lundi 6 décembre 2021

L'aventure comme perturbation du bureaucrate

En dehors de quelques essais philosophiques, *tous* les récits – dactylographiés ou non, et même ceux d’Aristote – n’exposent qu’une *aventure* particulière, au cours de laquelle se déroule comme un tapis d’incertitudes et de courage.

Bonasse, le clampin du coin se demande de quels rets il devra se soustraire pour recouvrer sa liberté, encore que cette « liberté » bien qu’en aucun cas, celle-ci soit définie selon son entendement. Je comprends son entendement, et je puis assurer que l’à-propos ne consiste qu’en celle de *se mouvoir selon son gré*, de même d’émettre de ces sortes d’idées dont le bureaucrate du coin n’a aucune idée, sinon que d’en enchaîner toute gesticulation qui l’excède.

Il est très possible que lorsqu’on évoque ce « courage », il ne s’agit en fait que d’un laisser-aller au temps, en ceci qu’on est dans la majore partie de ces cas où nous devons décider de quelque chose, dans celui où nous ne pouvons ne choisir que *ce qui vient*, et nous y abandonner, « comme » par fatalisme qui peut aussi bien être une soumission aux événements, ou encore une forme de résignation. Dans l’aventure, ces pérégrinations de la compréhension de ce qu’on est en train de vivre n’ont aucun sens : elles ne sont pas *compréhensibles* ! Car le mouvement de l’aventure ne vous permet pas de déterminer de l’absolu de votre vécu : vous *devez* le vivre, avant toute chose avant de le déterminer.

Dès lors, pour l’avoir vécu, cette sorte d’impuissance devant les événements qui se présentent à vous comme autant de perturbations au *quotidien* de votre existence, ne se transige que par le revenu de n’en avoir pas accepté la réalité. C’est peu correct.

Socrate prédispose à rien moins qu’une *finitude* de cette aventure : il prédispose que toute aventure est déjà prédéterminée : il a tord. Dirait-on une « quête » ? J’en doute, car d’une quête, nous sombrons à nouveau sur les racines de la *narration*, c’est-à-dire de ces sortes d’images verbales  correspondant à « ce qui a besoin d’être énoncé ». L’aventure n’éprouve pas le besoin de s’énoncer, comme implicatif vécu, situé en dehors de tout sens établi de l’entendement du monde : l’aventure est immorale.

Quand on s’insère dans une aventure, on s’y confronte : le devoir de survie est l’adaptation aux circonstances. Il n’y a pas de *choix* : on doit s’adapter au temps *immédiatement* vécu, et à ces circonstances qui vous proposent d’aléas, et mieux, au cas où vous vous y abandonneriez, vous jouiriez de la vie en tant que *mouvement* de la vie. Ne nous y trompons pas : ce n’est qu’au cours du temps de l’aventure que la structure à laquelle nous sommes habitués – ou dressés – s’impose à vous comme intransigeance factuelle à ce monde dans lequel et duquel nous nous devons de vivre, alors que vous devez vous adapter à ces circonstances inédites comme brutalité de votre adaptation.

Il appert que la liberté ne transige de rien : elle *est* selon l’aventure de son vécu.

J’adore la SF en ceci que son imaginaire qui formule une aventure en dehors de tout contexte social, je veux dire, susceptiblement présent, s’envisage comme accessible.

Le récit n’a d’usage que l’humain et ses excitations. Certains auteurs savent mieux m’exciter que d’autres, et, chez eux, la source de ces excitations est identifiable : la sexualité et ses encombrements.

On dit que le premier conte (racontar ?) est celui de Gilgamesh, mais non. Le premier racontar est celui qui précise la domination de l’homme sur la femme en cet aspect sélectionné que le sperme la « féconde » (vers 7 000 avant nous) : nous avons (de Marseille) qu’il n’en est rien. Ce racontar stipule et certifie que ce bêtasse de mâle s’est complètement détaché de la jouissance du vivre quand il traverse l’orgasme : il se formule selon un simple acte éjaculatoire, sinon lointain (à quoi serviraient alors les *putes* ?) de jouissance. S’il a un si gros ventre, c’est qu’il est maigre.

Mais quand je parle de jouissance, je parle non émasculé d’éjaculation mâle. Il est indéniable que l’éjaculation chez l’homme est bouleversante (si tant est qu’il lui reste cette perception de son vécu, disons de l’ordre d’environ 50% de NON-bandant – je tiens à mettre en relation la proportion des choses– et qu’elle ne puit pas se retrouver écartée d’un sentiment « féministe », comme d’une castration. Le jeu féminin consiste à affirmer que quand il s’affirme dépourvu de sa propre puissance comme relation à l’autre, il se révèle (je suis désolé) peu capable de s'y accommoder et de rejoindre l'autre.

J’ai brûlé mon sujet : j’ai abruptement émis que le désordre de ce monde ne consistait qu’en l’aventure amoureuse. Oui, c’est cela. À moins que, dans ce spectacle, cette « aventure » ne se sclérose dans un amalgame (je ne signifie rien de négatif) duquel rien ne changera, sinon la corruption de ses énoncés... ce qu’elle ne voudra bien évidemment pas (jamais, dans le plurissime des plaisirs) entamer.

Mais j’ai affaire à de cas rares et très particuliers. Ce dont je parle avec insistance ici est ce *manque de concordance*, d’harmonie, de partage, de solidarité et d’amitié profonde... je veux dire, sexuée. Obligation ? Imposition ? Ordre ? Loi ? Non... concordance des émotions et fluidité des événements.

Anecdote.
Évoquer ce mot « aventure » revient à soulever un phénomène, en qui trouver un sens, aboutissant à cette sorte de chose que je puis retrouver, de loin, dans l’ensemble de ces productions cinématographiques, littéraires (romans policiers, SF, amoureuses) qui se destinent à distraire de leur quotidien des gens de la pauvreté de leur existence. Ces gens qui s’abreuvent (jusqu’aux mensonges sanitaires actuels), ces hurons d’apôtres, se résignent à sombrer dans leur propre sombritude. C’est bête, oui, mais c’est actuellement l’humain. Et (perso) c’est terrifiant.

Être une simple affaire de chiotte qui, si elle se percevait en conscience, se résoudrait hyper-facilement par le chiotte à compost, l’aventure humaine ne serait en ceci si perceptible que par ceux qui s’intéressent et s’y abandonnent.

Mais non, qui s’y abandonne (en dehors des femmes – bénies de leur sexe), l’obstruction à laquelle nous devons faire face, est telle qu’elle relève d’un suprême qui nous impose sa °rude° réalité, où à l’évoquer ne résoudra rien, sinon à ce mot « caca nerveux » que toute injonction tend à tout nous faire oublier.

L’aventure n’est pas donnée à tous, bien que tous y soient éligibles. Pour s’y fondre, chacun doit abandonner l’antériorité de ses commandements, du simple fait que les injonctions qu’elle rencontre, deviennent obsolètes face à l’aléa (a-t-on sonné qu’un aléa est inattendu ?) de la vie, ses imprévus paradoxaux sont votre possile affirmation de vous dans leurs  ? C’est cet aspect de la vie qui me plait dans la vie : ses « injonctions » paradoxales en ce sens où, rien qui soit de la vie s’y propose comme paradoxale ou injonctif, sinon que ce choix que nous adoptons comme représentation de ce ce que vivions. Car plus cet aléatoire qui se présente à vous, s’impose comme une image nouvelle de ce que vous vivez et expliquez dans cette *syntaxe* apparue de votre vie, et moins les apparences (ces explications de l’existant) trouvent une vérité apte à correspondre à votre vécu. Mais n’est-ce pas là le lot du dissident ?

Quand on « part » à l’aventure, on doit tout lâcher : tout doit être oublier, sinon que sa virginité – homme ou femme.  Le danger suprême est la violence sexuelle. Cette violence (du point de l’aventure) se retrouve factuellement dans les mouvements de notre société. Est-ce-à-dire que dans le simple allant sexuel nous dussions subir de la violence ? Non, bien sûr. Bien sûr que non, au triple quadruple. Mais la violence immature du mâle est présente comme l’*innocence* des pucelles. L’immature de chacun des désirs pour autrui est en discordance avec ce qu’autrui attend de l’autre. C’est bêtasse. Si quelque chose ne va pas, c’est la discordance des *fantasmes* (ces idées idéales idéales d’autrui)  où chacun veut L’imposer à l’autre, quand bien même il ou elle serait complètement à côte de la plaque de sorte à perdre en substance ses propres possibilités de jouir de la vie communément.

Je me vois obligé de revenir à mon propos : la rigidité du néocortex.
Dans ce contexte particulier de la pensée caractérisée par *l’immobilisme* (face à l’aventure) que je conspue, je ne puis pas proposer autre chose que de s’y adonner au moins 90 jours sans rien, ni argent, ni rien – à peine une survêture. Fille ou garçon. Je parle d’expérience, bien entendu, hors de toute espérance de duplicité ou d’*espoir* politique. Faudrait-il se perdre dans le TEMPS qui passe sans que nous ayons une quelconque maitrise sur ce passage ? Yes ! Et en vertu de quel orgasme? Si les gens sont incapables d’accéder à l’orgasme, que puis-je y faire quand ils ne veulent en rien entendre?

Mais quoi ? L’aventure est de cette sorte de recherche d’une harmonie avec la vie quand c’est véritablement la manière d’y accéder. L’espoir est l’espoir d’une harmonie... c’est sa faiblesse dont cette sorte de résignation vous fait *votre* force : VOTRE vécu qui se déroule suivant l’aventure d’icel.

jeudi 2 décembre 2021

La crainte du pouvoir est sa peur de notre confiance en soi et nous

 (en english after *****)

L’objectif premier de tout pouvoir est de rendre autrui PLUS rigide que soi, car la vie mobile, pulsatile, lui est impossible à supporter. De plus, le pouvoir rigide s’ennuie et veut que le monde s’ennuie en ennuyant le monde : cela le distrait.

Le capitalisme (une des formes socialisées du pouvoir) consiste à emprisonner (immobiliser) la vie, ici, sur des bancs d’école, là, dans des usines ou des occupations futiles ou inutiles.

Pour l’instant, le monde du pouvoir (celui qui a pour objectif de dominer la pulsation de la vie car la nostalgie qu’il en ressent lui fait craindre son réveil) a trouvé comme point d’appui à son projet, l’actuelle présence naturelle d’un virus : je veux dire : le virus de cette nostalgie que le pouvoir ressent pour l’immobiliser plus encore. Ce n’est que l’immobilisme du monde sur lequel il veut exercer son pouvoir qui lui donne consistance.

Le pouvoir cherchera toujours à prendre le pouvoir sur autrui, car il veut retrouver son pouvoir sur autrui dans l’immobilisation de ses propres absences de vivacité. Regardez ces visages et entendez ces voix ; observez ces gesticulations ! L’ordre est l’immobile *contraint*. Si la *politique* est le bras de levier de ce pouvoir, elle en est aussi la gangrène, et cette gangrène gangrène la vie du monde. La bureaucratie imagine, la police obéit, les gens S’exécutent.

