[sur une liste de discussion, des avis ont été échangés à propos du covid-19. J’avais commencé le 27 mars, par celle-ci]
Le coronavirus est une maladie bénigne. Aujourd’hui, il y a eu 450 876 *contaminés* et 20 657 morts dues à ce virus.
Par rapport à la population mondiale, cela nous donne un contaminé pour 15 000 gens et par rapport au nombre moyen de morts par jour (156 000), en 75 jours de présence (156 000 x 75 = 11 700 000 !!!) cela nous donne une morbidité remarquable, mais dérisoire (voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Mortalit%C3%A9_dans_le_monde). Il meurt, actuellement plus de gens pour une multitude d’autres raison, que du coronavirus ! En France il meurt en moyenne 1 650 personnes *par jour* et le totale des morts par coronavirus est de [actualisé au 4 juillet 2020 : 29 833 en 200 jours, soit environ 150 par jour].
Factuellement, le coronavirus est mortel pour 1,3 % des gens *contaminés*. On en connait pas le % des gens contaminés sur les gens sains, ou les porteurs-sains. Les autres morts sont dues à une diminution de la résistance du système immunitaire de patients *déjà* malades, ou très vieux. Moins de 1% des morts ont moins de 50 ans.
(«alors que les patients qui ont déclaré ne pas avoir de comorbidité avaient un taux de mortalité de 1,4 %, les patients souffrants de comorbidité avaient des taux beaucoup plus élevés: 13,2 % pour les maladies cardiovasculaires, 9,2 % pour le diabète, 8,4 % pour l’hypertension, 8,0 % pour les maladies respiratoires chroniques et 7,6 % pour le cancer». https://sante.lefigaro.fr/article/les-autorites-clarifient-la-liste-des-personnes-a-risque-face-au-coronavirus/) (insuffisance rénale, hypertension artérielle, etc.)
Oui, la pollution est un co-facteur, puisqu’elle diminue fortement la résistance immunitaire des gens. Les autres facteurs sont le diabète, l’obésité, les maladies cardio-vasculaires, etc. et la vieillesse.
Alors, de quoi s’agit-il ? Si je dis que le coronavirus est une manière de rendre dociles les gens en leur montrant le paternalisme de l’État, je devrai montrer *en quoi* c’est un *avantage pour l’État* d’opter pour de telles mesures. Il suffirait de détecter d’abord, chez les personnes à risques, la présence de ce virus (comme en Allemagne, où on note seulement 44 mort en 75 jours) pour en prendre correctement soin, avant que les hôpitaux ne soient engorgés par des malades aggravés par ce virus... et former une panique.
Par l’option de cloisonner les gens, l’État provoque de sérieux désagréments, dont le premier est l’impossibilité d’une auto-immunisation (ce qui se réalise habituellement, avec le grippe, per exemple) de la population. Mais, s’y ajoute, l’augmentations des cas psychiatriques, de l’alcoolisme, des suicides, de la maltraitance conjugale (plus 36% en une semaine en IdF) et de l’enfance, l’abstinence sexuelle (plus de 40 % des foyers sont ceux de célibataires, en France), les problèmes de promiscuité et de voisinage, etc. sans compter l’émergence d’une nouvelle maladie *sociale* « la phobie du contact » (à ajouter à tous les -ismes déjà présents !).
Quand on dit que la force de l’État est de diviser, il faut revoir cette formule en « L’État *sépare* pour mieux régner ». Mais régner sur quoi ? Sur la fin de *son* monde ? De plus, en France comme en Italie, les gens refusent d’être séparés : chaque soir, en prenant de plus en plus d’ampleur, à 20 H, les gens de leur balcons ou de leur fenêtre, font un tintamarre du diable pendant cinq minutes. J’attends le moment où ils descendront dans la rue !!!
Je me trouve véritablement désappointer pour comprendre l’action de l’État face à une maladie bénigne. Les gens qui en meurent aujourd’hui, auraient de toutes façons été comptés dans les statistiques mortuaires, en fin d’année !!! Que veut nous faire croire l’État ? L’État a véritablement instauré une panique chez les gens : un mètre les uns des autres, par de bises, par de serrage de mains, etc., même entre amis ! Certes, l’État en profite pour passer des lois liberticides et dégrader les droits du travail. Mais où cela va-t-il le mener ?
Nous allons, subrepticement, avoir *l’armée* dans les rues. C’est, au final, une guerre civile larvée.
Pour autant qu’il s’agisse d’un problème d’ordre sanitaire, le corronavirus est d’abord d’ordre policier, c’est-à-dire politique.
C’est en Chine qu’a été mise au point une méthode *policière totalitaire* du contrôle de la population. L’Europe imite cette méthode.
Bon, il y a deux avantages à ce confinement. D’abord, c’est l’arrêt de la pollution due à la production de tout et de rien. Nous avons un air deux à trois fois plus sain. Ensuite, la population peut constater qu’on peut vivre avec ces « services minimum » sans aucun problèmes. Ainsi, cette pré-panique du manque en cas de révolution tombe à l’eau, avec une organisation minimum. Les gens soulignent aussi les manques de l’État.
Voilà, ce que je pense de notre affaire...
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[le 4 avril 2020]
Cette histoire de coronavirus est exactement une crispation autour d’une croyance. Les gens qui croient en la validité des histoires qu’on raconte officiellement sur ce virus, ne croient en rien d’autre. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur et que cette angoisse demande à être stabilisée.
Je ne manque par du tout d’empathie, aucunement... je trouve même : bien au contraire. Que font tous ces auto-prisonniers ? Et quoi ? Devrions-nous vivre éternellement ? La mort est douloureuse pour les vivants, seulement. Et c’est des vivants dont il s’agit.
De fait, ON a créé une peur et ON se propose d’en donner la solution. Mais cette peur repose sur une peur plus ancestrale (si je puis dire) : la peur d’autrui. Autrui serait susceptible, dès aujourd’hui, d’être l’être qui vous veut du mal, qui veut vous nuire, vous réduire à la mort... *par son contact*.
Alors, je ne dis pas qu’il ne faut pas prendre soin des gens, etc. Je dis : comment prend-on soin des gens et quelle est la docilité avec laquelle ces gens acceptent la solution de l’État comme la meilleure, et pourquoi. On ne peut que constater que la peur d'autrui a augmenté d'un cran. Est-ce la bonne solution ?
