais simplement un système de NETTOYAGE de l’organisme, tandis que l’ensemble des organismes – qui ne font pas parti de l’organisme porteur, mais qui lui sont symbiotiques – sont PRÉCISÉMENT le système immunitaire, en ce sens où ce sont eux qui maintiennent l’équilibre de l’organisme en correspondance optimale avec son milieu. Nous vivons en symbiose avec le monde, aidés d’organismes symbiotiques et la santé est le bon équilibre de cette symbiose.

Bien évidemment, les cellules se décomposent en bions et baciles T. Mais, SELON MOI, les bacilles T sont des scories-résidus de la destruction des bactéries, ou des protozoaires. Cependant, j’admets d’emblée ici que les virus sont des organismes vivants, universellement répartis dans le monde entier, le cosmos. Il n’y a pas de « bataille » entre les bactéries et les virus, quand on considère qu’ils forment, À EUX DEUX, un gigantesque organisme dont l’équilibre est fluctuant au regard des processus énergétiques du milieu où ils naissent, vivent et s’éteignent ou meurent.

Si l’organisme pluricellulaire ne possède pas en suffisance d’énergie vitale, il ne peut pas SE NETTOYER des scories issus de la régulation des bactéries par les virus (bactéries qui peuvent aussi provenir de la décomposition bioneuse !), et il garde en lui toutes ces scories de la vie en décomposition qui lui sont du poison. De même, lorsque l’organisme manque d’énergie vitale, l’équilibre entretenu par les virus ne peut pas s’opérer, car ces virus sont trop faibles pour réguler ces bactéries (en fait, les bactéries absorbent toute l’énergie disponible). Ces virus ne peuvent pas se diviser DANS la bactérie en surnombre, par faiblesse. Pour se diviser, il faut (Nombre d’I.) de l’énergie vitale en saturation et MOBILE de sorte à obtenir une détente.

Ce qui signifie que :
- les bions sont issus de la transformation de la matière en excès d’énergie saturée et IMMOBILE pour rester cohérente ; les bions s’agglomèrent sous forme de vésicules (vésicules bioneuses) qui s’entourent, par attraction, d’une membrane adipeuse ; quand ils sont issus de cellules, cette saturation et cet immobilisme de l’énergie provoque leur décomposition ;
- les bactéries sont issues de la transformation énergétique de la matière organique, mais organisées par de l’ADN : une adaptation spécifique mémorisée auto-duplicante de la vésicule bioneuse ; les bactéries sont régulées en nombre par les virus ;
- les virus sont issus de la vie, comme princeps, depuis la nuit des temps.(un peu comme la vitesse de translation de la lumière est la plus grande vitesse qui soit : c’est une donnée de la vie), qui maintiennent un équilibre, une péréquation du surnombre des bactéries. Je pourrais dire que les virus sont les organismes les plus primitifs (au sens temporel et organisationnel) de la vie (l’équilibre précis de cette péréquation demeure pour l’auteur un mystère, encore que des pistes se présentent à lui comme de possibles solutions) ;
- les multicellulaires sont tributaires à part entière du système ci-dessus décrit, tout en étant un ensemble de bactéries commensales et complémentaires comme adaptation à un environnement, historiquement structurés par un ADN – mémoire auto-transmissible ou transmissible par mélange (sexualité) – qui en donne la forme spécifique, organisés autour d’un système de communication (sang, lymphe, nerf) plus à même d’exprimer la force de la vie qui va de tension en détente, etc., la respiration du plaisir !