Mais le monde court sa vie et la vie (même claudicante) court le monde. La confusion est induite par toutes ces démarches *politiques* qui ébahissent, déconcertent, sidèrent la raison. Ce ne sont pourtant que des descriptions du monde, une image de leur monde. Il est difficile d’en cerner les contours quand on oublie la rigidité de ces politiques (de leurs sbires – polices – et de leurs larbins – bureaucrates).

Divers sociologues affirment que ces politiques gouvernent par la *peur de la mort*. Ils rechignent à poursuivre en montrant que les gens refusent de ressentir davantage de cette sensation de mort que leur immobilisme leur fait ressentir, qu’ils refusent de ressentir une mort supplémentaire à leur immobilisme. Mais l’obéissance ajoute à la mort présente, celle de l’obéissance.

Quand je dis que la politique est cette recherche effrénée d’un pouvoir sur autrui, c’est que le politicien a PEUR d’autrui et qu’il veut que le monde humain reflète cette peur, la sienne. L’ensemble des dispositions imposées autour de cette « maladie virale », répond exactement à cette peur : port du masque, distanciation *sociale*, les gestes *barrières* entre nous, autrui comme vecteur de mort, police des séparations, séparation psychique de la grégarité humaine, isolement des jeunes des vieux, et j’en passe. Tout cela est la caractéristique de gens qui ont peur d’autrui.

Autrui est-il si dangereux pour autrui qu’il faille qu’ils s’anti-embrassent ? Posée de cette manière, cette question est absurde pour ceux et celles qui aiment les gens. Lorsqu’on parle de courage, il ne s’agit que du courage de sursoir à une IDÉE, une pensée du monde ! hahaha ! et de réaliser le geste de ce courage.

Mais avoir du courage revient à avoir (ou prendre) confiance en soi, et il est de bonne guerre pour des gouvernements qui veulent tout nous voler, qu’il nous volent aussi ce dernier rempart contre leur *malveillance* : cette confiance en *nous* qui doit les bousculer, ébranler leurs velléités de pouvoir sur *nous*. Cette perte de notre confiance en soi, mesurée, circonspecte, prudente et quelque part aventureuse, nous fait accepter la crainte un « virus » dont la létalité est moindre que celle de la grippe.

Ainsi, c’est l’abandon de la confiance en soi et en autrui (son voisin) qui fait la force de notre ennemi. Cette crainte induite de mourir d’un virus est le reflet du miroir dont la consistance est *précisément* notre désir de vivre FIGÉ par cette crainte, d’accepter de *rester* figé. L’image reflétée par ce miroir – la peur qu’on ressent en soi résonne dans les yeux d’autrui – c’est soi, nous, qui devons le briser.

*****

 The primary objective of all power is to make others MORE rigid than itself, because mobile, pulsating life is impossible for it to bear. Moreover, rigid power is bored and wants the world to be bored by boring the world: this distracts it.

Capitalism (one of the socialized forms of power) consists in imprisoning (immobilizing) life, here, in school benches, there, in factories or futile or useless occupations.

For the moment, the world of power (the one that aims to dominate the pulsation of life because the nostalgia it feels for it makes it fear its awakening) has found as a support for its project, the current natural presence of a virus: I mean: the virus of this nostalgia that power feels to immobilize it even more. It is only the immobility of the world over which it wants to exercise its power that gives it consistency.
Power will always seek to take power over others, because it wants to find its power over others in the immobilization of its own lack of vivacity.  Look at these faces and hear these voices; observe these gesticulations! Order is the *constrained* immobility. If *politics* is the lever arm of this power, it is also its gangrene, and this gangrene gangrenes the life of the world. The bureaucracy imagines, the police obeys, the people execute.

But the world runs its life and the life (even clumsy) runs the world. The confusion induced by all these *political* steps, amaze, disconcert, stagger reason. They are however only descriptions of the world, an image of their world. It is difficult to define the contours of this world when one forgets the rigidity of these politicians (of their henchmen - police - and of their minions - bureaucrats).

Various sociologists claim that these politicians govern by the *fear of death*. They are also unwilling to show that people refuse to feel any more of the sense of death that their immobility makes them feel, that they refuse to feel any more death to their immobility. But obedience adds to the present death, the death of obedience.

When I say that politics is this frantic search for power over others, it is because the politician is afraid of others and wants the human world to reflect this fear, his own. The set of measures imposed around this "viral disease" responds exactly to this fear: wearing a mask, *social* distancing, *barrier* gestures between us, other people as a vector of death, separation by police, psychic dissociation of human gregariousness, isolation of the young from the old, and so on. All this is the characteristic of people who are afraid of others.

Is the other so dangerous for the other that they have to be anti-embraced? Put in this way, this question is absurd for those who love people. When we talk about courage, we are talking about the courage to override an IDEA, a thought of the world! hahaha! and to carry out the act of this courage.

But to have courage is to have (or take) self-confidence, and it is a good deal for governments that want to steal everything from us, that they also steal from us this last bulwark against their *malevolence*: this confidence in *us* that must shake them, shake their attempts to have power over *us*. This loss of our self-confidence, measured, circumspect, cautious and somehow adventurous, makes us accept the fear of a "virus" whose lethality is less than that of the flu.

Thus, it is the abandonment of self-confidence and trust in others (one's neighbor) that makes the strength of our enemy. This induced fear of dying from a virus is the reflection of the mirror whose consistency is *precisely* our desire to live FIXED by this fear, to accept to *remain* frozen. The image reflected by this mirror - the fear we feel in ourselves resonates in the eyes of others - it is ourselves, we, who must break it.

mardi 29 juin 2021

Transfert et minéralisation de la transe

 Les gens aiment à se laisser manipulés par ceux qui prétendent réaliser leurs rêves. Les gens n’ont aucun sens critique par rapport à ces rêves, les leurs, et ces rêves sont si naïfs – je veux dire que pour eux, il est si facile *pour un autre* de les réaliser – que n’importe qui doté d’un peu de bagou peut se dire « réalisateur de rêves ». Du fait que leurs rêves ne sont pas réalisables, les gens attendent d’autrui qu’il puisse les réaliser à leur place.

Car ces rêves sont des rêves d’enfants sans cesse revivifiés à l’âge adulte, et dénotent une frustration collective, comme générale de ces enfants-adultes. Tout le monde, en gros, anime les mêmes rêves, il ne s’agit que d’une hiérarchie et des accès à ces images que la société propose.

Ce genre de rêve est extrêmement commun, car il a pour mission essentielle de cacher cette réalité. Ce genre de rêves consiste à dissimuler la réalité qui fait peur. Quelle est cette « peur » qui permet à l’idiot de dominer le monde humain, qui désactive tout sens critique, qui obscurcit la conscience ? D’où provient cette habitude de justifier le bourreau en ceci qu’il a besoin d’une victime ?

Cette disposition – la peur est une défaite – dénonce une forme de refus de prendre en main la réalité, comme si la réalité nue – celle que vivent les autres animaux, sans la forme de notre rêve – perdait la source, en soi, du plaisir du vécu. Les rêves de cette sorte sont de ceux qui vous cache la réalité parce que vous avez oublier comment accepter du plaisir de la réalité, en vous faisant miroiter que le rêve est supérieur à la réalité.

Je suis parfaitement conscient que cette disposition d’esprit est le résultat d’un apprentissage acquis au cours de l’enfance face au peu de poids de la réalité quant au peu de possibilité de pouvoir jouir de cette réalité, de soi, de nous. Vous êtes votre propre réalité et on vous apprend à ne PLUS en obtenir de plaisir ! Vous vous tournez ensuite vers le rêve que vous avez du plaisir d’exister, tandis que cela reste une simple hypothèse : un rêve. Quand, dans une société « primitive » les caractères se forgent sur l’amitié, chez nous elle se bâtit sur la résignation.

C’est qu’ici règne une confusion : normalement, la vie qui passe dans la joie, est une forme de transe – comme quand on est amoureux – et la résignation confond cette transe du vécu avec le rêve de la vie. Du point de vue d’un transfert des fluides, au cours de l’enfance, le vécu contient la transe, car c’est la transe périodique qui permet de s’intégrer au monde en s’y adaptant au mieux. En fonction des *impossibles*, on pèse les possibles de cette transe, soit dans le cours de son mouvement – et conséquemment, par son côté éphémère – soit dans le transfert de son énergie dans le rêve. C’est au cours de la puberté que la transe habituellement vécue de la vie se fige (ou coagule) sur le rêve et le rêve devient le rêve d’un vécu en transe, et non plus la transe (comme quand on est amoureux) elle-même.

Pour perdurer sous cette forme, le rêve a besoin de se retrouver dans l’objet, le fétiche. Et l’ensemble de la vie devient un monde de fétiche, où chaque objet n’est plus seulement un simple « objet », mais est investi d’une âme, il contient en soi un rêve. La prime-enfance se passe dans la transe et les frustrations ne sont que des frustrations de rêves, à cette différence qu’ici les rêves sont LE vécu (le doudou et la transformation du sein allaitant en objet). Chez l’adulte encore enfantin, la réalité virtuelle est un prolongement de cette tentative de solutionner une frustration en rêve. Nous le savons bien... et pourtant nous persistons dans cette direction de la séparation du vécu réel vers le rêve, car ici, le rêve est une transe qui vous fait oublier la pauvreté de votre réalité.

Le monde qui falsifie la transe vécue en transe d’objet (de fétiche) est le monde de la marchandise et sa publicité donne la mesure de la frustration du rêve enfantin à l’âge adulte. La grande majorité des comportement humains adultes sont décelable dans une frustration enfantine quasi traumatique coagulée dans l’âge adulte. A eu lieu un transfert énergétique entre la capacité de vivre la transe par soi, en besoin de vivre la transe par l’objet : l’objet devient nécessaire, et dans notre monde. C’est une aubaine pour la marchandise, car la marchandise a besoin du rêve pour trouver sa réalité (voir mes études sur la valeur organique et minérale).

Je peux ainsi répondre à la question : Pourquoi les gens ne se révoltent-ils pas contre le monde de la marchandise ? Parce que la marchandise est indispensable à la piètre qualité de leur transe, que l’objet est l’outil de cette transe... et non plus son Soi intégré à un groupe. Les bals folks et les bars.

La « décision » de reporter le vécu de la transe en soi sur l’objet est l’aboutissement d’une quantité de compromis, d’adaptations infructueuses. Elle s’est opérée comme conclusion lors d’un fait traumatique – que je nomme « second », car il est la confirmation d’un *premier* trauma resté sans solution qui vous soit favorable : vous avez définitivement – pour vous – perdu cette qualité de vivre la vie dans la joie et sa transe. Alors, l’énergie de la transe *s’est reportée* sur un objet, un comportement, une validation biologique intégrée. Vous avez cependant tord, car cette *nature* de la vie qu’est la transe, est indéfectiblement une réalité cachée par ce transfert d’énergie sur l’objet : c’est un détournement d’attention salvateur pour qui en a peur, pour qui craint le déroulé de la vie. Mais ce transfert de la transe sur l’objet contient encore le trauma qui l’a induit, je veux dire que ce transfert contient encore la *peur* de la transe initiale, puisqu’elle a fuit dans l’objet.