On sait que tous les -ismes du monde sont déjà une peur d’autrui (chacun avec ses particularités : couleurs de peau, dieu, sexe, etc.) en lui attribuant les malheurs du monde. Mais LÀ, ici et maintenant, on ajoute une *peur du contact* liée à l’ensemble du monde, à TOUT le monde... dont on craint qu’il vous donne la mort. De sorte que cette *croyance* empêche toute retenue, mon cher Bill, vis-à-vis d’autrui, sans qu’on se rende compte que son comportement est finalement douteux. Me vouer aux gémonies, moi ou quelqu’un d’autre, ne relève que de la *croyance* et en rien d’autre. Et contre la croyance, on ne peut RIEN : aucun argument, aucune « preuve », ou quoi ou qu’est-ce, ne peut aller à l’encontre de cette structure caractérielle figée.
Comme par hasard, on ne pourrait rien contre un virus. Les seuls moyens employés sont les moyens habituels de l’État... et a-t-on déjà vu une efficacité à ce que fait l’État pour le bonheur des gens ?
Le coronavirus est un virus bénin. En France, il y a entre 10 et 15 mille morts par la grippe, pour une létalité de 1%. Cela nous donne que entre 1 et 1,5 millions de gens, sont chaque année contaminés. Nous avons donc à faire, ici, avec une gestion militaire d’un problème d’ordre sanitaire. Si cette maladie tue, c’est dû à la gabegie de l’État qui n’a cessé de grignoter sur le budget de la santé et le scandale apparaît, aujourd’hui, avec une maladie bénigne, car il s’est rendu impotent à résoudre les problèmes sanitaires que soulève un virus bénin et *nouveau*.
Les morts dues à ce virus ont pour corrélation, les graves (sinon immenses) pollutions chimique, une nourriture industrielle et électromagnétique, la dépression, les maladies antérieures des gens. Les drogués ne meurent pas de cette maladie. Mais les malades du cœur, oui, à 78 % et à des âges avancés et 50% avaient au moins TROIS maladies. Les jeunes gens qui en sont morts ont fait des erreurs médicamenteuses : ibuprophène, chloroquine en excès.
Mais, corrélativement, l’État profite de la situation pour dégrever tous les avantages sociaux des gens, mesurer leur docilité à la croyance en le *paternalisme* de l’État, cloîtrer des gens bien portants et des enfants dans 10 m2 chacun. Tout cela, pour ne « pas *contaminer* ou *être contaminé* » par un virus, entre NOUS.
Ici, pour le moins, l’État réussi deux coups : SÉPARER les gens les uns des autres en donnant la croyance que chacun est mortel pour l’autre, et continuer à régner par la peur...
Personnellement, c’est là où j’en suis de la compréhension des choses. Je suppose que l’État à une autre « raison » de ses agissements, que je ne comprends encore pas. Il paraît extrêmement étrange que l’Économie, le sang de l’État, soit tout à coup paralysée. Quel est l’intérêt de l’État dans cette affaire ? Je n’en veux à personne, j’essaye de comprendre cette étrange situation.
Ok, mais je suis bien content de ce confinement : un virus a réalisé ce que les gens devaient faire : cesser toute production et repenser le monde. Plus de pollution (sauf les intrants agricoles), air pur, chants d'oiseaux, délicieux silence, etc. Il y a que, présentement, c'est encore et toujours de la manière de l'État et de sa police.
Prenons soin de nous.
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[le 18 avril 2020]
Nous nous trouvons confrontés à deux faits contradictoires :
il est créé de toute pièce une panique centrée sur l’existence du coronavirus, et cette « panique » politique (ridicule, mais par certains aspects révélatrice d’une gabegie étatique) qui oblige à un confinement abrogeant la majeur partie de notre liberté ;
et d’autre part, les immenses bienfaits écologiques que ce confinement déploie. Nous retrouvons un air pur, le bruit a grandement diminué, les nuages reprennent une forme normale dans un ciel bleu, la mer se repose, on entend la joie de vivre des oiseaux.
Je tiens absolument à dire que je suis *pour* ce confinement, malgré qu’il soit imposé à une population qui, elle, aurait dû depuis longtemps l’imposer pour en rester la maîtresse. Cet arrêt de la production, de la consommation d’hydrocarbures et de pollutions chimiques est franchement salutaire.
La première constatation *sociale* est le déploiement des pouvoirs discrétionnaires de la police. Et quand la police prend le dessus sur le peuple, c’est pour l’empêcher de se *réjouir* de la vie (bon... je le conçois, selon la grandeur de son caractère...). C’est-à-dire qu’aujourd’hui, vous n’avez pas le droit (la libre possibilité) de vous réjouir de la vie en circulant librement dans le monde, sous peine de *punitions* qui, elles, réjouissent la police (et on connait cette forme d’intelligence que peut mettre de la police en la matière). Être porteur d’un virus, dont on a constaté qu’il se promène naturellement comme le pollen, vous rend criminel (Aux Etats-Unis, tousser peut devenir une « menace terroriste » : Les autorités judiciaires estiment que le virus peut être considéré comme un « agent biologique » potentiellement utilisé comme une « arme ».). À priori, donc, cette panique est destinée à rendre les gens *dociles*.
Car être « confiné » implique une certaine discipline qui tendra toujours à vous morfondre de votre situation. Du fait que c’est *vous* qui *vous* vous emprisonnez (dans une prison costomisée), vous retournez sur *vous* les effets de l’acceptation de votre pauvre condition. La manifestation la plus criante de cette impuissance est ce moment, vers 20 h, où les gens crient à leur fenêtre. Si, au début, on y entendait un cri de révolte, ce moment commence à être dominé par la MUSIQUE, *non pas celle que l’on fait soi*, mais celle que l’on trouve dans des *boîtes*. Je me pose la question de l’opportunité de l’émergence de cette « musique » qui ressemble tant aux bruits que génère cette société et à la *soumission* à ces bruits ; une musique qui ne montre, précisément, que cette soumission des gens à leur conditions d’existence. Une musique qui meugle, qui beugle et vomit ; salace, sexiste et clanique ; dont la versification aboie, comme tenue à la chaîne et au collier. Mais surtout, on *impose* par la puissance des décibels, à tous, cette soumission. Autrement dit : quelle est la marge de manœuvre disponible dans les esprits quand on est submergé par une telle « musique » et qu’il ne vous reste plus qu’elle comme moyen d’expression ? Et quelle perspective pouvons-nous envisager de la liberté quand cette liberté est sous une telle emprise ? Comme une police, cette minorité détient des pouvoirs énormes, cette fois, sous forme sonore.
