mardi 13 octobre 2020

Conaravirus ou quoi ?

On veut parfois remettre en question l’existence même du coronavirus.

(english after ***)

Il y a deux points :

A : l’existence du virus
B : ce qu’il est fait *politiquement* de l’existence réelle ou virtuelle du virus.    

A : les « virus » peuvent aisément être assimilés à ce que Wilhelm Reich a appelé « bacilles T » (La Fonction de l’orgasme, tome 2 : La Biopathie du cancer). Wilhelm Reich a réussi à cultiver ces BT et en les injectant à des souris saines, a montré que ces BT étaient source de morbidité. Ces BT sont un produit de la dégradation cellulaire d’une cellule *dévitalisée*. Les BT sont détruits par l’énergie d’orgone (l’énergie de la Vie) présentée sous forme de bions.

Une identité existe entre ces BT et les virus. Les moyens modernes de détection d’objets de plus en plus ténus ont permis de distinguer ces formes de vie qui sont environ 10 à 100 fois plus petites que les bactéries : les virus. On peut aussi distinguer que certaines bactéries peuvent être « tuées » par des virus. Selon moi, c’est l’utilité naturelle des virus : réguler le nombre de bactéries dans la nature.

    Oui, on peut penser que ces « virus » (ou BT) sont le résultats protéiques de la dégradation des cellules dévitalisées. Wilhelm Reich a démontré que les BT sont le produit de la dégradation de cellules de multicellulaires dévitalisées. Dans ce cas, la covid (ou tout autre maladie virale : les BT) serait détectable par la présence de ces protéines, issues du fait de la dégradation de cellules dévitalisées.

Il existe bien des protéines (ici nommées « virus ») provenant de la dégradation de bactéries. Avec la covid, ces bactéries sont elles-mêmes issues de la dégradation de cellules d’un organisme *multi-cellulaire*, dont la cohérence est dissoute, faute d’une vitalité suffisante.

Mais ce qui caractérise le vivant (l’existence du virus) est aussi sa « reproduction ». Les virus peuvent-ils se reproduire ? En fait, ils se bouturent.

Pour ce que j’en sais, la différence entre une bactérie (ou tout autre cellule vivante) et un virus, c’est que la première possède *à la fois* de l’ADN et de l’ARN ; tandis qu’un virus ne possède ou bien de l’ADN, *ou bien* de l’ARN (c’est plus souvent de l’ARN). Une autre différence (d’importance) c’est que – pour ce que j’en sais – dans leur prolifération, la bactérie *se divise* ; tandis que le virus *se duplique*, se réplique ou se clone (comme des boutures de plantes).

Si Wilhelm Reich a multiplié les BT, on peut penser que les virus peuvent se dupliquer. Il existe une branche de la médecine (la phagothérapie) qui sait multiplier à des fins thérapeutiques, des virus spécifiques à certaines bactéries présentes en nombre nocif, afin d’accélérer leur dégradation. Cette banche est peu connue, hélas... sans doute qu’elle est trop peu « rentable ».

Au surplus, la découverte (vers les années 1920) initiée par les virus de bactéries (les phages) s’est élargie jusqu’à aujourd’hui. Ces virus (phages de bactéries) sont si nombreux qu’ils ont été organisés en une branche autonome du vivant : les *archaea*. Cette banche de la biologie montre que ces « virus de bactéries » sont partout, en un nombre incommensurable et en tous lieux de la planète, et qu’ils sont les régulateurs *en nombre* des bactéries  autonomes, qu’elles soient issues de la dégradation d’un multicellulaire ou autonomes.

Dans cette compréhension du monde, les bactéries sont des *nettoyeuses* soit des organismes multicellulaires, soit le résultat de la dégradation des cellules d’organisme. Et les BT (virus) en sont les régulateurs.  Je veux dire que les bactéries sont régulées par les virus. La régulation des virus dépend d’une loi mystérieuse (celle du changement de la quantité en qualité) qui permet aux bactéries de poursuivre leur existence salvatrice. Mais trop de l’une ou trop de l’autre est pathologique, bien évidemment !

B : ce qu’il est fait *politiquement* de cette existence réelle ou virtuelle du « virus ».

Il est indéniable que ce « virus » n’a aucune relation immédiate avec la police du monde. Il est un prétexte politique, c’est-à-dire *policier* sur lequel s’appuie une tentative de fin d’un monde de continuer à respirer. L’explosion des « richesses » (qui ne sont que *virtuelles*) nous montre que le capitalisme (qui cache derrière son petit doigt le patriarcat en *en mouvement*) présente un grave problème existentiel. Comme je l’ai souligné dans un précédent billet, cette explosion s’apparente à l’explosion cytokinique (mécanisme d’autodéfense) caractéristique  de l’organisme atteint par « la covid-19 », alors que c’est l’organisme qui se dégrade !!!

C’est pour cela qu’il nous faut distinguer les deux aspects A et B de cette affaire. L’entreprise policière ne doit pas nous faire oublier les modalités du vivant et nous interdire de penser que certains aspects de ce vivant nous échappent encore, et notamment, l’existence de ces régulateurs de bactéries : les virus (dont l’existence peut être démontrée par l’utilisation thérapeutique des « phages »).