Je souligne que cette transe initiale est de l’ordre du biologique : sa manifestation la plus aiguë étant l’orgasme, c’est-à-dire, conjointement les convulsions musculaires cloniques et la perte de la conscience au cours du partage amoureux sexué. La nostalgie de cette transe se retrouve dans les faits religieux, les aficionados de tout genre, le fait de « gagner » avec cette crispation si typique et ce cri de démence, dans cette musique industrialisée et séparée du vécu par des dispositifs mécano-électroniques, dans la danse collective égarée dans l’individuel, etc. Cette nostalgie se retrouve dans la recherche de sa réalisation, dans des « techniques » thérapeutiques qui aideraient bien mieux par une connaissance de leur finalité : retrouver la capacité d’entrer en transe, et particulièrement, la transe amoureuse. Je ne dis pas que tout cela est négatif, bien sûr ! quand ces tentatives explicitent le grand intérêt d’un retour du contact avec soi-même, elles finissent par aboutir à ce contact. Connaître la nature de ce contact accélèrerait le processus, selon moi.

Le trauma initial, le tout premier, est une *résignation* devant ce fait qu’on ne peut pas atteindre le bonheur par et dans la succession habituelle d’événements qui mènent sans crainte à une transe : il a fallu emprunter un autre chemin où elle doit se renier comme sa propre possibilité. Ce chemin investit l’objet d’une âme... et c’est votre âme. Cette première résignation reste quelque part tremblante face à la force de la nature, mais se coagule lors d’un second trauma, d’un type plus ou moins semblable d’atteinte à votre intégrité. La *résignation* est figée, le reste devient interdit, absolument ; on oublie même de quoi il s’agit, au départ. Je pense que quand Kate Buch chante « Don’t give up », nous parlons de la même chose. La résignation, c’est l’acceptation contrainte du transfert de la transe du vécu immédiat dans l’objet.

La publicité est un exemple du transfert du désir d’un vécu dans l’objet, du transfert de l’organique dans le minéral. La publicité promeut le « produit *miracle* », l’objet comme un sauveur quand un sauveur n’est qu’une *image*, une seule aspiration au bonheur.  Elle répond à ce désir du résigné de se libérer de sa condition de résigné. Elle insère une l’âme à l’objet pour que vous retrouviez en *image* votre liberté. La publicité réussit quand on devient son propre policier, et en conséquence, le policier d’autrui : vous ne devez (car vous en avez égaré le déroulé) trouver de « plaisir » que par et dans l’objet et sa possession. La police de l’objet maintient en bon ordre la résignation, la perte de confiance en l’autre en tant qu’organique, c’est-à-dire en soi.

La publicité reflète l’âme égarée dans l’objet qu’on vous désigne comme sauveur de votre résignation, puisque vous avez perdu la capacité de discriminer le *déroulé* du plaisir : l’objet fige ce déroulé. Avec un peu (suivant vos ambitions) d’argent (que vous avez « acquis » en marchandant votre temps, votre vécu), vous vous engouffrer dans ce *raccourci* du vivant. La publicité est l’exact *état d’esprit* du monde de la marchandise, sa manière de penser le monde, vous. La publicité inverse le monde réel en oubliant toutes les causes pour en faire des causes « nouvelles » dont l’objet est de vous faire oublier la réalité du monde et les effets destructeurs que votre contribution à la marchandise a sur le monde.

Du fait que la résignation est déjà une « petite mort » dont on sent bien en soi la présence, rien n’est plus aisé pour la publicité de retourner cette sensation de soi en agression extérieure. En reportant la vie sur un objet, la publicité rend alors cette « petite mort » plus facile à supporter. Ici nous aurons un vaccin, une automobile, un voile, un voyage dans l’espace, un mariage, que ne sais-je, mais tout sera raté, car le vécu manquera de vivant : il n’en restera que des images sensées contenir vos émotions. La religion de la Soumission et ses tentatives d’émergence plus ou moins violentes, est l’avatar d’aubaine pour la marchandise.

Lorsqu’apparaît le désir d’une révolte contre cette résignation, on est perdu, car on a appris à ne PLUS retrouver en soi le déroulé d’un vécu, à rencontrer dans sa fluidité l’émotion du vécu – les objets sont si nombreux, n’est-il pas ? – de sorte qu’on ne sait plus où la chercher, biologiquement : avoir oublié la vie est si douloureux qu’on pense devoir à nouveau traverser cette douleur pour acquérir un peu de liberté, que cela en est rédhibitoire.

Au reste, cette résignation anesthésie les sens de la vie, la perception qu’on peut avoir du monde. Plus les sens de la vie sont isolés d’une auto-perception et plus la résignation cherche à se « venger » de cette asthénie par la transe de la *chéfitude* ou bien celle de *l’appât du gain*.

On cherche à prendre le pouvoir sur autrui, quelqu’en soient les moyens (et le plus courant est tout simplement l’argent), soit pour lui montrer comment on peut progresser dans la résignation, soit pour empêcher toute velléité de se défaire de la résignation. L’appât du gain (être riche rassure, bien qu’on ait un piètre sommeil) est une forme de prise de pouvoir sur autrui, puisque la transe consiste ici à posséder le plus de transe *minéralisée* possible. Chacune de ces deux « vengeances » tardives face à ce qui a été perdu et qu’on a complètement égaré, est une manifestation cristallisée de la perte de l’empathie, des sens de la participation, du bon-soin et de la collaboration. Les sens ne perçoivent plus la dégradation du monde quand l’appât du gain s’auto-hypnotise et ordonne telle ou telle nouvelle pollution, ou quand les engins de guerre détruisent la santé de la planète, à travers des essais nucléaires, par exemple, ou la sophistication des armes, ou encore quand des policiers mutilent le peuple. Et comment montrer à ces in-sensés le résultat de leur action réciproque ? C’est impossible ! Dans ces cas, nul n’entend le bruit ou les cris qu’il génère, nul n’entend le bruit de la marchandise en mouvement autonome qui détruit et pollue tout sur son passage, car nul n’a plus les sens pour ce faire ! « Leur morale » même n’arrête rien. La digitalisation des relations entre les gens (leur « numérisation », comme la naissance de l’écriture est né du désir *comptable* – donner un nombre à –  du roi) est l’aboutissement socialisé de cette résignation.

De fait, rien n’est plus délétère que la résignation qui refuse de s’accepter. Il règne plus de résignation chez ces politiques qui veulent sans fin réformer le monde qu’ils créent (toi ou antérieurement ton aîné), chez nos gouvernants (qu’on vous donne à choisir selon leur degré respectable de résignation), que chez les gens chez qui cette résignation est une gêne : ces derniers gardent encore un sens de la liberté (le plaisir de vivre) quand les premiers l’on totalement perdue, sinon qu’en babioles, en baudruches, en billevesées. Les gouvernants gouvernent la résignation matérialisée (minéralisée) dans *l’économie de la vie résignée* : travail, marchandise, bourse, etc. Il s’agit pour eux de surnager au-dessus de cette masse de résignés qui regimbent face à elle, quand eux y sont enchaînés leur âme. Quelle est la nature de cette « peur » qui émerge devant les « petits chefs » incompréhensibles et souvent idiots ? Quelle est la nature de cette peur quand ils invoquent la mort ? et qui la fourbissent, cette mort, dans les mutilations du vivant... ? Imposer à la parturiente de s’exhiber en pleine lumière quand elle donne naissance, et tout dernièrement à lui faire porter un masque contre un « virus »... la bureaucratie en action.

La bureaucratie (dont fait parti la politique) est l’absolue optimisation de cette résignation. Elle est l’avers et l’envers de la résignation en ce sens où elle vous oblige à vous y soumettre – pour vous y résigner – et son mode opératoire est le fruit même de la résignation. C’est une organisation de la vie humaine totalement désolidarisée de l’entre-aide et écartée de l’empathie comme de regarder une galaxie par le petit bout de la lorgniette. La digitalisation se montre encore plus aberrante : nous ne parlons plus qu’à des machines obtuses, « binaires », sans âme, programmées par des bureaucrates. Et le monde se reproduit selon ce schéma : quand on exprime une souffrance et que celle-ci ne rentre pas dans une case, nul ne vous entend plus, même de celui ou celle qui la génère, car la bureaucratie se justifie elle-même comme absence totale d’une émotion vécue.

Ainsi, des rêves d’enfants à l’âge adulte peuvent-ils se voir, *de loin*, concrétisés dans et par des rêves de même nature : il suffit de faire miroiter l’image d’un objet salvateur, un objet qui va vous soustraire un temps de votre résignation, de votre « petite mort ». On ne se révolte pas contre une image, une image s’abandonne, tout simplement ! Et on l’abandonne quand quelque chose de plus palpitant et de plus immédiat se présente à vous. La résignation porte à espérer qu’on puisse être sauvé de cet état de léthargie qui vous maintient immobile, et le plus grand rêve est celui de l’image du sauveur qui va vous dynamiser, enfin. Ce transfert de l’énergie du vivant sur l’objet ne s’opère que dans la résignation où les avanies sont devenues des coups du sort.

Il y a une solution. Cette solution est valable pour tous car, du mal du siècle, tous en ont été touchés. Mais je ne peux la décrire, car chacun doit la trouver en soi, chacun doit retrouver en soi la source de la confiance en soi comme la source du plaisir de vivre : l’énoncer ne permettrait pas à la personne de se comprendre et donc de comprendre l’opportunité de la solution que je propose. Les « aidants » doivent eux-mêmes reconnaître le centre du problème et cesser de tourner autour, non pas pour l’assaillir (ce qui ne ferait que renforcer la peur que ce centre suscite) mais pour le mieux décrire, immédiatement, sans crainte, car, finalement, c’est le cheminement du plaisir qui fait peur, et rien d’autre, sinon que son aboutissement. Si l’aidant est lui-même doté de faux-fuyants, il ne fera que contourner pour lui comme pour l’aidé (qui y trouvera une aubaine !) le *cheminement* vers l’épuisement énergétique de la résignation inscrite dans la biologie de la personne par une dynamisation de celle qui a été détournée.

mercredi 23 juin 2021

Une transe vendue est une transe frelaté

Sur une liste de discussion, quelqu'un parlait de la dictature qui se met en place, sous prétexte sanitaire. J'y ai contribué en disant ceci :

Oui, ce point de vue est connu depuis longtemps : la transformation de la réalité comme main-mise sur un pouvoir qui vous échappe sur les gens. Certes Wilhelm Reich, mais aussi Guy Debord, par exemple.

Le truc, c'est de déterminer qui y croit et qui n'y croit pas ! Pourquoi moi, je n'y crois pas à leurs balivernes... c'est parce que je ne crois pas que les dispositions sociales prises HIER  pour le bonheur des gens étaient valables ; donc, aujourd’hui, j e n'y crois pas davantage.

Lorsque que je dis que cette histoire de virus n'est qu'une vaste campagne publicitaire pour nous vendre (nous faire accepter comme *sauveur*) des vaccins, je dis aussi que le monde est véritablement divisé en deux, dont une partie est impotente sur son existence qu'une autre manipule à des fins névrotiques, c'est-à-dire que l'un comme l'autre de ces deux parties du monde ne sait pas ce qu'est l'orgasme.