Et tout autant, être confiné revient à obéir à la police. Toutes les mesures assises et adoptées sur l’existence du coronavirus, le sont pour policer les gens, et cette discipline est totalement disproportionné au « danger » inhérent à ce virus. La plupart des morts que cause ce virus, sont des gens extrêmement malades... et les gens en assez bonne santé n’en ont rien à craindre. Par un dépistage rigoureux des gens à risque, on prévient leur souffrance. Rien n’est fait non plus ici. On parle pourtant de prolonger le « confinement », c’est-à-dire... que les gens ne sont pas encore suffisamment soumis à la police et qu’il faut détruire la vétille d’autonomie qui germerait dans leur âme contre leur enfermement. On leur fait comprendre qu’on prend soin d’eux, par les coups. C’est *socialement* criminel d’empêcher les gens d se contaminer par un confinement ; faire penser qu’autrui est un danger potentiel pour vous, est criminel ; imposer qu’autrui est porteur de la peste est criminel ; augmenter la phobie du *toucher* est criminel et se reportera tôt ou tard sur les organes aphrodisiaques.
Ainsi, il apparaît que ce confinement cache autre chose.
On trouve tout à coup 100 milliards là où la revendication sociale en demandait 17. Le contenu de l’attestation.
Le ralentissement des cas graves est dû à la baisse de la pollution.
Le silence totale de la NON perquisition des hôpitaux et cliniques privées : pour les riches.
La prison est de deux types : la croyance en l’État et la peur pour ses proches.
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[le 19 avril 2020]
Auparavant, l’État avait un ennemi extérieur : les « terroristes ». Aujourd’hui, la terreur est intégrée en chacun de nous qui sommes devenus le vecteur *possible* de la mort de nos proches. La famille s’en trouve renforcée, et le sens clanique d’autant plus, chacun avec ses gaudrioles (musique, bagnole, hobbies de toutes sortes) qui nous servirons d’œillères. Autrui n’existera plus en dehors de ce cercle restreint, sinon comme adjuvant nécessaire. L’enfantillage est la mise générale de la société.
De plus, la police a acquis des pouvoirs énormes. Les gens n’ont rien senti de cette perte de leur liberté, car ils n’en avaient déjà perdu la perception. En France, nous devons remplir *nous-mêmes* une "attestation etc." dont peu la trouve ridicule (pas seulement vide de sens, ridicule). Mais elle prive gravement de la liberté d'aller et venir selon son gré. On signe *son propre* bon de sortie et la police est là pour en vérifier l'opportunité.
De fait, puisqu’il nous faut penser à « l’après »... que reste-t-il ?Quand les médias parlent de « distanciation – cuirasse ! – *sociale* » là où on devrait dire « distanciation physique » et que tout le monde gobe cette grossièreté ?
Cependant, si l’État a profité de l’opportunité de ce virus pour assoir son pouvoir sur les gens, c’est que lui aussi, ressentait que son pouvoir sur ces gens n’était pas suffisant. C’est-à-dire, qu’il perdait en autorité pour le règne de son ordre... et en avait conscience !Il vient de renforcer ses pouvoirs de police. Il va falloir faire avec... je veux dire les annihiler sérieusement. Mais qu’attendre de gens réduits à l’enfantillage, à la famille, au clan ?
L’État a réussi à injecter en chacun de nous le virus de la mort. Chacun y croit dur comme fer : où est la vie ?
Bien qu’ils continuent de se contaminer les uns les autres, c’est simplement du fait que la pollution (important co-facteur d’aggravation) a diminué de 60 % que les gens ne tombent plus malades.
[Un mot sur le procédé de la maladie que provoque le coronavirus covid-19.
C’est un virus à ARN, c’est-à-dire qui transforme le sucre en énergie – comme la mitochondrie qui est une cellule commensale.
La majeure partie des maladies graves (cancer, obésité, diabète, etc.) sont des atteintes aux mitochondries qui ne transforment plus le sucre en énergie. Le virus procède à cette transformation, mais à sa manière. Les cytokines s’accaparent du résultat (l’énergie) de cette transformation par le coronavirus des sucres excédentaires et prolifèrent à tel point (orage cytokinique) que le procédé de nettoyage dont ils ont initialement la charge, va aussi nettoyer les cellules dont la mitochondrie est impotente... et détruisent ainsi la cellule malade. Seulement, cela se passe à tel point que l’organe ne peut plus (ou encore moins) fonctionner et l’organisme meurt.
Ainsi, les gens qui sont en bonne santé n’en sont pas affectés, sinon qu’à des conditions très particulières et rares.]
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[le 5 mai 2020]
Quand aucun doute ne vient déstabiliser l’édifice, aucune statistique, aucun chiffre ne peut aller à l’encontre de la peur de mourir nourrit par l’État. Les gens croient qu’ils sont en danger et cette croyance fait religion : elle demande des rituels et des sacrifices auxquels on se donne de bon cœur.
Quand on entend de la part d’un policier ou d’un vigile : « C’est pour votre sécurité », personne ne remet en question cette affirmation qui contient pourtant l’insécurité dans laquelle elle vous plonge... et tout le monde obéit aux distances de « sécurité ». Quand on vous oblige à porter un masque, personne ne s’aperçoit de la tristesse de cette *mascarade* quand tout le monde est devenu un guignol... mais « sérieux » !
Si les gens obéissent avec tant de foi aux injonctions d’un gouvernement qui leur interdit *tout*, sinon que de customiser leur propre prison, c’est qu’ils ont déjà égaré la vie mouvante, fluide, labile, qui contient le risque de vivre *encore*, encore un peu plus... vivant !