Si l’intention est louable de remettre en cause ce qu’on nous *montre*, en se posant la question de l’existence-même du coronavirus, en portant la confusion sur les modalités du vivant, on risque aussi de mélanger en un bouilli-boula les pensées critiques. La réponse *policière* à un problème sanitaire ne remet pas obligatoirement en cause l’existence du vivant, sinon qu’en le *falsifiant*. Nous devons éviter de répondre positivement à cette falsification habituelle du vivant par la mentalité de cette société patriarcale : cette falsification lui est indispensable pour perdurer selon *ses* modalités.

*************
People sometimes want to question the very existence of the coronavirus.

There are two points:

A: the existence of the virus
B: what is *political* done about the real or virtual existence of the virus.    


A: "Viruses" can easily be assimilated to what Wilhelm Reich called "T-bacilli" (The Function of Orgasm, Volume 2: The Biopathy of Cancer). Wilhelm Reich succeeded in cultivating these T-bacilli and by injecting them into healthy mice, showed that these T-bacilli were a source of morbidity. These BTs are a product of the cellular degradation of a *devitalised* cell. TBs are destroyed by orgone energy (the energy of Life) presented in the form of bions.

An identity exists between these TBs and viruses. Modern means of detecting increasingly tenuous objects have made it possible to distinguish these forms of life which are about 10 to 100 times smaller than bacteria: viruses. It is also possible to distinguish that some bacteria can be "killed" by viruses. In my opinion, this is the natural utility of viruses: to regulate the number of bacteria in nature.

    Yes, we can think that these "viruses" (or TBs) are the protein results of the degradation of devitalized cells. Wilhelm Reich demonstrated that BTs are the product of the degradation of devitalized multicellular cells. In this case, the covid (or any other viral disease: the TBs) would be detectable by the presence of these proteins, resulting from the degradation of devitalized cells.

There are many proteins (here called "viruses") resulting from the degradation of bacteria. With the covid, these bacteria are themselves derived from the degradation of cells of a *multi-cellular* organism, whose coherence is dissolved due to lack of vitality.

But what characterizes the living (the existence of the virus) is also its "reproduction". Can viruses reproduce themselves? In fact, they duplicate

As far as I know, the difference between a bacterium (or any other living cell) and a virus is that a bacterium has *both* DNA and RNA; whereas a virus has either *or* DNA, *or* RNA (it is more often RNA). Another (important) difference is that - as far as I know - in their proliferation, bacteria *divides*; whereas a virus *doubles*, replicates or clones (like plant cuttings).

If Wilhelm Reich multiplied TBs, one can think that viruses can duplicate themselves. There is a branch of medicine (phagotherapy) that knows how to multiply, for therapeutic purposes, viruses specific to certain bacteria present in harmful numbers, in order to accelerate their degradation. This branch is little known, alas... no doubt that it is too "unprofitable".

In addition, the discovery (around the 1920s) initiated by bacterial viruses (phages) has been extended to the present day. These viruses (bacterial phages) are so numerous that they have been organized into an autonomous branch of living organisms: the *archaea*. This branch of biology shows that these "bacterial viruses" are everywhere, in an immeasurable number and in every place on the planet, and that they are the *numerous* regulators of autonomous bacteria, whether they result from the degradation of a multicellular or autonomous.

In this understanding of the world, bacteria are *cleaners* either of multicellular organisms or the result of the degradation of organism cells. And BT (viruses) are the regulators.  I mean, bacteria are regulated by viruses. The regulation of viruses depends on a mysterious law (that of changing quantity into quality) that allows bacteria to continue their life-saving existence. But too much of one or too much of the other is pathological, of course!

B: what is done *politically* of this real or virtual existence of the "virus".

It is undeniable that this "virus" has no immediate relationship with the world's police. It is a political pretext, i.e. *police* on which an attempt to this end a world that continues to breathe is based. The explosion of "wealth" (which is only *virtual*) shows us that capitalism (which hides behind its little finger the patriarchy *in movement*) presents a serious existential problem. As I pointed out in a previous post, this explosion is similar to the cytokinic explosion (self-defense mechanism) characteristic of the organism affected by "covid-19", whereas it is the organism that degrades itself!!!

This is why we must distinguish the two aspects A and B of this case. The police enterprise must not make us forget the modalities of the living and forbid us to think that certain aspects of this living still escape us, and in particular, the existence of these regulators of bacteria: viruses (whose existence can be demonstrated by the therapeutic use of "phages").

If the intention is praiseworthy to call into question what one is *showed* to us, by questioning the very existence of the coronavirus, by confusing the modalities of the living, we also risk mixing critical thoughts into a boiled-boiled mess. The *police* answer to a health problem does not necessarily call into question the existence of the living, except by *falsifying* it. We must avoid responding positively to this habitual falsification of the living by the mentality of this patriarchal society: this falsification is indispensable for it to continue to exist in *its* ways.