Le problème est *qui* croit à cette entourloupe qu'un gouvernement – qui vous maltraite déjà à ruiner le bonheur de votre vie dès l’enfance – puisse un jour arriver à se décider de faire le contraire de ce pour quoi il est fait ? On y croit comme "on" croit dans les mensonges de résignés de papa et maman et on reproduit le monde.

Les compromettants dictatoriaux sont à la fois la *résignation* des gens ET les dispositions prises par des potentats (ceux qui ont les moyens de vous faire avaler n'importe quoi en disant que c'est de la nourriture) pour *organiser cette résignation*, l'intégrer dans votre vie, votre corps, votre pensée. Quand je vois tous ces bambins attachés comme des pilotes de course dans leur poussette (pour plus de sécurité ! hahaha !) et qui chialent pour plus de liberté (celle de marcher sans entraves), il ne leur reste plus que la *résignation* pour mode de vie !

Les dispositions dictatoriales sont, finalement, un abouti des dispositions qui ne fonctionnent plus – auxquelles les gens commencent à désobéir, contre lesquelles les gens trouvent à se rebeller –, et signifient que les gens commencent à remettre en cause leur résignation face à une diminution aggravée de la piètre liberté qui s'est déjà amenuisée comme peau de chagrin. Elles se basent sur la *peur* de mourir, exactement comme l’angoisse d'orgasme se caractérise par la peur de tomber, de mourir à cause de l'excitation sexuelle que l'on retient lors du rapprochement amoureux sexué, ou même seulement, de l'élan amoureux. La peur de se prendre en main, de se prendre en charge est le pendant de l’angoisse d’orgasme.

Ces dispositions dictatoriales ne sont qu'une protection plus aigüe du *fonctionnement de la marchandise*, en tant que système social et qui détruit tout sur cette planète. Aujourd'hui, la remise en cause de ce système doit aboutir à sa fin. Mais avec quelle énergie et sur quelle base de non-résignation ? Seuls les Enfants de l'Avenir nous le diront, si on ne leur apprend pas à se résigner contre l'injustice, le bon-soin, la co-participation et la collaboration sans chef, sinon qu'éphémère. Est-ce qu'ils existent ?

~oOo~

La question est : Peut-on faire la révolution sans orgasme ? Ou encore celle-ci : À faire la révolution sans accès à l’orgasme, combien de temps cette révolution en restera-t-elle une ? Ou (peut-être mieux ?) : Sachant que les gens ont à la fois la nostalgie de l’orgasme et se résignent à ne l’atteindre jamais, une révolution de ce nom peut-elle advenir un jour (en ce sens où, si nous devons bouger le monde, cela consisterait alors à obtenir librement un accès à cet orgasme jusqu’ici interdit virtuellement et physiologiquement) ? Ou encore celle-ci : Comment est-il possible à des êtres totalement dépourvus de la puissance de se prendre en main à la fois collectivement (avoir un projet collectif de bonheur commun) et en acceptant que ce collectif soit bien plus important que l’individualisme pour le bonheur individuel, peuvent-ils se prétendre à même de pouvoir faire la révolution ? (Cette dernière question peut glisser sur celle-ci : Comment des gens qui ont totalement oublier la jubilation de la vie pourraient la retrouver dans la révolution ?)

Résumons que ce contre quoi le pouvoir régalien oppose actuellement à la vie, est cette obstruction à désirer jouir de la vie, comme généralité... et sans présumer d’une aptitude à s’y conformer. Un masque, un vaccin à la noix, un couvre-feu, des punitions pécuniaires ou matraquantes, la disparition des bals et des bars, tout est établi pour que nous ne puissions pas jouir de la vie, du temps qui passe selon ce dernier mode, la rencontre avec autrui et la construction ACTUELLE d’une société qui se renouvelle dans sa propre satisfaction de vivre.

Nous savons tous ce qu’est le plaisir, ne serait-ce que par celui qui nous est interdit, via le matraquage et le gazage de la rave de Redon. Oui, ce plaisir bafoué est simple et à peine orgastique, mais il tend à la TRANSE, et c’est précisément cette transe que le pouvoir est déterminé à nous interdire, car c’est elle qui est la plus proche des cieux ! L’objectif du pouvoir (qui organise et protège le système de la *marchandise*) ne consiste qu’en une transmutation de cette transe dans la marchandise, par *le fétiche objet du marchand* ou bien *l’objet fétiche du marchand : la « valeur minéralisée »*. Karl Marx... non, en fait, je ne vais pas parler de lui ou des autres.

Ma pensée est consécutive aux auteurs que j’ai précédemment nommés, mais elle est plutôt un bouilli-boulga de leur lecture et de ma vie (surtout du déroulement de ma vie – qui est assez loin d’un trajet google). La forfaiture de nos temps capitalistiques (qui cachent derrière leur petit doigt le patriarcat *en mouvement*) est d’affirmer que, pourrions-nous atteindre individuellement l’orgasme, nous ne parviendrions pas à, collectivement, atteindre la transe... de n’importe quoi, SINON que celle provoquée par l’ACHAT.

Ainsi, toute transe qui se jouira *en dehors* de l’ACHAT se présentera comme une transe révolutionnaire, quand bien même, cette « révolution » s’acceptera à minima. Quelle que soit les formes publicitaires qu’elle adopte, la transe de l’ACHAT, transmutera le dérisoire en une *image* du vivant, en un vécu *docile* du vivant via un simple passage en caisse (l’objet est ici un appât) après avoir fait sagement la queue. Quelle que soit les formes de la transe collectivement organisée, par le massacre de la rave de Redon, la violence de l'État nous a montré qu'il déteste la transe vivante, *celle qui bouge*... montrons que la transe est indéfectible de la jouissance de notre vécu.

La covid-19 : la plus grande, longue, large et la plus importante campagne publicitaire

Finalement (hélas !) cette covid-19 est comme une cristallisation de la qualité de l’affectivité sociale présente : acceptation des masques, refus de partage de doses vaccinales, rejet d'autrui qui n'est pas vacciné, flagellation de qui n'obéit pas aux gestes barrière, etc. Négative. Tout le monde s'est approprié cette "maladie" comme la négation de l'autre envers soi qui se voit "mis en danger de mort" au tournant d'un confinement, d'un horaire, d'une distance, d'une parenté, d'un contact, d'une jeunesse.

Le problème corolaire, est que l'animal humain est essentiellement un animal social ... enfin, j'aurais été enclin à le penser, à moins que d'affirmer que l’obéissance pour se protéger d’une « peur de mourir » est l'ultime facteur de cette socialité.

Ici, le produit de ces démarches publicitaires consistant à poser un problème pour le résoudre par un dispositif commercial, l'objectif publicitaire consistera à égarer au sujet sa propre volonté dans l'espoir d'un objet qu'on lui présentera salvateur (et de quoi donc ? de la vie qu'il a consentie à être réduite à une telle misère ?) et qui dominera pour finir son existence... et la sienne seule ou (à ses dires) celles sur lesquelles il fait peser son affectivité.

Mais ceci n’est pas de la socialité, ceci correspond davantage au narcissisme ambiant (le « moi-je ») titillé par le publicitaire. Le publiciste va appuyer sur le "Sauve ta peau, mon gars, tu n'as plus même cela pour toi !". Il a fallu au publicitaire beaucoup d'énergie, de corruption ( jusqu'aux plus hautes instances de l'État et des organisations internationales), de médecins, etc., etc. pour parvenir à effacer l'évidence  : si cette maladie a été un court moment dangereuse, elle ne l'est pas restée longtemps, quand tout a été fait pour qu'elle le reste, jusqu'au mensonge d'État avéré.

On sait que l’objectif de la publicité n’est pas seulement de faire acheter, mais aussi de dissimuler qu’on sollicite votre achat... que vous procédez effectivement à l’achat « de vous-même ». Et on ne peut nier que toutes les dispositions actuellement prises, ne sont pas des sollicitations publicitaire, un peu violentes, certes... mais pour vendre quoi ? La peur a guidé nos pas vers notre perte quand nous arrivions à distiller convenablement la fin de l'État.

Mais, que s'agit-il de nous faire acheter, au prix de notre âme ?Je suppose qu'il s'agit de vaccins ! Depuis une année et demi, on nous casse TOUT pour nous faire acheter des vaccins. Longue campagne publicitaire, mais fructueuse, n'est-il pas ? Peut-être la plus rentable depuis longtemps.

On vous vend un vaccin qui n’en est pas un pour un virus qui n’est pas si mortel et ces vaccins sont adressés à des personnes qui ne sont pas concernés. Et tout cela, avec votre consentement éclairé, libre et paraphé.

mercredi 9 juin 2021

Virus : Qui ou Comment ?

 (en english after ¨¨¨)

 Pour détail,

On trouve quasi essentiel de savoir ou de découvrir si le virus a été ou non le produit d’une industrie ou d’un laboratoire « scientifique ».

L’important dans la covid-19 ce n’est pas qu’il s’agit ou pas d’un virus inventé, mais bien plutôt de la MANIÈRE dont a été conduite la population à l’enfermement, et à sa policiarisation.

D’affirmer que ce « virus » a été inventé fait OUBLIER cette manière dont on a emprisonné la population, car on donne à supposer que ce virus est dangereux, alors que NON : les statistiques, dès mars 2020, ont montré que ce virus n’est pas plus dangereux qu’un autre et que la moyenne d’âge des morts est de 82 ans, soit 1 ans et 7 mois AU DELÀ de l’espérance de vie en MAUVAISE santé. Ce virus, inventé ou pas, n’est pas plus dangereux qu’un autre !!! La semaine dernière, l'Inde a stoppé le variant "indien" avec de l'ivermectine, radicalement, rien de plus.

Affirmer directement ou indirectement que ce virus est terriblement dangereux (au point de vous interdire tout entendement), c’est dire incidemment qu’on est impuissant face à lui... or, on sait comment s’en sortir et QUI est principalement touché. On continue d’instiller la peur... cette peur qui fait aux gens qu’ils acceptent autant de perte de liberté en une seule année qu’ils en ont détruit en 15 ans avec leur « terrorisme » et faire accepter par la population de se faire vacciner contre un fantôme sanitaire.

Pour moi, ce n’est pas le virus qui est important, mais la société, les gens, la relation. Je conçois parfaitement la débilité des « scientifiques » qui ont ou pas récréé un virus. Mais l’important c’est ce qui en a été fait et qui ne doit pas être oublié. Par ces vidéos, le bourrage de crâne continue !!! Hahaha !

***
For detail:

It seems almost essential to know or to find out if the virus was or was not the product of an industry or a "scientific" laboratory.

The important thing about covid-19 is not whether or not it is an invented virus, but rather the WAY in which the population was led to be locked up and policed.

To affirm that this "virus" has been invented makes us forget the *way* in which the population has been imprisoned, because on gives the impression that this virus is dangerous, whereas NO (or no more than an other one): the statistics, as early as March 2020, have shown that this virus is no more dangerous than any other and that the average age of the dead is 82 years, that is to say 1 year and 7 months ABOVE the life expectancy in BAD health This virus, invented or not, is not more dangerous than any other!!! Last week, India stopped the "Indian" variant with ivermectin, radically, just that and nothing more.

