samedi 10 avril 2021

Virus ou pas virus ? Correspondance

                                                                                 (in english after *****)

 Cher Joel,
Je ne saurai te dire combien tes remarques m'apportent, car il n'est pas facile de trouver un contradicteur aussi expérimenté que toi. La contradiction : c'est cela qui nous fait progresser, car elle nous confronte à ce à quoi on n'a pas pensé et qu'autrui a pensé.
Je te remercie donc pour tes remarques. Et j'espère que les miennes pourront aussi donner une approche plus gaie de la vie !
Je reprends point par point.

[il s'agit d'une réponse à ce message-ci]

Une hypothèse intéressante. Mais elle dépend de plusieurs hypothèses.

( 1 ) Les "maladies" existent-elles ? Ou bien n'existe-t-il que la SANTÉ, et toutes les "maladies" ne sont que des SYMPTÔMES d'un manque de vitalité sous-jacent ? Le concept de maladies différentes n'est-il qu'une construction intellectuelle ?

Nous sommes tout à fait d’accord qu’il existe une homéostasie pour chaque élément vivant, car il est un tout en soi qui possède tous éléments nécessaires et suffisants pour vivre à sa façon, selon sa constitution. On peut donc considérer les déséquilibres, et principalement leur manifestation comme un symptôme de la perte de cette homéostasie.
C’est l’interprétation des signes de la perte de l’homéostasie qui peut faire l’objet d’interprétations différentes, suivant la base sur laquelle on comprend la vie. Quand il y a un déséquilibre, les symptômes du déséquilibre sont là.
Il a été remarqué depuis assez longtemps, un faisceau de signes pour *situer* la source du déséquilibre. Effectivement, à nouveau, l’interprétation de ce faisceau donne lieu à une tentative de comprendre le désordre, ce qu’on nomme « maladie ».
Ainsi, la maladie n’est pas une « explication » du désordre, mais seulement une description de ce dernier.

( 2 ) Les virus existent-ils ? Ou est-il possible que ce que l'on appelle virus soit en réalité des produits de dégradation autogènes, des débris cellulaires, formés à partir de cellules mortes ou mourantes lorsqu'une cellule est tuée par une attaque chimique ou électromagnétique ?

Selon *mon* entendement du monde, de la vie, les multicellulaires dont nous faisons parti, sont une organisation singulière d’une multitude de cellules qui, au fll de la complexification de leur assemble et de leur assemblage, se sont de plus en plus spécialisées pour une tâche de sorte que l’ensemble de cet amalgame de cellules, reste cohérent, mobile, en relation constant avec son environnement, sociaux, puisse persister à vivre *fonctionnellement*.
Dans *mon* entendement du monde, si les mono-cellulaires ne trouvent pas de limite à leur développement (elles se divisent en deux en fonction de leur tension et de celle de leur environnement), le monde serait *submergé* par ces bactéries et autres mono-cellualires. Pour *réguler* ce nombre, la nature a trouvé le virus qui n’agit spécifiquement (bien qu’à l’origine relativement polyvalent) sur une sorte de bactéries. De sorte que le nombre de bactéries est maintenu à un équilibre fluctuant, mais restant généralement dans le cadre de la santé, c’est-à-dire, en tant que contribution à la santé de la vie.
Les bactéries se nourrissent les unes des autres, mais leur *surnombre* est régulé par des organismes nommés « virus ». On a remarqué qu’à la différence des bactéries, ces virus possèdent ou bien un code ADN ou bien un code ARN, de sorte qu’ils ne puissent se développer SEULS : ils ont besoin des bactéries pour ce faire.
Ici, nous ne sommes pas à l’orée de la matière vivante, nous sommes dans le cadre de la matière achevée : les bions de WR ne possèdent pas d’ADN ou d’ARN, et sont vivants. Ce n’est que lorsqu’ils s’organisent en tant que protozoaires qu’ils fabriquent un ADN. L’ADN a deux fonctions : reproduire le même sur une base, et lui permettre de s’adapter à son environnement.