Si les gens obéissent avec tant de *foi* à ces ordres policiers – où, le jour du Premier mai, seule la police circule dans les rues – c’est qu’ils ont en tête une idée totalement erronée de la mort ; une idée culturelle de la mort absolument détachée de la vie. Mais je parle ici de LA mort, alors que *les morts* dont ils s’agit (à quelques exceptions près) sont des grabataires qu’on maintient coûte que coûte en vie, suivant un protocole d’acharnement thérapeutique. Cette idée de la mort est infantile, elle n’a pas encore été extraite des couches-culottes et elle fait de la mort un monstre. Ainsi, les gens préfèrent-ils être d’abord morts (immobilisés, contraints, emprisonnés, cloisonnés) avant de réellement mourir. C’est leur choix. Et, bien que discutable, c’est le choix de ce qui règne sur la VIE, ici et maintenant.
Cette *contraction* de la vie qui n’a plus besoin que de la foi pour se justifier, n’augure de rien de bon. Quand la population poursuit les recommandations d’un État à tel point qu’elle ne se rend pas compte de son propre ridicule, cela n’augure rien de bon. Une mascarade où tous les guignols sont tristes.
L’unique point positif de ce « confinement (de la production) des objets » est l’amélioration de la santé écologique. Mais plus on serait à même de profiter du bon air, de l’eau fraiche, etc., et plus l’État resserre les contraintes, inventant des « raisons » plus absurdes les unes que les autres (déplacements rouge ou vert, masques – d’où le mot « mascarade » –, attestation auto-signée, pouvoirs démentiels de la police, etc.), mais que cette foi en la mort de la population rend tout à fait plausibles, sinon nécessaires... indispensables.
Ainsi, avec un retour progressif de la production d’objets (la réitération du prolétariat), rien de bon n’est à augurer. Car, si une perception du bonheur écologique est possible elle reste suspendu à ce contexte de confinement. De même qu’il est impossible aux gens de se déterminer à surseoir aux injonctions débilitantes d’un État, de même, ils seront incapables de pérenniser les bienfaits de cet air frais et parfumé. Il leur suffirait pourtant de tout simplement commencer par la *cessation de la production des objets* (dont ils font parti intégrante puisque l’État ne peut manipuler que des objets)... qui pourrissait il y a peu cette planète actuellement retrouvée.
D’un point de vue purement physique, ce confinement a isolé chacun d’autrui, sensiblement, sensuellement et sexuellement. Les « mesures de sécurités » instituées dans la rue, augmentent cette distanciation *sociale*... qui est surtout de perception *sexuelle*, on le sait bien. Interdire de toucher, d’embrasser, de faire l’accolade, etc. est un *véritable crime* d’État. Et ce *crime* va se perpétrer encore et encore durant des mois. On a vu l’augmentation de l’achat de sexe-toys pour les femmes (34 % en Italie) juste avant ce « confinement ». Cela signifie que la sexualité de la femme a besoin de celle de l’homme, ici objectivé (constaté comme objet) et objectisé (transformé en objet). Nous en sommes réduit à la masturbation, chacun de son côté. Que peut un « déconfinement » pour la satisfaction des femmes ? Ici, encre, nous avons des choses à dire pour les protéger de la violence masculine.
Ce confinement nous montre donc la violence de l’État, sur tous les aspects de la vie qu’il transforme en mort, *en peur de la vie*. Un peu plus loin que des statistiques qui ont établi la gabegie de cette affaire, nous devons anticiper la malveillance de l’État, ici mise à jour. Pour cela, il faut miner cette *foi* en lui.
L’injection de tant et tant d’agent pour un secours à l’Économie, ressemble à s’y méprendre à un *orage cytokinique*. Sachons donc, que l’Économie est moribonde et va corrompre tous ses organes vitaux. Il va se présenter un VIDE, un terrible vide qui va porter l’angoisse à des millions de gens, pour des raisons souvent contradictoires. Il faut prévoir de combler ce vide de choses vivantes et laisser les mortes se composter.
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[le 2 juin 2020]
Aidé des médias, l’État a *réussi* a instiller une immense panique, même chez les gens « sains ». Cette panique, c’est la *peur du contact d’autrui* (pour certains : même des yeux !). De fait, elle vient se surajouter à la paranoïa ambiante : les malades sont davantage malades et les gens sains en savent pas où donner de la tête.
Pour sursoir à cette panique, il faut non seulement avoir du courage, mais ce courage devait être accompagné de la *certitude* qu’on nous baisait la gueule, que l’État, le monde de la marchandise, l’Économie, la *morale* du capitalisme trouvent leur secours dans ce covid-19. Cela se constate simplement dans l’expression « distanciation *sociale* » quand il faudrait simplement dire « distanciation SANITAIRE ». L’humain est comme tous les animaux, un animal de contact : ici... « on » le lui interdit pour des raison policières.
Aujourd’hui, en France, les services sociaux s’étonnent ne la NON résurgence de la maladie... quoi de plus étonnant ? quand on sait que c’est un petit virus qui ne s’attaque qu’aux personnes « sous acharnement thérapeutique », et aux personnes ayant des problèmes avec des *excès* de sucre ? Une fois ceux-ci touchés... qui reste-t-il ?
Pour une part, ce courage pouvait être alimenté par l’étude des faits (statistiques, qui, comment, quoi, mode opératoire de l’État, implication démentielle de la police, forme et fonctionnement de la maladie, etc.) ce à quoi s’ajoute cette évidence de cette sorte de *faux suicide* de lÉconomie, puisque les plus riches de la planète continuaient allègrement à s’en mettre plein les poches.
Pour une autre part, ce courage devait s’assoir sur cette certitude que, quoi qu’il fasse, l’État EST la nocivité du monde, parallèlement au mode de vie impliqué par le capitalisme – qui cache derrière son petit doigt, le patriarcat *en mouvement*. Bien sûr, je ne suis pas dupe : ne serait-ce qu’en constatant la manière dont les gens ont obéi aux injonctions délirantes de l’État, il m’apparait que les gens ne sont *pas assez matures* pour pouvoir se prendre en main, pour prendre en main leur destiné.
J’ai parlé dans un post précédant, de *foi* : la foi (quelqu’en soit la sorte et la forme) est un mode d’assurance d’une angoisse, aminé par la pensée qui ne sait pas s’assoir et se calmer devant des faits et préfère résoudre le problèmes du moment dans l’utilisation d’images, par des rêves, *l’évasion*.