To say directly or indirectly that this virus is terribly dangerous (to the point of forbidding you any understanding), is to say incidentally that we are powerless against it...  but we know how to get out of it and WHO is mainly affected. We continue to instill fear... this fear that makes people accept as much loss of freedom in a single year that have destroyed in 15 years with their "terrorism" and make the population accept to be vaccinated against a sanitary ghost.

For me, it is not the virus that is important, but the society, the people, the relationship. I understand perfectly the debility of the "scientists" who may or may not have recreated a virus. But the important thing is what has been done with it and that must not be forgotten. By these videos, the stuffing of skull continues!!! Hahaha!

Translated with help by www.DeepL.com/Translator (free version)

vendredi 14 mai 2021

ADN or not ADN ?

 L’hérédité existe-t-elle ?

C’est un point de vue.

En lisant « Contact with Space », j’avais compris
- que la soustraction du dor dans le désert ravivait la présence de l’orgone ;
- que cela provoquait le retour le l’humidité ;
- qu’alors les grains de sable (silice) se décomposaient en bions. du fait du changement de tension orgonale favorable (cela faisait un moment que ces grains de sable « cuisaient » au soleil).
Ces bions se développaient ensuite en « algues » qui elles-mêmes permettaient aux graines d’herbes de s’installer et de croître.
C’est comme le lichen (algue plus champignon) sur les rochers qui permet aux graines de se développer.

Bon, ok : mais quid de ces graines ?
L’herbe est un organisme « complexe », je veux dire que son développement (du grain qui passe par la germination, la plantule, etc., pour revenir au grain) DOIT traverser des ÉTAPES successives pour parvenir à sa croissance de sorte à ce qu’il SE réalise. Ces étapes sont (en quelque sorte) « programmées » par une organisation protéique : l’ADN. L’ADN permet la succession des ÉTAPES de croissance de sorte que l’organisme « complexe » parvienne à sa maturité (et profite de la vie, en tant qu’autonome). Rigolo : cette organisation protéique est assise sur QUATRE protéines, ni plus, ni moins, agencées en « séquences ».

Cet ADN contient la forme et les ADAPTATIONS de la forme à son milieu. Si le milieu ne convient pas, il n’y a pas de croissance optimal de la forme, en fonction des possibilités d’adaptation liées au contenu de l’ADN.
Que des protozoaires et autres monocellulaires puissent se développer à partir d’une vésicule bioneuse (composition élémentaire de la vie à partir d’une décomposition de l’organique ou du minéral), cela est possible, car il n’y a pas de DEMANDE d’adaptation à un milieu : ils naissent partout, ils sont partout adaptés, quelque soit le milieu environnemental.
Ce seront plutôt leur « descendants » qui, opportunistes, utiliseront des FORMES adaptées à un milieu en particulier.  C’est ALORS que s’organisera un ADN comme MÉMOIRE de cette adaptation. C’est cette MÉMOIRE d’adaptation qui donne, EN RETOUR, la FORME de la vie.

Mais cet « ADN » ne sera qu’un BROUILLON (un « en gros, ça se passera comme ça ») du phénomène d’adaptation de ce monocellulaire de sorte que l’adaptation laisse une plage de possibilités qui permet à cette forme de vie d’exister dans ce milieu VARIABLE.
Dès lors, on peut penser que cette variabilité d’adaptation nous donne une variabilité des formes, et .... etc.

On a raison de dire que, à partir de vésicules bioneuses, les proto-protozoaires de WR sont variables en fonction du milieu de leur croissance. Ce qui donnera des FORMES différentes suivant leur milieu d’apparition (voir, à ce propos, aussi Antoine Béchamp avec les variations issues des microzymas). Et on constate plusieurs formes résultant de cette décomposition du minéral en organique (les bions). On peut penser aussi à un mélange possible de ces organismes élémentaires, comme initial de l’ADN (mémoire de l’adaptation à un milieu).

La décomposition bioneuse est toujours continue et actuelle, et elle peut donner de nouvelles formes de vie... des adaptations à un milieu variable.

C’est avec un grand plaisir et un immense enchantement que je rêve à la complexité du déroulement du « programme » que contient l’ADN pour arriver à un organisme autonome. Si on coupe cette protéine à un endroit précis, la croissance s’arrête, ou bien il apparaît un AUTRE organisme. Si un fœtus placentaire XY reçoit un choc inopportun, il croitra selon la forme élémentaire (chez les placentaires) d’un XX, mais sans la capacité de reproduction.  La variabilité de l’obéissance d’un organisme à l’ADN correspond à son adaptation à un milieu variable... et il peut y avoir des spécificités d’adaptation à des milieux, nous le savons, même intra-utérin. On retrouve cette souplesse d’adaptation de l’ADN à son environnement dans la multiplicité des variations de la forme pourtant identiques ! et ceci, depuis des millénaires, de sorte qu’on réussisse à identifier un pollen du paléolithique ancien, par exemple à partir du pollen présent.

La « vie » est apparue sur terre, à cause de la concentration de l’eau qui est à l’état de molécules dans le cosmos qui nous entoure. Cette concentration est elle-même le résultat de la tension orgonale de notre planète qui a favorisé la décomposition bioneuse du minéral (lui aussi cosmique) et l’adaptation des VÉSICULES bioneuses à leur milieu... et les variations d’adaptation. Ce développement de la forme de vie que nous ne connaissons qu’à peine, est dû à une pluralité de facteur cosmique tel que notre position géographique par rapport au soleil, et celle de Jupiter, entre autres.
Les éclairs et autres émanations de souffre ont simplement modifié ces adaptations. Ces phénomènes n’ont pas donné naissance à la vie ORGANIQUE... c’est la décomposition bioneuse qui a donné naissance à cette organicité de la vie sur notre planète. Les phénomènes électriques et chimiques sont venues ensuite pour modifier leur adaptation. L’ADN est la mémoire de cette adaptation sous UNE forme ou une AUTRE.

Je comprends dans cette adaptation, la sexualité, la prodigieuse, ensorcelante et merveilleuse sexualité. D’un point de vue strictement mathématique, nous savons tous que la sexualité est l’optimum de l’adaptabilité d’une FORME de vie à un milieu par l’addition d’une division (en deux sexes) de cette forme. Ok. Mais c’est quoi cette « adaptabilité » ? Cette adaptabilité reçoit le PLAISIR DE VIVRE de manière optimale dans un milieu. Si les oiseaux chantent, c’est parce qu’ils sont HEUREUX de vivre dans un milieu auquel ils sont BIEN adaptés. Le bonheur s’exprime dans leur joie, celle de vivre, bien sûr, mais aussi de faire parti du monde, COLLECTIVEMENT, car chacun a besoin d’autrui.

Écoutez le DIALOGUE des mésanges ! Celui des baleines, des singes, des grenouilles, etc. C’est la JOIE de vivre, car on est parfaitement ADAPTÉ à son milieu ; la vie est confiante d’elle-même. Chez la plupart des animaux la douleur est silencieuse. Cette joie envahit de manière SONORE le monde de l’expression de ces animaux. La question de WR (« Quel a été la transformation de la la JOIE de la sexualité en malheur ? ») reste en suspend (quoique j’ai une petite idée de l’origine de cette peur du plaisir, cette « angoisse d’orgasme », de sorte à éviter de percevoir que les animaux n’éprouvent aucune peur au plaisir : ils s’y adonnent pleinement, comme tout ce qu’ils font, d’ailleurs). La sexualité a pour origine une source de joie intense provenant de la division (la vie se DIVISE, elle ne se multiplie pas. Le résultat peut être une addition, pas une multiplication ! La multiplication est une interprétation de la vie) de la vie par le mélange, par l’addition.

Alors que la DIVISION est le principe de l’identique chez le monocellulaire ; le MÉLANGE par ADDITION est le principe du pluricellulaire (pour ensuite procéder à la division – du zygote, de la transe, etc.)... auquel peut aboutir le mélange des ADN, des mémoires d’adaptation.

On parle sans fin de multiplication. C’est une grave erreur d’entendement du monde. Rien dans le monde ne se multiplie : tout se DIVISE, et principalement en DEUX, dans le seul et unique but : la DÉTENTE d’une tension (j’ai calculé cette détente qui correspond à *un moins racine cubique de un demi* – le Nombre d’Isidore). Le nom générique de cette détente est l’orgasme : merci Wilhelm Reich ! La « multiplication » est une vue de l’esprit humain qui a, précisément, perdu la possibilité de détente ; c’est un calcul, une rigidité acquise. Il ne voit plus la division qui est en tout, car il en a peur ; l’humain est le seul animal sur cette planète qui a peur de la détente, de la division succédant à l’addition. Heureusement (« espoirement ») c’est un acquis social.

La Vie du monde ne tend qu’au cycle de la tension et de la détente. Chaque organisme additionne de l'énergie et la *saturation* de cette énergie, aboutissant à une tension, demande une *détente*.
Chez les monocellulaires, cette détente se matérialise par la division (en deux : détente de la tension superficielle = 1 - racine cubique de 0,5). Chez les multicellulaires, cette détente se manifeste dans les convulsions de l'orgasme. Bravo Wilhelm Reich ! Bon... reste à expliquer la croissance, c’est-à-dire, le retard de saturation de l’énergie à des fins de réalisation de l’organisme.

Penser l’ADN comme un procédé d’hérédité peut être une pensée « right-wing ideology » ; mais penser cette molécule comme la MÉMOIRE d’une adaptation, lui redonne tout son sens.

Quant à l’ARN, ce n’est qu’une machine qui obéit aux séquences de l’ADN.
« Séquences » signifie ici : succession impérative, inévitable et indispensable en vue d’obtenir un Tout cohérent et adapté à son milieu. Bien sûr, ce séquençage est toujours en fonctionnement, en marche, car l’organisme autonome doit continuellement interagir avec son environnement affectif, social, sexuel, nutritionnel, intellectuel. Sans fin, il faut transformer, modifier, s’adapter. Au surplus, on pense généralement qu’un organisme possédant un ADN fonctionne SEUL : il n’en est RIEN : il y a cent fois plus de cellules « xénophiles » que celles qui composent l’organisme et encore cent fois plus de virus pour réguler l’équilibre de ces monocellulaires.  

C’est ainsi que j’en suis arrivé à penser que ce qu’on nomme « système immunitaire » n’en est pas précisément un, mais simplement un système de NETTOYAGE de l’organisme, tandis que l’ensemble des organismes – qui ne font pas parti de l’organisme porteur, mais qui lui sont symbiotiques – sont PRÉCISÉMENT le système immunitaire, en ce sens où ce sont eux qui maintiennent l’équilibre de l’organisme en correspondance optimale avec son milieu. Nous vivons en symbiose avec le monde, aidés d’organismes symbiotiques et la santé est le bon équilibre de cette symbiose.