Ainsi, pour moi, les virus existent et je peux en expliquer l’existence.

Quant aux débris que l’on observe, ils sont les produits, les résidus de cette régulation des bactéries par les virus. Certains signes de perte d’homéostasie d’un multi-cellualire (un organisme) sont perceptibles, car cet organisme possède un système de nettoyage. On confond ce système de nettoyage avec une immunité de l’organisme à certaines bactéries ou virus. Non : ce système ne fait que nettoyer les déchets des bactéries régulées par le virus, rien de plus. Si on persiste à chercher un système « immunitaire » (c’est à dire : qui protège) on le trouvera dans les virus, nulle part ailleurs.
En ce sens, la maladie est un déséquilibre entre la *puissance vitale* du virus et le surnombre de bactéries ! La vitalité des bactérie est supérieure  à celle des virus qui en régule le surnombre : telle est la maladie.
Mais la maladie est aussi une déficience de la vitalité du système de nettoyage de l’organisme. L’organisme qui ne réussit pas à se nettoyer, s’encrasse. Il est encrassé par les débris issus de la régulation des bactéries par les virus. Cet encrassement est corollaire à la perte de vitalité générale de cet organisme. Un coup d’accumulateur d’orgone recharge l’organisme : il se décrasse des débris par un regain de force de son système de nettoyage (qu’on nomme « immunitaire ») et les virus retrouvent suffisamment de force pour finalement réguler le *surnombre* de bactéries.

Le sujet des sources de dévitalisation de l’organisme est important. Je pense comme toi que les ondes électromagnétiques, les pollutions chimiques et radioactives, le bruit, sont des facteurs graves d’affaiblissement de la vitalité d’un organisme.
Selon mon explication du monde, le principe de vitalité s’exerce essentiellement sur les virus. Quand un organisme est affaibli, c’est que ses virus (qui régulent le *surnombre* des bactéries) sont affaiblis et ne parviennent plus à réguler le surnombre des bactéries : ils sont dévitalisés., tout comme le système de nettoyage de cet organisme.


( 3 ) Si les maladies existent, le modèle de symptôme appelé covidé est-il l'un d'entre eux ? Ou est-ce un artefact statistique créé dans l'esprit des gens par la manipulation de statistiques ?

Le « modèle » de la covid-19 est un faisceau de signes de déséquilibre de l’homéostasie.
Effectivement, les *gouvernements*, à fin de manipulation des masses en rébellion, manipulent et falsifient l’ensemble des chiffres relatifs à cette « maladie ».  Le mode de vie qu’implique le mode de production et de distribution des objets, leur *surnombre* (et leur justification) devient intolérable, à la fois pour les gens et à la fois pour la planète.
Sinon, oui, il y a un faisceaux de signes congruent aboutissant à la nomination d’une maladie : la covid-19.

( 4 ) Si la covid existe, est-elle causée par un virus ? Ou pourrait-elle être due à quelque chose d'autre, comme une pollution chimique de l'air ou une pollution électrique, par exemple ?

Selon ce que j’ai écris plus haut, la maladie covid-19 n’est pas due à un virus, mais à un *surnombre* de bactéries que le virus en question tente de réguler. Les diverses pollutions sont de la partie, en ceci qu’elles affaiblissent la vitalité de l’organisme.

( 5 ) Si la covidie existe et qu'elle est causée par un virus, est-elle contagieuse ? Se transmet-elle d'une personne à l'autre ? Ou est-elle due à une cause environnementale indépendante du contact avec une personne atteinte ?