De fait, les médecins et autres personnes qui se sont érigées contre la *masquarade* de la « gestion » de cette maladie (à laquelle il faut inclure la gabegie antérieure à son apparition) devaient avoir bien du courage (assis sur la certitude dont je parlais plus haut). Parler dans ce contexte de l’accumulateur d’orgone (l’orgone c’est l’énergie de la Vie) semble d’un courage encore plus puissant. Si les gens s’intéressent plus aux têteurs d’éther, c’est bien parce qu’ils veulent encore et toujours croire que la solution vient de l’extérieur, au lieu de l’atteindre par *l’intérieur* par l’utilisation des accumulateurs d’orgone.
L’État a instillé une PEUR dans les âmes, et cette peur est un rétrécissement de cette âme dans la cuirasse protectrice de la peur, contre une mort subjective. L’objet de l’État et des médias a été de donner une consistance de béton à cette peur, par l’intermédiaire du covid-19. Désormais, l’État est le sauveur, même s’il s’y prend très mal. Les médias ont bien fait leur boulot de complices. Bien que l’un comme les autres soient des idiots finis, c’est eux qui dominent la Vie et la réglementent.
Mais, cette peur a deux côtés où tous sont peureux : les forces de la marchandise, du spectacle et de l’État et les autres à qui on demande d’obéir et de consentir à leur propre soumission. Les gouvernements ne craignent pas de paupériser et d’affamer les gens (50 millions, dont plusieurs d’enfants par ailleurs maltraités), ils ne craignent en rien (aidés de leurs polices) de rendre encore plus malheureux des sapiens en les SÉPARANT les uns des autres. Sur les 4 milliards d’isolés, il y avait au moins 3 milliards nourris par une *économie de rue* et seulement elle.
Le goût de la liberté reste critique face à une laisse dont la longueur est au loisir de qui la tient. Chacun y va de sa grosse *musique* commercialisée et industrielle pour cacher l'angoisse que cause cette laisse.
Finalement, la solution du problème est complexe, car nous avons ici, l’immaturité des gens *qui a augmenté*, là des forces policières de plus en plus puissantes. Mais ce que protègent ces forces de polices (la gestion de l’État) est en état de pourrissement : la marchandise a tout pollué, tout détruit, tout pourri, le spectacle a séparé les êtres, la déforestation de NOTRE monde augmente de superficie, on continue d’envoyer au ciel DEUX sapiens pour affirmer qu’on a encore une maitrise *technique* (quand c’est précisément cette technique – prépondérance de cuirasse caractérielle mécaniste – qui est la mort du monde) sur la nature, etc., détérioration de la civilité, de la cordialité, de l’entraide, du bon-soin, perte de l’empathie, du sens commun (collectif !) de la joie et de la danse qu’on ne trouve plus que dans les églises et les rues haïtiennes... les plus pauvres de la planète !
Quand on voit qu’on hésite entre décrire comme révolutionnaire ou fou le fait de se serrer la main et de se faire la bise, on devine l’avancée de l’oppression ; et chez la femme d’autant plus. Du même coup, on constate l’avancée des incivilités... entre les gens. Redouter à tel point la mort, c’est ne plus savoir ce qu’est la vie ou ce que c’est que d’être vivant, de vivre ; ou alors à la manière d’un enfant déjà terrorisé qui, par ailleurs, reproduit – en adulte – le monde à l’identique de son oppression selon le bon vouloir de qui le décide.
Il ne reste plus aux gens que le « core » dans leur cuirasse auquel ils peuvent de temps à autre donner la possibilité de se dilater à travers l’acquisition d’OBJETS et non plus par la communauté de sensations avec leurs congénères dans des activités communes. Aujourd’hui, même quand ils sont ensemble, ils sont séparés par ces objets (chien, smartphone, chat, bagnole, etc.) et maintenant par *l’image* d’un virus.
Quand le gouverneur de NYC dit qu’il est *avec* les manifestations, c’est que le SENS des manifestations lui échappe, totalement; ou bien que le SENS d’une manifestation ne correspond plus à rien de ce à quoi on s’attend : reformuler le monde en détruisant ce qui empêche cette reformulation.
J’ai entr’aperçu quelque chose dans le Constitution kurde, avec ses *assemblés non-mixte de femmes*, avec son autorité administrative systématiquement bicéphale homme/femme (les femmes uniquement élues par les femmes) et ses délégués révocables à tout moment. J’ai réfléchi à pouvoir l’introduire en Europe : les femmes (bien qu’adulées aujourd’hui pour avoir été les « premières » de cordée) ne sont pas assez MATURES pour assumer une assemblée non-mixte de femmes ; que dire des hommes ? Même s’il est décidé une reproduction *active* de la cessation du travail par les gens eux-mêmes (qui trouveront alors les moyens de ne pas en pâtir !) nous n’avancerons pas, à cause de la persistance sans solution à deux problèmes, que seules les femmes peuvent résoudre pour sortir du patriarcat :
- la reproduction du patriarcat chez l’enfant (ou la protection de l’enfance contre le patriarcat) ;
- et les problèmes liés à l’amour vrai, celui des corps, aujourd’hui réglés par le patriarcat.
En dehors de cela, le monde, socialement, ne présente plus grand chose qui vaille, car cette socialité n’est que de marchandise, d’État et de spectacle : le capitalisme qui, même moribond, cache derrière son petit doigt, le patriarcat *en mouvement*.
Le coronavirus est une maladie bénigne. Aujourd’hui, il y a eu 450 876 *contaminés* et 20 657 morts dues à ce virus.
Par rapport à la population mondiale, cela nous donne un contaminé pour 15 000 gens et par rapport au nombre moyen de morts par jour (156 000), en 75 jours de présence (156 000 x 75 = 11 700 000 !!!) cela nous donne une morbidité remarquable, mais dérisoire (voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Mortalit%C3%A9_dans_le_monde). Il meurt, actuellement plus de gens pour une multitude d’autres raison, que du coronavirus ! En France il meurt en moyenne 1 650 personnes *par jour* et le totale des morts par coronavirus est de [actualisé au 4 juillet 2020 : 29 833 en 200 jours, soit environ 150 par jour].
Factuellement, le coronavirus est mortel pour 1,3 % des gens *contaminés*. On en connait pas le % des gens contaminés sur les gens sains, ou les porteurs-sains. Les autres morts sont dues à une diminution de la résistance du système immunitaire de patients *déjà* malades, ou très vieux. Moins de 1% des morts ont moins de 50 ans.