Bien évidemment, les cellules se décomposent en bions et baciles T. Mais, SELON MOI, les bacilles T sont des scories-résidus de la destruction des bactéries, ou des protozoaires. Cependant, j’admets d’emblée ici que les virus sont des organismes vivants, universellement répartis dans le monde entier, le cosmos. Il n’y a pas de « bataille » entre les bactéries et les virus, quand on considère qu’ils forment, À EUX DEUX, un gigantesque organisme dont l’équilibre est fluctuant au regard des processus énergétiques du milieu où ils naissent, vivent et s’éteignent ou meurent.

Si l’organisme pluricellulaire ne possède pas en suffisance d’énergie vitale, il ne peut pas SE NETTOYER des scories issus de la régulation des bactéries par les virus (bactéries qui peuvent aussi provenir de la décomposition bioneuse !), et il garde en lui toutes ces scories de la vie en décomposition qui lui sont du poison. De même, lorsque l’organisme manque d’énergie vitale, l’équilibre entretenu par les virus ne peut pas s’opérer, car ces virus sont trop faibles pour réguler ces bactéries (en fait, les bactéries absorbent toute l’énergie disponible). Ces virus ne peuvent pas se diviser DANS la bactérie en surnombre, par faiblesse. Pour se diviser, il faut (Nombre d’I.) de l’énergie vitale en saturation et MOBILE de sorte à obtenir une détente.

Ce qui signifie que :
- les bions sont issus de la transformation de la matière en excès d’énergie saturée et IMMOBILE pour rester cohérente ; les bions s’agglomèrent sous forme de vésicules (vésicules bioneuses) qui s’entourent, par attraction, d’une membrane adipeuse ; quand ils sont issus de cellules, cette saturation et cet immobilisme de l’énergie provoque leur décomposition ;
- les bactéries sont issues de la transformation énergétique de la matière organique, mais organisées par de l’ADN : une adaptation spécifique mémorisée auto-duplicante de la vésicule bioneuse ; les bactéries sont régulées en nombre par les virus ;
- les virus sont issus de la vie, comme princeps, depuis la nuit des temps.(un peu comme la vitesse de translation de la lumière est la plus grande vitesse qui soit : c’est une donnée de la vie), qui maintiennent un équilibre, une péréquation du surnombre des bactéries. Je pourrais dire que les virus sont les organismes les plus primitifs (au sens temporel et organisationnel) de la vie (l’équilibre précis de cette péréquation demeure pour l’auteur un mystère, encore que des pistes se présentent à lui comme de possibles solutions) ;
- les multicellulaires sont tributaires à part entière du système ci-dessus décrit, tout en étant un ensemble de bactéries commensales et complémentaires comme adaptation à un environnement, historiquement structurés par un ADN – mémoire auto-transmissible ou transmissible par mélange (sexualité) – qui en donne la forme spécifique, organisés autour d’un système de communication (sang, lymphe, nerf) plus à même d’exprimer la force de la vie qui va de tension en détente, etc., la respiration du plaisir !

samedi 10 avril 2021

Virus ou pas virus ? Correspondance

                                                                                 (in english after *****)

 Cher Joel,
Je ne saurai te dire combien tes remarques m'apportent, car il n'est pas facile de trouver un contradicteur aussi expérimenté que toi. La contradiction : c'est cela qui nous fait progresser, car elle nous confronte à ce à quoi on n'a pas pensé et qu'autrui a pensé.
Je te remercie donc pour tes remarques. Et j'espère que les miennes pourront aussi donner une approche plus gaie de la vie !
Je reprends point par point.

[il s'agit d'une réponse à ce message-ci]

Une hypothèse intéressante. Mais elle dépend de plusieurs hypothèses.

( 1 ) Les "maladies" existent-elles ? Ou bien n'existe-t-il que la SANTÉ, et toutes les "maladies" ne sont que des SYMPTÔMES d'un manque de vitalité sous-jacent ? Le concept de maladies différentes n'est-il qu'une construction intellectuelle ?

Nous sommes tout à fait d’accord qu’il existe une homéostasie pour chaque élément vivant, car il est un tout en soi qui possède tous éléments nécessaires et suffisants pour vivre à sa façon, selon sa constitution. On peut donc considérer les déséquilibres, et principalement leur manifestation comme un symptôme de la perte de cette homéostasie.
C’est l’interprétation des signes de la perte de l’homéostasie qui peut faire l’objet d’interprétations différentes, suivant la base sur laquelle on comprend la vie. Quand il y a un déséquilibre, les symptômes du déséquilibre sont là.
Il a été remarqué depuis assez longtemps, un faisceau de signes pour *situer* la source du déséquilibre. Effectivement, à nouveau, l’interprétation de ce faisceau donne lieu à une tentative de comprendre le désordre, ce qu’on nomme « maladie ».
Ainsi, la maladie n’est pas une « explication » du désordre, mais seulement une description de ce dernier.

( 2 ) Les virus existent-ils ? Ou est-il possible que ce que l'on appelle virus soit en réalité des produits de dégradation autogènes, des débris cellulaires, formés à partir de cellules mortes ou mourantes lorsqu'une cellule est tuée par une attaque chimique ou électromagnétique ?

Selon *mon* entendement du monde, de la vie, les multicellulaires dont nous faisons parti, sont une organisation singulière d’une multitude de cellules qui, au fll de la complexification de leur assemble et de leur assemblage, se sont de plus en plus spécialisées pour une tâche de sorte que l’ensemble de cet amalgame de cellules, reste cohérent, mobile, en relation constant avec son environnement, sociaux, puisse persister à vivre *fonctionnellement*.
Dans *mon* entendement du monde, si les mono-cellulaires ne trouvent pas de limite à leur développement (elles se divisent en deux en fonction de leur tension et de celle de leur environnement), le monde serait *submergé* par ces bactéries et autres mono-cellualires. Pour *réguler* ce nombre, la nature a trouvé le virus qui n’agit spécifiquement (bien qu’à l’origine relativement polyvalent) sur une sorte de bactéries. De sorte que le nombre de bactéries est maintenu à un équilibre fluctuant, mais restant généralement dans le cadre de la santé, c’est-à-dire, en tant que contribution à la santé de la vie.
Les bactéries se nourrissent les unes des autres, mais leur *surnombre* est régulé par des organismes nommés « virus ». On a remarqué qu’à la différence des bactéries, ces virus possèdent ou bien un code ADN ou bien un code ARN, de sorte qu’ils ne puissent se développer SEULS : ils ont besoin des bactéries pour ce faire.
Ici, nous ne sommes pas à l’orée de la matière vivante, nous sommes dans le cadre de la matière achevée : les bions de WR ne possèdent pas d’ADN ou d’ARN, et sont vivants. Ce n’est que lorsqu’ils s’organisent en tant que protozoaires qu’ils fabriquent un ADN. L’ADN a deux fonctions : reproduire le même sur une base, et lui permettre de s’adapter à son environnement.

Ainsi, pour moi, les virus existent et je peux en expliquer l’existence.

Quant aux débris que l’on observe, ils sont les produits, les résidus de cette régulation des bactéries par les virus. Certains signes de perte d’homéostasie d’un multi-cellualire (un organisme) sont perceptibles, car cet organisme possède un système de nettoyage. On confond ce système de nettoyage avec une immunité de l’organisme à certaines bactéries ou virus. Non : ce système ne fait que nettoyer les déchets des bactéries régulées par le virus, rien de plus. Si on persiste à chercher un système « immunitaire » (c’est à dire : qui protège) on le trouvera dans les virus, nulle part ailleurs.
En ce sens, la maladie est un déséquilibre entre la *puissance vitale* du virus et le surnombre de bactéries ! La vitalité des bactérie est supérieure  à celle des virus qui en régule le surnombre : telle est la maladie.
Mais la maladie est aussi une déficience de la vitalité du système de nettoyage de l’organisme. L’organisme qui ne réussit pas à se nettoyer, s’encrasse. Il est encrassé par les débris issus de la régulation des bactéries par les virus. Cet encrassement est corollaire à la perte de vitalité générale de cet organisme. Un coup d’accumulateur d’orgone recharge l’organisme : il se décrasse des débris par un regain de force de son système de nettoyage (qu’on nomme « immunitaire ») et les virus retrouvent suffisamment de force pour finalement réguler le *surnombre* de bactéries.

Le sujet des sources de dévitalisation de l’organisme est important. Je pense comme toi que les ondes électromagnétiques, les pollutions chimiques et radioactives, le bruit, sont des facteurs graves d’affaiblissement de la vitalité d’un organisme.
Selon mon explication du monde, le principe de vitalité s’exerce essentiellement sur les virus. Quand un organisme est affaibli, c’est que ses virus (qui régulent le *surnombre* des bactéries) sont affaiblis et ne parviennent plus à réguler le surnombre des bactéries : ils sont dévitalisés., tout comme le système de nettoyage de cet organisme.


( 3 ) Si les maladies existent, le modèle de symptôme appelé covidé est-il l'un d'entre eux ? Ou est-ce un artefact statistique créé dans l'esprit des gens par la manipulation de statistiques ?

Le « modèle » de la covid-19 est un faisceau de signes de déséquilibre de l’homéostasie.
Effectivement, les *gouvernements*, à fin de manipulation des masses en rébellion, manipulent et falsifient l’ensemble des chiffres relatifs à cette « maladie ».  Le mode de vie qu’implique le mode de production et de distribution des objets, leur *surnombre* (et leur justification) devient intolérable, à la fois pour les gens et à la fois pour la planète.
Sinon, oui, il y a un faisceaux de signes congruent aboutissant à la nomination d’une maladie : la covid-19.

( 4 ) Si la covid existe, est-elle causée par un virus ? Ou pourrait-elle être due à quelque chose d'autre, comme une pollution chimique de l'air ou une pollution électrique, par exemple ?

Selon ce que j’ai écris plus haut, la maladie covid-19 n’est pas due à un virus, mais à un *surnombre* de bactéries que le virus en question tente de réguler. Les diverses pollutions sont de la partie, en ceci qu’elles affaiblissent la vitalité de l’organisme.

( 5 ) Si la covidie existe et qu'elle est causée par un virus, est-elle contagieuse ? Se transmet-elle d'une personne à l'autre ? Ou est-elle due à une cause environnementale indépendante du contact avec une personne atteinte ?

De part leur *fonction* les virus sont omiprésents et ubiquitaires. Ils s’adaptent très rapidement à une bactérie en surnombre. Dans le cas de la covid-19, j’ai pensé que ce *surnombre* de bactéries dans l’organisme pouvait être (j’en suis quasiment certain) les mitochondries qui se sont développées (en surnombre, donc) du fait de l’excès de sucre à transformer en énergie. Car la mitochondrie est une *bactérie* commensale aux cellules des organismes complexes.
Ce virus n’est donc transmissible que par opportunité, mais du fait de son omniprésence, il ne sert à rien de s’en protéger. Il semblerait même qu’on l’ait on soi, du simple fait de vivre dans un environnement, et du simple fait que les virus *s’adaptent * (ils « varient »).
La question sera plutôt : quelle est l’efficacité de ce virus à réguler le surnombre de mitochondries. On a remarqué un « orage cytokinique » qui détruit (nettoie) tout ce qui est en excès d’ATP. Cela signifie que le virus lui-même se sert du sucre pour transformer ce sucre en énergie, en ATP (c’est la fonction ARN et ce virus est un virus ARN). Et des thromboses : les hématites qui contiennent en surnombre de mitochondries éclatent et libère la fibrine, le coagulant naturel du sang.