De part leur *fonction* les virus sont omiprésents et ubiquitaires. Ils s’adaptent très rapidement à une bactérie en surnombre. Dans le cas de la covid-19, j’ai pensé que ce *surnombre* de bactéries dans l’organisme pouvait être (j’en suis quasiment certain) les mitochondries qui se sont développées (en surnombre, donc) du fait de l’excès de sucre à transformer en énergie. Car la mitochondrie est une *bactérie* commensale aux cellules des organismes complexes.
Ce virus n’est donc transmissible que par opportunité, mais du fait de son omniprésence, il ne sert à rien de s’en protéger. Il semblerait même qu’on l’ait on soi, du simple fait de vivre dans un environnement, et du simple fait que les virus *s’adaptent * (ils « varient »).
La question sera plutôt : quelle est l’efficacité de ce virus à réguler le surnombre de mitochondries. On a remarqué un « orage cytokinique » qui détruit (nettoie) tout ce qui est en excès d’ATP. Cela signifie que le virus lui-même se sert du sucre pour transformer ce sucre en énergie, en ATP (c’est la fonction ARN et ce virus est un virus ARN). Et des thromboses : les hématites qui contiennent en surnombre de mitochondries éclatent et libère la fibrine, le coagulant naturel du sang.

À propos de l’environnement, j’y ai touché un mot plus haut, comme facteur de dévitalisation, c’est-à-dire, à la fois du système de nettoyage ( « immunitaire ») et à la fois la vitalité des virus vis-à-vis de celle des bactéries.

( 6 ) Si toutes les conditions ci-dessus sont réunies, si la covidie est une maladie réelle, causée par un virus et se transmettant par contact, est-elle dangereuse ? Ou n'est-elle un danger grave qu'en présence d'un ou plusieurs cofacteurs ? Le virus, s'il existe, est-il simplement opportuniste et peu susceptible de provoquer une maladie chez une personne qui n'est pas déjà en mauvaise santé ?
En d'autres termes, quelqu'un est-il déjà mort du seul covidium ? Sans aucune autre cause de décès ?

Oui, la covidie présente un ensemble de signes indiquant une dérèglement ou un déséquibilbre de l’homéostasie. Cet ensemble lui donne son nom et ses spécificités.

En d'autres termes, quelqu'un est-il déjà mort du seul covidium ? Sans aucune autre cause de décès ?

On ne meurt pas du virus, mais du surnombre de bactéries. C’est là l’originalité de mon approche. Un nombre important de « virus » (genre sras-cov 2) *indique* l’importance de la bataille que livre le virus face au *surnombre* des mitochondries.

Alors, alors... y a-t-il une solution à la covid-19 ? Si je me suis bien exprimé, on voit que la solution EST le virus, mais qu’on ignore totalement (car on est trop âpre à l’appât du gain) comment l’utiliser !

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Mais je dois avouer que la théorie des virus comme régulateur du surnombre de bactéries pêche en un point assez mystérieux : comment et quand donc ces virus "savent-ils" que, finalement, le nombre de bactéries est optimal (car il ne s'agit pas d'exterminer les bactéries qui sont très utiles ; seul leur surnombre est nocif)....  Quand donc, les virus (si ma théorie est bonne) savent ou connaissent qu'il leur faut cesser leur ouvrage ? Oui, j'avoue que c'est pour moi un grand mystère.
Mais il y a deux lois humaines, issues de la dialectique de Hegel qui peuvent m'aider sur ce sujet.
La première est celle qui évoque le changement de quantité en qualité – et, pourquoi pas, la gâchette qui déclenche ce changement – ; et la seconde qui édicte qu'il faut toujours un certain temps pour passer d'un état à un autre.
Mais je n'ai pas peur des mystères : depuis le tout début de ma connaissance des bions, la question qui me trottait dans la tête était celle-ci : mais comment donc les bions s'y prennent-ils pour créer une membrane. Ce pourrait bien être une membrane lipidique, finalement, non ?

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Dear Joel,
I can't tell you how much your remarks bring to me, because it is not easy to find a contradiction as experienced as you are. Contradiction is what makes us progress, because it confronts us with what we have not thought of and that others have thought of.
So I thank you for your remarks. And I hope that mine will also give a more cheerful approach to life!
I'll take it point by point.