(«alors que les patients qui ont déclaré ne pas avoir de comorbidité avaient un taux de mortalité de 1,4 %, les patients souffrants de comorbidité avaient des taux beaucoup plus élevés: 13,2 % pour les maladies cardiovasculaires, 9,2 % pour le diabète, 8,4 % pour l’hypertension, 8,0 % pour les maladies respiratoires chroniques et 7,6 % pour le cancer». https://sante.lefigaro.fr/article/les-autorites-clarifient-la-liste-des-personnes-a-risque-face-au-coronavirus/) (insuffisance rénale, hypertension artérielle, etc.)
Oui, la pollution est un co-facteur, puisqu’elle diminue fortement la résistance immunitaire des gens. Les autres facteurs sont le diabète, l’obésité, les maladies cardio-vasculaires, etc. et la vieillesse.
Alors, de quoi s’agit-il ? Si je dis que le coronavirus est une manière de rendre dociles les gens en leur montrant le paternalisme de l’État, je devrai montrer *en quoi* c’est un *avantage pour l’État* d’opter pour de telles mesures. Il suffirait de détecter d’abord, chez les personnes à risques, la présence de ce virus (comme en Allemagne, où on note seulement 44 mort en 75 jours) pour en prendre correctement soin, avant que les hôpitaux ne soient engorgés par des malades aggravés par ce virus... et former une panique.
Par l’option de cloisonner les gens, l’État provoque de sérieux désagréments, dont le premier est l’impossibilité d’une auto-immunisation (ce qui se réalise habituellement, avec le grippe, per exemple) de la population. Mais, s’y ajoute, l’augmentations des cas psychiatriques, de l’alcoolisme, des suicides, de la maltraitance conjugale (plus 36% en une semaine en IdF) et de l’enfance, l’abstinence sexuelle (plus de 40 % des foyers sont ceux de célibataires, en France), les problèmes de promiscuité et de voisinage, etc. sans compter l’émergence d’une nouvelle maladie *sociale* « la phobie du contact » (à ajouter à tous les -ismes déjà présents !).
Quand on dit que la force de l’État est de diviser, il faut revoir cette formule en « L’État *sépare* pour mieux régner ». Mais régner sur quoi ? Sur la fin de *son* monde ? De plus, en France comme en Italie, les gens refusent d’être séparés : chaque soir, en prenant de plus en plus d’ampleur, à 20 H, les gens de leur balcons ou de leur fenêtre, font un tintamarre du diable pendant cinq minutes. J’attends le moment où ils descendront dans la rue !!!
Je me trouve véritablement désappointer pour comprendre l’action de l’État face à une maladie bénigne. Les gens qui en meurent aujourd’hui, auraient de toutes façons été comptés dans les statistiques mortuaires, en fin d’année !!! Que veut nous faire croire l’État ? L’État a véritablement instauré une panique chez les gens : un mètre les uns des autres, par de bises, par de serrage de mains, etc., même entre amis ! Certes, l’État en profite pour passer des lois liberticides et dégrader les droits du travail. Mais où cela va-t-il le mener ?
Nous allons, subrepticement, avoir *l’armée* dans les rues. C’est, au final, une guerre civile larvée.
Pour autant qu’il s’agisse d’un problème d’ordre sanitaire, le corronavirus est d’abord d’ordre policier, c’est-à-dire politique.
C’est en Chine qu’a été mise au point une méthode *policière totalitaire* du contrôle de la population. L’Europe imite cette méthode.
Bon, il y a deux avantages à ce confinement. D’abord, c’est l’arrêt de la pollution due à la production de tout et de rien. Nous avons un air deux à trois fois plus sain. Ensuite, la population peut constater qu’on peut vivre avec ces « services minimum » sans aucun problèmes. Ainsi, cette pré-panique du manque en cas de révolution tombe à l’eau, avec une organisation minimum. Les gens soulignent aussi les manques de l’État.
Voilà, ce que je pense de notre affaire...
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[le 4 avril 2020]
Cette histoire de coronavirus est exactement une crispation autour d’une croyance. Les gens qui croient en la validité des histoires qu’on raconte officiellement sur ce virus, ne croient en rien d’autre. Pourquoi ? Parce qu’ils ont peur et que cette angoisse demande à être stabilisée.
Je ne manque par du tout d’empathie, aucunement... je trouve même : bien au contraire. Que font tous ces auto-prisonniers ? Et quoi ? Devrions-nous vivre éternellement ? La mort est douloureuse pour les vivants, seulement. Et c’est des vivants dont il s’agit.
De fait, ON a créé une peur et ON se propose d’en donner la solution. Mais cette peur repose sur une peur plus ancestrale (si je puis dire) : la peur d’autrui. Autrui serait susceptible, dès aujourd’hui, d’être l’être qui vous veut du mal, qui veut vous nuire, vous réduire à la mort... *par son contact*.
Alors, je ne dis pas qu’il ne faut pas prendre soin des gens, etc. Je dis : comment prend-on soin des gens et quelle est la docilité avec laquelle ces gens acceptent la solution de l’État comme la meilleure, et pourquoi. On ne peut que constater que la peur d'autrui a augmenté d'un cran. Est-ce la bonne solution ?
On sait que tous les -ismes du monde sont déjà une peur d’autrui (chacun avec ses particularités : couleurs de peau, dieu, sexe, etc.) en lui attribuant les malheurs du monde. Mais LÀ, ici et maintenant, on ajoute une *peur du contact* liée à l’ensemble du monde, à TOUT le monde... dont on craint qu’il vous donne la mort. De sorte que cette *croyance* empêche toute retenue, mon cher Bill, vis-à-vis d’autrui, sans qu’on se rende compte que son comportement est finalement douteux. Me vouer aux gémonies, moi ou quelqu’un d’autre, ne relève que de la *croyance* et en rien d’autre. Et contre la croyance, on ne peut RIEN : aucun argument, aucune « preuve », ou quoi ou qu’est-ce, ne peut aller à l’encontre de cette structure caractérielle figée.
Comme par hasard, on ne pourrait rien contre un virus. Les seuls moyens employés sont les moyens habituels de l’État... et a-t-on déjà vu une efficacité à ce que fait l’État pour le bonheur des gens ?