À propos de l’environnement, j’y ai touché un mot plus haut, comme facteur de dévitalisation, c’est-à-dire, à la fois du système de nettoyage ( « immunitaire ») et à la fois la vitalité des virus vis-à-vis de celle des bactéries.

( 6 ) Si toutes les conditions ci-dessus sont réunies, si la covidie est une maladie réelle, causée par un virus et se transmettant par contact, est-elle dangereuse ? Ou n'est-elle un danger grave qu'en présence d'un ou plusieurs cofacteurs ? Le virus, s'il existe, est-il simplement opportuniste et peu susceptible de provoquer une maladie chez une personne qui n'est pas déjà en mauvaise santé ?
En d'autres termes, quelqu'un est-il déjà mort du seul covidium ? Sans aucune autre cause de décès ?

Oui, la covidie présente un ensemble de signes indiquant une dérèglement ou un déséquibilbre de l’homéostasie. Cet ensemble lui donne son nom et ses spécificités.

En d'autres termes, quelqu'un est-il déjà mort du seul covidium ? Sans aucune autre cause de décès ?

On ne meurt pas du virus, mais du surnombre de bactéries. C’est là l’originalité de mon approche. Un nombre important de « virus » (genre sras-cov 2) *indique* l’importance de la bataille que livre le virus face au *surnombre* des mitochondries.

Alors, alors... y a-t-il une solution à la covid-19 ? Si je me suis bien exprimé, on voit que la solution EST le virus, mais qu’on ignore totalement (car on est trop âpre à l’appât du gain) comment l’utiliser !

+++++++

Mais je dois avouer que la théorie des virus comme régulateur du surnombre de bactéries pêche en un point assez mystérieux : comment et quand donc ces virus "savent-ils" que, finalement, le nombre de bactéries est optimal (car il ne s'agit pas d'exterminer les bactéries qui sont très utiles ; seul leur surnombre est nocif)....  Quand donc, les virus (si ma théorie est bonne) savent ou connaissent qu'il leur faut cesser leur ouvrage ? Oui, j'avoue que c'est pour moi un grand mystère.
Mais il y a deux lois humaines, issues de la dialectique de Hegel qui peuvent m'aider sur ce sujet.
La première est celle qui évoque le changement de quantité en qualité – et, pourquoi pas, la gâchette qui déclenche ce changement – ; et la seconde qui édicte qu'il faut toujours un certain temps pour passer d'un état à un autre.
Mais je n'ai pas peur des mystères : depuis le tout début de ma connaissance des bions, la question qui me trottait dans la tête était celle-ci : mais comment donc les bions s'y prennent-ils pour créer une membrane. Ce pourrait bien être une membrane lipidique, finalement, non ?

*****************
Dear Joel,
I can't tell you how much your remarks bring to me, because it is not easy to find a contradiction as experienced as you are. Contradiction is what makes us progress, because it confronts us with what we have not thought of and that others have thought of.
So I thank you for your remarks. And I hope that mine will also give a more cheerful approach to life!
I'll take it point by point.

[this is a response to this message].

An interesting hypothesis. But it depends on several assumptions.

( 1 ) Do "diseases" exist? Or is there only HEALTH, and all "diseases" are only SYMPTOMS of one underlying lack odf vitality? Is the entire concept of different diseases only an intellectual construct?

We fully agree that there is a homeostasis for each living element, because it is a whole in itself that has all the necessary and sufficient elements to live in its own way, according to its constitution. We can therefore consider imbalances, and mainly their manifestation, as a symptom of the loss of this homeostasis.
It is the interpretation of the signs of the loss of homeostasis that can be subject to different interpretations, depending on the basis on which we understand life. When there is an imbalance, the symptoms of imbalance are there.
It has been noticed for quite a long time, a cluster of signs to *situate* the source of the imbalance. Indeed, once again, the interpretation of this cluster gives rise to an attempt to understand the disorder, what we call "disease".
Thus, the disease is not an "explanation" of the disorder, but only a description of it.


( 2 ) Do viruses exist? Or is it possioble that what are called viruses are really autogenic, breakdown products, cellular debris, formed from dead or dying cells when a cell is killed by some chemical or electromagnetic attack?

According to *my* understanding of the world, of life, the multicellulars, of which we are a part, are a singular organization of a multitude of cells which, as their assembly becomes more complex, have become more and more specialized for a task so that the whole of this amalgam of cells remains coherent, mobile, in constant relation with its environment, social, and can persist to live *functionally*.
In *my* understanding of the world, if the mono-cellulars do not find a limit to their development (they divide in two according to their tension and that of their environment), the world would be *submerged* by these bacteria and other mono-cellulars. To *regulate* this number, nature found the virus which acts specifically (although originally relatively versatile) on one kind of bacteria. So that the number of bacteria is maintained at a fluctuating balance, but generally remaining within the framework of health, that is, as a contribution to the health of life.
Bacteria feed on each other, but their *number* is regulated by organisms called "viruses". It has been noted that unlike bacteria, these viruses have either a DNA code or an RNA code, so that they cannot develop ALONE: they need bacteria to do so.
Here, we are not on the verge of living matter, we are in the context of completed matter: the bions of WR do not possess DNA or RNA, and are alive. It is only when they organize themselves as protozoa that they make DNA. DNA has two functions: to reproduce the same on a base, and to allow it to adapt to its environment.

Thus, for me, viruses exist and I can explain their existence.

As for the debris that we observe, they are the products, the residues of this regulation of bacteria by viruses. Some signs of loss of homeostasis of a multi-cellular (an organism) are perceptible, because this organism has a cleaning system. This cleansing system is mistaken for an immunity of the organism to certain bacteria or viruses. No: this system only cleans the waste products of bacteria regulated by the virus, nothing more. If we persist in looking for an "immune" system (that is to say: one that protects) we will find it in viruses, nowhere else.
In this sense, the disease is an imbalance between the *vital power* of the virus and the excess of bacteria! The vitality of the bacteria is greater than that of the virus, which regulates the excess of bacteria: this is the disease.
But the disease is also a deficiency of the vitality of the cleaning system of the organism. The organism that does not succeed in cleaning itself, gets clogged. It is clogged with debris from the regulation of bacteria by viruses. This clogging is corollary to the general loss of vitality of this organism. A shot of orgone accumulator recharges the organism: it cleans itself of debris by a renewed strength of its cleaning system (which we call "immune") and the viruses find enough strength to finally regulate the *overflow* of bacteria.

The subject of the sources of devitalization of the body is important. I think, as you do, that electromagnetic waves, chemical and radioactive pollution, and noise are serious factors that weaken the vitality of an organism.
According to my explanation of the world, the principle of vitality is essentially exercised on viruses. When an organism is weakened, it is because its viruses (which regulate the *over-number* of bacteria) are weakened and are no longer able to regulate the excess of bacteria: they are devitalized, just like the cleaning system of this organism.



( 3 ) If diseases exist, is the symptom-pattern called covid one of them? Or is it a statistical artifact created in the minds of people by manipulation of statistics?

The "model" of covid-19 is a cluster of signs of imbalance of homeostasis.
Indeed, the *governments*, in order to manipulate the rebellious masses, manipulate and falsify all the figures related to this "disease".  The way of life implied by the mode of production and distribution of objects, their *over-number* (and their justification) becomes intolerable, both for the people and for the planet.
Otherwise, yes, there is a congruent set of signs leading to the nomination of a disease: covid-19.



( 4 ) If covid exists, is it caused by a virus? Or could it be due to something else, such as some chemical air pollution or some electrical pollution, for example?

According to what I wrote above, the covid-19 disease is not due to a virus, but to a *over-number* of bacteria that the virus in question tries to regulate. The various pollutions are part of it, in that they weaken the vitality of the organism.



( 5 ) If covid exists and is ccaused by a virus, is it contagious? Does it pass from one person to another? Or is it due to some environmental cause that is independent of contact with anyone who has it?

Because of their *function*, viruses are omnipresent and ubiquitous. They adapt very quickly to a bacterium in excess. In the case of covid-19, I thought that this *overflow* of bacteria in the organism could be (I'm almost sure) the mitochondria which have developed (in excess, therefore) because of the excess of sugar to be transformed into energy. Because the mitochondria is a commensal *bacteria* in the cells of complex organisms.
This virus is therefore only transmissible by opportunity, but because of its omnipresence, there is no point in protecting yourself from it. It would even seem that we have it on ourselves, simply because we live in an environment, and because viruses *adapt* (they "vary").
The question will be rather: how effective is this virus in regulating the excess of mitochondria. A "cytokine storm" has been noticed that destroys (cleans up) everything that is in excess of ATP. This means that the virus itself uses sugar to transform this sugar into energy, into ATP (this is the RNA function and this virus is an RNA virus). And thrombosis: hematites that contain too many mitochondria burst and release fibrin, the natural blood coagulant.

About the environment, I touched on it above, as a factor of devitalization, that is, both the cleaning system ("immune") and the vitality of viruses vis-à-vis that of bacteria.



( 6 ) If all the above conditions are met, if covid is a real disease, is caused by a virus, and is spread via contact, is it dangerous? Or is it only a serious danger in the presense of one or more co-factors? Is the virus, if there is one, merely oportunistic and unlikely to cause illness in a person not already in poor health?
In other words, has anyone ever died from covidium alone? Without any other cause of death?

In other words, has anybody ever died from covid ALONE? Without any other contributing cause of death?

Yes, covidia presents a set of signs indicating a disturbance or a desequilibrium of homeostasis. This set gives it its name and its specificities.

One does not die from the virus, but from the excess of bacteria. This is the originality of my approach. A large number of "viruses" (like sras-cov 2) *indicates* the importance of the battle the virus is fighting against the *overcrowding* of mitochondria.

So, then... is there a solution to covid-19? If I've expressed myself correctly, we see that the solution IS the virus, but we have no idea (because we are too too keen on the lure of gain) how to use it!

++++++++

But I must admit that the theory of viruses as regulators of the excess of bacteria is mysterious in one respect: how and when do these viruses "know" that, in the end, the number of bacteria is optimal (because it is not a question of exterminating the bacteria which are very useful; only their excess is harmful) ....  When then, do the viruses (if my theory is correct) know or know that they must stop their work? Yes, I confess that this is a great mystery to me.
But there are two human laws, coming from Hegel's dialectic, which can help me on this subject.
The first one is the one that evokes the change from quantity to quality - and, why not, the trigger that triggers this change -; and the second one that states that it always takes a certain time to go from one state to another.
But I am not afraid of mysteries: since the very beginning of my knowledge of bions, the question that kept running through my head was this: how do bions create a membrane? It could be a lipid membrane after all, couldn't it?

mercredi 7 avril 2021

Cessons de prendre les virus pour des cons

[ in english more down, after *****]

 

Ce qui est dit sur *l'adaptation* du virus (ses "variants") me semble tout à fait pertinent.