[this is a response to this message].

An interesting hypothesis. But it depends on several assumptions.

( 1 ) Do "diseases" exist? Or is there only HEALTH, and all "diseases" are only SYMPTOMS of one underlying lack odf vitality? Is the entire concept of different diseases only an intellectual construct?

We fully agree that there is a homeostasis for each living element, because it is a whole in itself that has all the necessary and sufficient elements to live in its own way, according to its constitution. We can therefore consider imbalances, and mainly their manifestation, as a symptom of the loss of this homeostasis.
It is the interpretation of the signs of the loss of homeostasis that can be subject to different interpretations, depending on the basis on which we understand life. When there is an imbalance, the symptoms of imbalance are there.
It has been noticed for quite a long time, a cluster of signs to *situate* the source of the imbalance. Indeed, once again, the interpretation of this cluster gives rise to an attempt to understand the disorder, what we call "disease".
Thus, the disease is not an "explanation" of the disorder, but only a description of it.


( 2 ) Do viruses exist? Or is it possioble that what are called viruses are really autogenic, breakdown products, cellular debris, formed from dead or dying cells when a cell is killed by some chemical or electromagnetic attack?

According to *my* understanding of the world, of life, the multicellulars, of which we are a part, are a singular organization of a multitude of cells which, as their assembly becomes more complex, have become more and more specialized for a task so that the whole of this amalgam of cells remains coherent, mobile, in constant relation with its environment, social, and can persist to live *functionally*.
In *my* understanding of the world, if the mono-cellulars do not find a limit to their development (they divide in two according to their tension and that of their environment), the world would be *submerged* by these bacteria and other mono-cellulars. To *regulate* this number, nature found the virus which acts specifically (although originally relatively versatile) on one kind of bacteria. So that the number of bacteria is maintained at a fluctuating balance, but generally remaining within the framework of health, that is, as a contribution to the health of life.
Bacteria feed on each other, but their *number* is regulated by organisms called "viruses". It has been noted that unlike bacteria, these viruses have either a DNA code or an RNA code, so that they cannot develop ALONE: they need bacteria to do so.
Here, we are not on the verge of living matter, we are in the context of completed matter: the bions of WR do not possess DNA or RNA, and are alive. It is only when they organize themselves as protozoa that they make DNA. DNA has two functions: to reproduce the same on a base, and to allow it to adapt to its environment.

Thus, for me, viruses exist and I can explain their existence.

As for the debris that we observe, they are the products, the residues of this regulation of bacteria by viruses. Some signs of loss of homeostasis of a multi-cellular (an organism) are perceptible, because this organism has a cleaning system. This cleansing system is mistaken for an immunity of the organism to certain bacteria or viruses. No: this system only cleans the waste products of bacteria regulated by the virus, nothing more. If we persist in looking for an "immune" system (that is to say: one that protects) we will find it in viruses, nowhere else.
In this sense, the disease is an imbalance between the *vital power* of the virus and the excess of bacteria! The vitality of the bacteria is greater than that of the virus, which regulates the excess of bacteria: this is the disease.
But the disease is also a deficiency of the vitality of the cleaning system of the organism. The organism that does not succeed in cleaning itself, gets clogged. It is clogged with debris from the regulation of bacteria by viruses. This clogging is corollary to the general loss of vitality of this organism. A shot of orgone accumulator recharges the organism: it cleans itself of debris by a renewed strength of its cleaning system (which we call "immune") and the viruses find enough strength to finally regulate the *overflow* of bacteria.

The subject of the sources of devitalization of the body is important. I think, as you do, that electromagnetic waves, chemical and radioactive pollution, and noise are serious factors that weaken the vitality of an organism.
According to my explanation of the world, the principle of vitality is essentially exercised on viruses. When an organism is weakened, it is because its viruses (which regulate the *over-number* of bacteria) are weakened and are no longer able to regulate the excess of bacteria: they are devitalized, just like the cleaning system of this organism.