Le coronavirus est un virus bénin. En France, il y a entre 10 et 15 mille morts par la grippe, pour une létalité de 1%. Cela nous donne que entre 1 et 1,5 millions de gens, sont chaque année contaminés. Nous avons donc à faire, ici, avec une gestion militaire d’un problème d’ordre sanitaire. Si cette maladie tue, c’est dû à la gabegie de l’État qui n’a cessé de grignoter sur le budget de la santé et le scandale apparaît, aujourd’hui, avec une maladie bénigne, car il s’est rendu impotent à résoudre les problèmes sanitaires que soulève un virus bénin et *nouveau*.
Les morts dues à ce virus ont pour corrélation, les graves (sinon immenses) pollutions chimique, une nourriture industrielle et électromagnétique, la dépression, les maladies antérieures des gens. Les drogués ne meurent pas de cette maladie. Mais les malades du cœur, oui, à 78 % et à des âges avancés et 50% avaient au moins TROIS maladies. Les jeunes gens qui en sont morts ont fait des erreurs médicamenteuses : ibuprophène, chloroquine en excès.
Mais, corrélativement, l’État profite de la situation pour dégrever tous les avantages sociaux des gens, mesurer leur docilité à la croyance en le *paternalisme* de l’État, cloîtrer des gens bien portants et des enfants dans 10 m2 chacun. Tout cela, pour ne « pas *contaminer* ou *être contaminé* » par un virus, entre NOUS.
Ici, pour le moins, l’État réussi deux coups : SÉPARER les gens les uns des autres en donnant la croyance que chacun est mortel pour l’autre, et continuer à régner par la peur...
Personnellement, c’est là où j’en suis de la compréhension des choses. Je suppose que l’État à une autre « raison » de ses agissements, que je ne comprends encore pas. Il paraît extrêmement étrange que l’Économie, le sang de l’État, soit tout à coup paralysée. Quel est l’intérêt de l’État dans cette affaire ? Je n’en veux à personne, j’essaye de comprendre cette étrange situation.
Ok, mais je suis bien content de ce confinement : un virus a réalisé ce que les gens devaient faire : cesser toute production et repenser le monde. Plus de pollution (sauf les intrants agricoles), air pur, chants d'oiseaux, délicieux silence, etc. Il y a que, présentement, c'est encore et toujours de la manière de l'État et de sa police.
Prenons soin de nous.
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[le 18 avril 2020]
Nous nous trouvons confrontés à deux faits contradictoires :
il est créé de toute pièce une panique centrée sur l’existence du coronavirus, et cette « panique » politique (ridicule, mais par certains aspects révélatrice d’une gabegie étatique) qui oblige à un confinement abrogeant la majeur partie de notre liberté ;
et d’autre part, les immenses bienfaits écologiques que ce confinement déploie. Nous retrouvons un air pur, le bruit a grandement diminué, les nuages reprennent une forme normale dans un ciel bleu, la mer se repose, on entend la joie de vivre des oiseaux.
Je tiens absolument à dire que je suis *pour* ce confinement, malgré qu’il soit imposé à une population qui, elle, aurait dû depuis longtemps l’imposer pour en rester la maîtresse. Cet arrêt de la production, de la consommation d’hydrocarbures et de pollutions chimiques est franchement salutaire.
La première constatation *sociale* est le déploiement des pouvoirs discrétionnaires de la police. Et quand la police prend le dessus sur le peuple, c’est pour l’empêcher de se *réjouir* de la vie (bon... je le conçois, selon la grandeur de son caractère...). C’est-à-dire qu’aujourd’hui, vous n’avez pas le droit (la libre possibilité) de vous réjouir de la vie en circulant librement dans le monde, sous peine de *punitions* qui, elles, réjouissent la police (et on connait cette forme d’intelligence que peut mettre de la police en la matière). Être porteur d’un virus, dont on a constaté qu’il se promène naturellement comme le pollen, vous rend criminel (Aux Etats-Unis, tousser peut devenir une « menace terroriste » : Les autorités judiciaires estiment que le virus peut être considéré comme un « agent biologique » potentiellement utilisé comme une « arme ».). À priori, donc, cette panique est destinée à rendre les gens *dociles*.
Car être « confiné » implique une certaine discipline qui tendra toujours à vous morfondre de votre situation. Du fait que c’est *vous* qui *vous* vous emprisonnez (dans une prison costomisée), vous retournez sur *vous* les effets de l’acceptation de votre pauvre condition. La manifestation la plus criante de cette impuissance est ce moment, vers 20 h, où les gens crient à leur fenêtre. Si, au début, on y entendait un cri de révolte, ce moment commence à être dominé par la MUSIQUE, *non pas celle que l’on fait soi*, mais celle que l’on trouve dans des *boîtes*. Je me pose la question de l’opportunité de l’émergence de cette « musique » qui ressemble tant aux bruits que génère cette société et à la *soumission* à ces bruits ; une musique qui ne montre, précisément, que cette soumission des gens à leur conditions d’existence. Une musique qui meugle, qui beugle et vomit ; salace, sexiste et clanique ; dont la versification aboie, comme tenue à la chaîne et au collier. Mais surtout, on *impose* par la puissance des décibels, à tous, cette soumission. Autrement dit : quelle est la marge de manœuvre disponible dans les esprits quand on est submergé par une telle « musique » et qu’il ne vous reste plus qu’elle comme moyen d’expression ? Et quelle perspective pouvons-nous envisager de la liberté quand cette liberté est sous une telle emprise ? Comme une police, cette minorité détient des pouvoirs énormes, cette fois, sous forme sonore.
Et tout autant, être confiné revient à obéir à la police. Toutes les mesures assises et adoptées sur l’existence du coronavirus, le sont pour policer les gens, et cette discipline est totalement disproportionné au « danger » inhérent à ce virus. La plupart des morts que cause ce virus, sont des gens extrêmement malades... et les gens en assez bonne santé n’en ont rien à craindre. Par un dépistage rigoureux des gens à risque, on prévient leur souffrance. Rien n’est fait non plus ici. On parle pourtant de prolonger le « confinement », c’est-à-dire... que les gens ne sont pas encore suffisamment soumis à la police et qu’il faut détruire la vétille d’autonomie qui germerait dans leur âme contre leur enfermement. On leur fait comprendre qu’on prend soin d’eux, par les coups. C’est *socialement* criminel d’empêcher les gens d se contaminer par un confinement ; faire penser qu’autrui est un danger potentiel pour vous, est criminel ; imposer qu’autrui est porteur de la peste est criminel ; augmenter la phobie du *toucher* est criminel et se reportera tôt ou tard sur les organes aphrodisiaques.