Et continue de germer en moi cette idée que ce "virus" a une utilité biologique – une *fonction* –, pour qu'il varie tant, qu'il persiste à trouver le moyen "d'exécuter son ouvrage". Et que, de fait, il s'attaque à (il cherche à *réguler*, comme TOUS les virus de cette planète) un *surnombre* de bactéries.

Et il m’est apparu ce fait que je ne connaissais pas ... que ces "bactéries" seraient les mitochondries : ces bactéries commensales indispensables à notre existence qui sont présentent dans chacune de nos cellules. Pourquoi ?

Nos cellules contiennent un *nombre variable* de mitochondries. Je ne suis pas arrivé précisément à connaître les facteurs de cette variabilité. Mais si je pense, je me dis que *moins* UNE seule mitochondrie réussit à transformer les sucres en énergie, *plus* il faut de mitochondries. Hihihi. Et le « surnombre » serait celui-ci...  celui des mitochondries dans nos cellules.

Ainsi, chez les gens qui ont un problème de transformation de sucres en ATP, le virus vient réguler, en pénétrant dans une cellule affaiblie, le *surnombre* de ces mitochondries.

Seulement, le problème reste : celui des sucres et de leur transformation. Arrive l’orage cytokinique, etc., car le virus utilise les sucres non-transformés par les mitochondries, comme je l’avais supposé l’année dernière, en ré-utilisant l’ARN  des ( ! ) mitochondries pour les transformer en ATP dont les cytokines sont friands comme facteur de développement !

Le phénomène de « moins d’efficience conduit à un surnombre » mène à un problème de *place intracellulaire* où trop de mitochondries asphyxie la cellule... qui s’affaiblit.

Le genre de toutes les maladies qui est co-facteur de l'émergence de ce virus, est précisément l'amoindrissement du *fonctionnement* des mitochondries : cancer, d'abord, ensuite, obésité, diabètes, etc., en ce sens qu'elles ne savent plus transformer correctement, les sucres en ATP, en énergie.

Outre, donc, un changement de paradigme chez le malade des sucres, qui doit modifier sa manière de vivre, il existe en plus, des traitements pour cet excès de mitochondries, en ce sens qu’elles restent efficientes suffisamment pour ne pas *étouffer par leur nombre* la cellule. Mais, dans l’immédiat, on ne peut pas « guérir » les gens atteint par ce virus et ses variants. Il faut donc (comme le font les médecins sensés) calmer l’orage cytokinique et calmer le sang qui se coagule... et attendre.

Mais il est certain que les gens doivent SE changer pour percevoir le monde non plus comme une accumulation de sucres, mais comme une dépense d’énergie *gratuite* de la vie qui comprend comment se réguler (bon je suis un peu moral en disant cela, mais quoi ?).

En conséquence de tout ceci, on peut, effectivement, être « porteur » du SRAS-COV 2, sans que cela soit un inconvénient ; et on peut être détecté au PCR sans qu’on soit malade ; et on peut tout faire pour éviter son contact que cela sera inutile. Ce virus a une *fonction* et selon sa nature, il fonctionne ! On ne peut pas « éradiquer » un virus, comme on met un délinquant en prison (et d’ailleurs, est-ce la meilleure des solutions ? e vaut-il pas mieux mettre un politicien ?). Au surplus, comme *fonction*, ce virus est toujours de passage.

Cette société de malades affectifs a perdu tout sens de ce qu’est un *fonctionnement*, c’est-à-dire, l’intégration, l’intrication (ou l’imbrication) de la régulation de la vie par elle-même. Elle a perdu la notion de temps (« On est là pour gagner du temps », dit opportunément le Dr Fouché), et elle a égaré en conséquence la force du temps., sinon que comme briseur de grèves. Le temps n’est qu’une marchandise comme une autre pour le capitalisme ; le temps serait même, selon certains, la marchandise princeps du capital.  On voit qu’à ne rien y comprendre, on égare tout le monde et on pourrit la globalité et la régulation du monde, en affirmant qu’on y comprend rien.


Pour ce qui est de la coagulation du sang : comme le reste, il y a des mitochondries dans les hématites. Comme le virus sras-cov 2 s'occupe du surplus de mitochondries, il abime en même temps l'hématite, la cellule porteuse des mitochondries. La cellule éclate et libère de la fibrine qui est l’élément de la coagulation.....
bon... c'est peut-être un peu tiré par les cheveux, mais que cela se passe au niveau des poumons, c'est que c'est l'endroit où les hématites – qui ont trop de mitochondries – 'fonctionnent' (selon 'leur' fonction qui est de transporter CO2 et oxygène) "le plus mal".

De plus, quand ils parlent du système immunitaire, ils se trompent, à mon avis. Celui-ci ne protège pas des "microbes et autres virus", mais il a la fonction de nettoyer, et uniquement nettoyer des scories des "batailles" entre les virus et les bactéries. Les virus sont les régulateurs du surnombre des bactéries.
Et dans la covid, il s'agit de la mitochondries et son *surnombre* ici et là.

[Je n'avais pas vérifié mon idée, et j'ai cherché sur le web. J'ai trouvé ceci : « Ainsi, l'excès de graisse entraîne des mitochondries plus nombreuses mais mitochondries déformées et qui ne produisent pas l’énergie nécessaire aux cellules. »]


Un vaccin ne fera donc rien contre une maladie civilisationnelle : obésité, diabète, cancer, cœur et vaisseaux sanguins, poumons, etc. (maladies du sucre et de l’expectation – siting on the spot). Et on risque fort d'abimer ceux qui ne lui obéissent pas avec autant d'ardeur... ce qui ajoute à la maladie civilisationnelle, vous comprenez ?

Pour la nature, le virus sras-cov2 est une solution, c'est-à-dire la résolution d'un problème, pas le problème lui-même.

En fait, ce virus était présent (tel quel ou demandant une ou deux variations) dans la nature bien avant qu'il ne surgisse pour résoudre un problème que soulève la civilisation humaine, avec ses maladies humaines.... civilisationnelles !

Et comme c'est précisément cette civilisation qui excite l'existence de ce virus, cette civilisation - ou plutôt : ceux qui la créent... le capitalisme qui cache derrière sont petit doigt le patriarcat en mouvement – ne peut pas comprendre comment s'en guérir.... La *gestion* actuelle de cette maladie finalement bénigne pour le commun des mortels, est désastreuse, comme la gestion générale de la vie.

Et elle emporte tout le monde avec elle, même ceux qui y participent de loin !

Prenons soin de nous !


**********

What is said about the *adaptation* of the virus (its "variants") seems to me quite relevant.

And I keep thinking that this "virus" has a biological utility - a *function* -, so that it varies so much, that it persists in finding a way to "do its work". And that, in fact, it attacks (it tries to *regulate*, like ALL the viruses on this planet) a *superabundance* of bacteria.

And it occurred to me that I didn't know ... that these "bacteria" would be the mitochondria: those commensal bacteria that are indispensable to our existence and that are present in each of our cells. Why?

Our cells contain a *varying* number of mitochondria. I have not been able to find out precisely what factors account for this variability. But if I think about it, I figure that *less* than ONE mitochondrion is able to convert sugars into energy, *more* mitochondria are needed. Hihihi. And the "more" would be this... the superabundance of mitochondria in our cells.

So, in people who have a problem converting sugars into ATP, the virus regulates the *overcrowding* of these mitochondria by penetrating a weakened cell.

But the problem remains: this about sugars and their transformation. Then comes the cytokine storm, etc., because the virus uses the sugars not transformed by the mitochondria, as I had supposed last year, by re-using the RNA of the superabundance (but impotent !) mitochondria to transform them into ATP which the cytokines are fond of as a development factor!

The phenomenon of "less efficiency leads to more" leads to an *intracellular space* problem where too many mitochondria suffocate the cell... which weakens.

The kind of diseases that are co-factors of the emergence of this virus is precisely the reduction of the *functioning* of mitochondria: first cancer, then obesity, diabetes, etc., in the sense that they no longer know how to transform sugars into ATP, into energy.

In addition to a paradigm shift in the patient's way of life, there are also treatments for this excess of mitochondria, in the sense that they remain efficient enough not to *stifle the cell by their number*. But, in the immediate future, we cannot "cure" people affected by this virus and its variants. So we must (as sensible doctors do) calm the cytokine storm and calm the clotting blood... and wait.

But surely people need to change-themself to perceive the world no longer as an accumulation of sugars, but as a *free* expenditure of energy from life that understands how to regulate itself (well I'm being a bit moral in saying this, but what?).

As a consequence of all this, one can, indeed, be a "carrier" of SARS-COV 2, without this being an inconvenience; and one can be detected by PCR without being sick; and one can do everything to avoid its contact that it will be useless. This virus has a *function* and according to its nature, it works! We cannot "eradicate" a virus, as we would put a delinquent in prison (and besides, is it the best solution? Wouldn't it be better to put a politician in jail?). Moreover, as a *function*, this virus is always in transit.

This society of emotionally ill people has lost all sense of what a *function* is, that is, the integration, the interweaving (or the interlocking) of the regulation of life by itself. It has lost the notion of time ("We are here to save time", says Dr. Fouché opportunely), and it has consequently mislaid the force of time, if not as a strike breaker. Time is only a commodity like any other for capitalism; time would even be, according to some, the princeps merchandise of capital.  We see that by not understanding anything about it, we lead everyone astray and we spoil the globality and the regulation of the world, by claiming that we understand nothing about it.


As for blood coagulation: like the rest, there are mitochondria in the hematites. As the sras-cov 2 virus takes care of the surplus of mitochondria, it damages at the same time the hematite, the cell carrying the mitochondria. The cell bursts and releases fibrin which is the element of coagulation.....
well... it may be a bit far-fetched, but the fact that it happens in the lungs means that this is the place where the hematites - which have too many mitochondria - 'function' (according to 'their' function, which is to transport CO2 and oxygen) 'the worst'.

Moreover, when they talk about the immune system, they are wrong, in my opinion. The immune system does not protect against "microbes and other viruses", but it has the function of cleaning, and only cleaning, the slag from the "battles" between viruses and bacteria. The viruses are the regulators of the bacteria surplus.
And in the covid, it is the mitochondria and its *overcrowding* here and there.



I hadn't checked my idea, and I looked it up on the web. I found this: "Thus, excess fat leads to more mitochondria but deformed mitochondria that do not produce the energy needed by cells. "]


So a vaccine will do nothing against civilizational disease: obesity, diabetes, cancer, heart and blood vessels, lungs, etc. (diseases of sugar and expectation - siting on the spot). And there is a great risk of damaging those who do not obey it so ardently... which adds to the civilizational disease, you understand?

For nature, the sras-cov2 virus is a solution, i.e. the resolution of a problem, not the problem itself.

In fact, this virus was present (as it is or with one or two variations) in nature long before it appeared to solve a problem raised by human civilization, with its human diseases.... civilization's!

And as it is precisely this civilization that excites the existence of this virus, this civilization - or rather: those who create it... capitalism that hides behind its little finger the patriarchy in motion - cannot understand how to cure itself.... The current *management* of this disease, ultimately benign for the common man, is disastrous, as is the general management of life.

And it is taking everyone with it, even those who participate from afar!

Take care of us !

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