( 3 ) If diseases exist, is the symptom-pattern called covid one of them? Or is it a statistical artifact created in the minds of people by manipulation of statistics?

The "model" of covid-19 is a cluster of signs of imbalance of homeostasis.
Indeed, the *governments*, in order to manipulate the rebellious masses, manipulate and falsify all the figures related to this "disease".  The way of life implied by the mode of production and distribution of objects, their *over-number* (and their justification) becomes intolerable, both for the people and for the planet.
Otherwise, yes, there is a congruent set of signs leading to the nomination of a disease: covid-19.



( 4 ) If covid exists, is it caused by a virus? Or could it be due to something else, such as some chemical air pollution or some electrical pollution, for example?

According to what I wrote above, the covid-19 disease is not due to a virus, but to a *over-number* of bacteria that the virus in question tries to regulate. The various pollutions are part of it, in that they weaken the vitality of the organism.



( 5 ) If covid exists and is ccaused by a virus, is it contagious? Does it pass from one person to another? Or is it due to some environmental cause that is independent of contact with anyone who has it?

Because of their *function*, viruses are omnipresent and ubiquitous. They adapt very quickly to a bacterium in excess. In the case of covid-19, I thought that this *overflow* of bacteria in the organism could be (I'm almost sure) the mitochondria which have developed (in excess, therefore) because of the excess of sugar to be transformed into energy. Because the mitochondria is a commensal *bacteria* in the cells of complex organisms.
This virus is therefore only transmissible by opportunity, but because of its omnipresence, there is no point in protecting yourself from it. It would even seem that we have it on ourselves, simply because we live in an environment, and because viruses *adapt* (they "vary").
The question will be rather: how effective is this virus in regulating the excess of mitochondria. A "cytokine storm" has been noticed that destroys (cleans up) everything that is in excess of ATP. This means that the virus itself uses sugar to transform this sugar into energy, into ATP (this is the RNA function and this virus is an RNA virus). And thrombosis: hematites that contain too many mitochondria burst and release fibrin, the natural blood coagulant.

About the environment, I touched on it above, as a factor of devitalization, that is, both the cleaning system ("immune") and the vitality of viruses vis-à-vis that of bacteria.



( 6 ) If all the above conditions are met, if covid is a real disease, is caused by a virus, and is spread via contact, is it dangerous? Or is it only a serious danger in the presense of one or more co-factors? Is the virus, if there is one, merely oportunistic and unlikely to cause illness in a person not already in poor health?
In other words, has anyone ever died from covidium alone? Without any other cause of death?

In other words, has anybody ever died from covid ALONE? Without any other contributing cause of death?

Yes, covidia presents a set of signs indicating a disturbance or a desequilibrium of homeostasis. This set gives it its name and its specificities.

One does not die from the virus, but from the excess of bacteria. This is the originality of my approach. A large number of "viruses" (like sras-cov 2) *indicates* the importance of the battle the virus is fighting against the *overcrowding* of mitochondria.

So, then... is there a solution to covid-19? If I've expressed myself correctly, we see that the solution IS the virus, but we have no idea (because we are too too keen on the lure of gain) how to use it!

++++++++

But I must admit that the theory of viruses as regulators of the excess of bacteria is mysterious in one respect: how and when do these viruses "know" that, in the end, the number of bacteria is optimal (because it is not a question of exterminating the bacteria which are very useful; only their excess is harmful) ....  When then, do the viruses (if my theory is correct) know or know that they must stop their work? Yes, I confess that this is a great mystery to me.
But there are two human laws, coming from Hegel's dialectic, which can help me on this subject.
The first one is the one that evokes the change from quantity to quality - and, why not, the trigger that triggers this change -; and the second one that states that it always takes a certain time to go from one state to another.
But I am not afraid of mysteries: since the very beginning of my knowledge of bions, the question that kept running through my head was this: how do bions create a membrane? It could be a lipid membrane after all, couldn't it?

mercredi 7 avril 2021

Cessons de prendre les virus pour des cons

[ in english more down, after *****]

 

Ce qui est dit sur *l'adaptation* du virus (ses "variants") me semble tout à fait pertinent.

Et continue de germer en moi cette idée que ce "virus" a une utilité biologique – une *fonction* –, pour qu'il varie tant, qu'il persiste à trouver le moyen "d'exécuter son ouvrage". Et que, de fait, il s'attaque à (il cherche à *réguler*, comme TOUS les virus de cette planète) un *surnombre* de bactéries.

Et il m’est apparu ce fait que je ne connaissais pas ... que ces "bactéries" seraient les mitochondries : ces bactéries commensales indispensables à notre existence qui sont présentent dans chacune de nos cellules. Pourquoi ?

Nos cellules contiennent un *nombre variable* de mitochondries. Je ne suis pas arrivé précisément à connaître les facteurs de cette variabilité. Mais si je pense, je me dis que *moins* UNE seule mitochondrie réussit à transformer les sucres en énergie, *plus* il faut de mitochondries. Hihihi. Et le « surnombre » serait celui-ci...  celui des mitochondries dans nos cellules.

Ainsi, chez les gens qui ont un problème de transformation de sucres en ATP, le virus vient réguler, en pénétrant dans une cellule affaiblie, le *surnombre* de ces mitochondries.

Seulement, le problème reste : celui des sucres et de leur transformation. Arrive l’orage cytokinique, etc., car le virus utilise les sucres non-transformés par les mitochondries, comme je l’avais supposé l’année dernière, en ré-utilisant l’ARN  des ( ! ) mitochondries pour les transformer en ATP dont les cytokines sont friands comme facteur de développement !

Le phénomène de « moins d’efficience conduit à un surnombre » mène à un problème de *place intracellulaire* où trop de mitochondries asphyxie la cellule... qui s’affaiblit.

Le genre de toutes les maladies qui est co-facteur de l'émergence de ce virus, est précisément l'amoindrissement du *fonctionnement* des mitochondries : cancer, d'abord, ensuite, obésité, diabètes, etc., en ce sens qu'elles ne savent plus transformer correctement, les sucres en ATP, en énergie.

Outre, donc, un changement de paradigme chez le malade des sucres, qui doit modifier sa manière de vivre, il existe en plus, des traitements pour cet excès de mitochondries, en ce sens qu’elles restent efficientes suffisamment pour ne pas *étouffer par leur nombre* la cellule. Mais, dans l’immédiat, on ne peut pas « guérir » les gens atteint par ce virus et ses variants. Il faut donc (comme le font les médecins sensés) calmer l’orage cytokinique et calmer le sang qui se coagule... et attendre.

Mais il est certain que les gens doivent SE changer pour percevoir le monde non plus comme une accumulation de sucres, mais comme une dépense d’énergie *gratuite* de la vie qui comprend comment se réguler (bon je suis un peu moral en disant cela, mais quoi ?).

En conséquence de tout ceci, on peut, effectivement, être « porteur » du SRAS-COV 2, sans que cela soit un inconvénient ; et on peut être détecté au PCR sans qu’on soit malade ; et on peut tout faire pour éviter son contact que cela sera inutile. Ce virus a une *fonction* et selon sa nature, il fonctionne ! On ne peut pas « éradiquer » un virus, comme on met un délinquant en prison (et d’ailleurs, est-ce la meilleure des solutions ? e vaut-il pas mieux mettre un politicien ?). Au surplus, comme *fonction*, ce virus est toujours de passage.

Cette société de malades affectifs a perdu tout sens de ce qu’est un *fonctionnement*, c’est-à-dire, l’intégration, l’intrication (ou l’imbrication) de la régulation de la vie par elle-même. Elle a perdu la notion de temps (« On est là pour gagner du temps », dit opportunément le Dr Fouché), et elle a égaré en conséquence la force du temps., sinon que comme briseur de grèves. Le temps n’est qu’une marchandise comme une autre pour le capitalisme ; le temps serait même, selon certains, la marchandise princeps du capital.  On voit qu’à ne rien y comprendre, on égare tout le monde et on pourrit la globalité et la régulation du monde, en affirmant qu’on y comprend rien.


Pour ce qui est de la coagulation du sang : comme le reste, il y a des mitochondries dans les hématites. Comme le virus sras-cov 2 s'occupe du surplus de mitochondries, il abime en même temps l'hématite, la cellule porteuse des mitochondries. La cellule éclate et libère de la fibrine qui est l’élément de la coagulation.....
bon... c'est peut-être un peu tiré par les cheveux, mais que cela se passe au niveau des poumons, c'est que c'est l'endroit où les hématites – qui ont trop de mitochondries – 'fonctionnent' (selon 'leur' fonction qui est de transporter CO2 et oxygène) "le plus mal".

De plus, quand ils parlent du système immunitaire, ils se trompent, à mon avis. Celui-ci ne protège pas des "microbes et autres virus", mais il a la fonction de nettoyer, et uniquement nettoyer des scories des "batailles" entre les virus et les bactéries. Les virus sont les régulateurs du surnombre des bactéries.
Et dans la covid, il s'agit de la mitochondries et son *surnombre* ici et là.

[Je n'avais pas vérifié mon idée, et j'ai cherché sur le web. J'ai trouvé ceci : « Ainsi, l'excès de graisse entraîne des mitochondries plus nombreuses mais mitochondries déformées et qui ne produisent pas l’énergie nécessaire aux cellules. »]


Un vaccin ne fera donc rien contre une maladie civilisationnelle : obésité, diabète, cancer, cœur et vaisseaux sanguins, poumons, etc. (maladies du sucre et de l’expectation – siting on the spot). Et on risque fort d'abimer ceux qui ne lui obéissent pas avec autant d'ardeur... ce qui ajoute à la maladie civilisationnelle, vous comprenez ?

Pour la nature, le virus sras-cov2 est une solution, c'est-à-dire la résolution d'un problème, pas le problème lui-même.

En fait, ce virus était présent (tel quel ou demandant une ou deux variations) dans la nature bien avant qu'il ne surgisse pour résoudre un problème que soulève la civilisation humaine, avec ses maladies humaines.... civilisationnelles !

Et comme c'est précisément cette civilisation qui excite l'existence de ce virus, cette civilisation - ou plutôt : ceux qui la créent... le capitalisme qui cache derrière sont petit doigt le patriarcat en mouvement – ne peut pas comprendre comment s'en guérir.... La *gestion* actuelle de cette maladie finalement bénigne pour le commun des mortels, est désastreuse, comme la gestion générale de la vie.

Et elle emporte tout le monde avec elle, même ceux qui y participent de loin !

Prenons soin de nous !


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What is said about the *adaptation* of the virus (its "variants") seems to me quite relevant.

And I keep thinking that this "virus" has a biological utility - a *function* -, so that it varies so much, that it persists in finding a way to "do its work". And that, in fact, it attacks (it tries to *regulate*, like ALL the viruses on this planet) a *superabundance* of bacteria.

And it occurred to me that I didn't know ... that these "bacteria" would be the mitochondria: those commensal bacteria that are indispensable to our existence and that are present in each of our cells. Why?

Our cells contain a *varying* number of mitochondria. I have not been able to find out precisely what factors account for this variability. But if I think about it, I figure that *less* than ONE mitochondrion is able to convert sugars into energy, *more* mitochondria are needed. Hihihi. And the "more" would be this... the superabundance of mitochondria in our cells.

So, in people who have a problem converting sugars into ATP, the virus regulates the *overcrowding* of these mitochondria by penetrating a weakened cell.

But the problem remains: this about sugars and their transformation. Then comes the cytokine storm, etc., because the virus uses the sugars not transformed by the mitochondria, as I had supposed last year, by re-using the RNA of the superabundance (but impotent !) mitochondria to transform them into ATP which the cytokines are fond of as a development factor!

The phenomenon of "less efficiency leads to more" leads to an *intracellular space* problem where too many mitochondria suffocate the cell... which weakens.

The kind of diseases that are co-factors of the emergence of this virus is precisely the reduction of the *functioning* of mitochondria: first cancer, then obesity, diabetes, etc., in the sense that they no longer know how to transform sugars into ATP, into energy.

In addition to a paradigm shift in the patient's way of life, there are also treatments for this excess of mitochondria, in the sense that they remain efficient enough not to *stifle the cell by their number*. But, in the immediate future, we cannot "cure" people affected by this virus and its variants. So we must (as sensible doctors do) calm the cytokine storm and calm the clotting blood... and wait.

But surely people need to change-themself to perceive the world no longer as an accumulation of sugars, but as a *free* expenditure of energy from life that understands how to regulate itself (well I'm being a bit moral in saying this, but what?).

As a consequence of all this, one can, indeed, be a "carrier" of SARS-COV 2, without this being an inconvenience; and one can be detected by PCR without being sick; and one can do everything to avoid its contact that it will be useless. This virus has a *function* and according to its nature, it works! We cannot "eradicate" a virus, as we would put a delinquent in prison (and besides, is it the best solution? Wouldn't it be better to put a politician in jail?). Moreover, as a *function*, this virus is always in transit.

This society of emotionally ill people has lost all sense of what a *function* is, that is, the integration, the interweaving (or the interlocking) of the regulation of life by itself. It has lost the notion of time ("We are here to save time", says Dr. Fouché opportunely), and it has consequently mislaid the force of time, if not as a strike breaker. Time is only a commodity like any other for capitalism; time would even be, according to some, the princeps merchandise of capital.  We see that by not understanding anything about it, we lead everyone astray and we spoil the globality and the regulation of the world, by claiming that we understand nothing about it.


As for blood coagulation: like the rest, there are mitochondria in the hematites. As the sras-cov 2 virus takes care of the surplus of mitochondria, it damages at the same time the hematite, the cell carrying the mitochondria. The cell bursts and releases fibrin which is the element of coagulation.....
well... it may be a bit far-fetched, but the fact that it happens in the lungs means that this is the place where the hematites - which have too many mitochondria - 'function' (according to 'their' function, which is to transport CO2 and oxygen) 'the worst'.

Moreover, when they talk about the immune system, they are wrong, in my opinion. The immune system does not protect against "microbes and other viruses", but it has the function of cleaning, and only cleaning, the slag from the "battles" between viruses and bacteria. The viruses are the regulators of the bacteria surplus.
And in the covid, it is the mitochondria and its *overcrowding* here and there.



I hadn't checked my idea, and I looked it up on the web. I found this: "Thus, excess fat leads to more mitochondria but deformed mitochondria that do not produce the energy needed by cells. "]


So a vaccine will do nothing against civilizational disease: obesity, diabetes, cancer, heart and blood vessels, lungs, etc. (diseases of sugar and expectation - siting on the spot). And there is a great risk of damaging those who do not obey it so ardently... which adds to the civilizational disease, you understand?

For nature, the sras-cov2 virus is a solution, i.e. the resolution of a problem, not the problem itself.

In fact, this virus was present (as it is or with one or two variations) in nature long before it appeared to solve a problem raised by human civilization, with its human diseases.... civilization's!

And as it is precisely this civilization that excites the existence of this virus, this civilization - or rather: those who create it... capitalism that hides behind its little finger the patriarchy in motion - cannot understand how to cure itself.... The current *management* of this disease, ultimately benign for the common man, is disastrous, as is the general management of life.

And it is taking everyone with it, even those who participate from afar!

Take care of us !

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