Ainsi, il apparaît que ce confinement cache autre chose.
On trouve tout à coup 100 milliards là où la revendication sociale en demandait 17. Le contenu de l’attestation.
Le ralentissement des cas graves est dû à la baisse de la pollution.
Le silence totale de la NON perquisition des hôpitaux et cliniques privées : pour les riches.
La prison est de deux types : la croyance en l’État et la peur pour ses proches.
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[le 19 avril 2020]
Auparavant, l’État avait un ennemi extérieur : les « terroristes ». Aujourd’hui, la terreur est intégrée en chacun de nous qui sommes devenus le vecteur *possible* de la mort de nos proches. La famille s’en trouve renforcée, et le sens clanique d’autant plus, chacun avec ses gaudrioles (musique, bagnole, hobbies de toutes sortes) qui nous servirons d’œillères. Autrui n’existera plus en dehors de ce cercle restreint, sinon comme adjuvant nécessaire. L’enfantillage est la mise générale de la société.
De plus, la police a acquis des pouvoirs énormes. Les gens n’ont rien senti de cette perte de leur liberté, car ils n’en avaient déjà perdu la perception. En France, nous devons remplir *nous-mêmes* une "attestation etc." dont peu la trouve ridicule (pas seulement vide de sens, ridicule). Mais elle prive gravement de la liberté d'aller et venir selon son gré. On signe *son propre* bon de sortie et la police est là pour en vérifier l'opportunité.
De fait, puisqu’il nous faut penser à « l’après »... que reste-t-il ?Quand les médias parlent de « distanciation – cuirasse ! – *sociale* » là où on devrait dire « distanciation physique » et que tout le monde gobe cette grossièreté ?
Cependant, si l’État a profité de l’opportunité de ce virus pour assoir son pouvoir sur les gens, c’est que lui aussi, ressentait que son pouvoir sur ces gens n’était pas suffisant. C’est-à-dire, qu’il perdait en autorité pour le règne de son ordre... et en avait conscience !Il vient de renforcer ses pouvoirs de police. Il va falloir faire avec... je veux dire les annihiler sérieusement. Mais qu’attendre de gens réduits à l’enfantillage, à la famille, au clan ?
L’État a réussi à injecter en chacun de nous le virus de la mort. Chacun y croit dur comme fer : où est la vie ?
Bien qu’ils continuent de se contaminer les uns les autres, c’est simplement du fait que la pollution (important co-facteur d’aggravation) a diminué de 60 % que les gens ne tombent plus malades.
[Un mot sur le procédé de la maladie que provoque le coronavirus covid-19.
C’est un virus à ARN, c’est-à-dire qui transforme le sucre en énergie – comme la mitochondrie qui est une cellule commensale.
La majeure partie des maladies graves (cancer, obésité, diabète, etc.) sont des atteintes aux mitochondries qui ne transforment plus le sucre en énergie. Le virus procède à cette transformation, mais à sa manière. Les cytokines s’accaparent du résultat (l’énergie) de cette transformation par le coronavirus des sucres excédentaires et prolifèrent à tel point (orage cytokinique) que le procédé de nettoyage dont ils ont initialement la charge, va aussi nettoyer les cellules dont la mitochondrie est impotente... et détruisent ainsi la cellule malade. Seulement, cela se passe à tel point que l’organe ne peut plus (ou encore moins) fonctionner et l’organisme meurt.
Ainsi, les gens qui sont en bonne santé n’en sont pas affectés, sinon qu’à des conditions très particulières et rares.]
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[le 5 mai 2020]
Quand aucun doute ne vient déstabiliser l’édifice, aucune statistique, aucun chiffre ne peut aller à l’encontre de la peur de mourir nourrit par l’État. Les gens croient qu’ils sont en danger et cette croyance fait religion : elle demande des rituels et des sacrifices auxquels on se donne de bon cœur.
Quand on entend de la part d’un policier ou d’un vigile : « C’est pour votre sécurité », personne ne remet en question cette affirmation qui contient pourtant l’insécurité dans laquelle elle vous plonge... et tout le monde obéit aux distances de « sécurité ». Quand on vous oblige à porter un masque, personne ne s’aperçoit de la tristesse de cette *mascarade* quand tout le monde est devenu un guignol... mais « sérieux » !
Si les gens obéissent avec tant de foi aux injonctions d’un gouvernement qui leur interdit *tout*, sinon que de customiser leur propre prison, c’est qu’ils ont déjà égaré la vie mouvante, fluide, labile, qui contient le risque de vivre *encore*, encore un peu plus... vivant !
Si les gens obéissent avec tant de *foi* à ces ordres policiers – où, le jour du Premier mai, seule la police circule dans les rues – c’est qu’ils ont en tête une idée totalement erronée de la mort ; une idée culturelle de la mort absolument détachée de la vie. Mais je parle ici de LA mort, alors que *les morts* dont ils s’agit (à quelques exceptions près) sont des grabataires qu’on maintient coûte que coûte en vie, suivant un protocole d’acharnement thérapeutique. Cette idée de la mort est infantile, elle n’a pas encore été extraite des couches-culottes et elle fait de la mort un monstre. Ainsi, les gens préfèrent-ils être d’abord morts (immobilisés, contraints, emprisonnés, cloisonnés) avant de réellement mourir. C’est leur choix. Et, bien que discutable, c’est le choix de ce qui règne sur la VIE, ici et maintenant.
Cette *contraction* de la vie qui n’a plus besoin que de la foi pour se justifier, n’augure de rien de bon. Quand la population poursuit les recommandations d’un État à tel point qu’elle ne se rend pas compte de son propre ridicule, cela n’augure rien de bon. Une mascarade où tous les guignols sont tristes.
L’unique point positif de ce « confinement (de la production) des objets » est l’amélioration de la santé écologique. Mais plus on serait à même de profiter du bon air, de l’eau fraiche, etc., et plus l’État resserre les contraintes, inventant des « raisons » plus absurdes les unes que les autres (déplacements rouge ou vert, masques – d’où le mot « mascarade » –, attestation auto-signée, pouvoirs démentiels de la police, etc.), mais que cette foi en la mort de la population rend tout à fait plausibles, sinon nécessaires... indispensables.
Ainsi, avec un retour progressif de la production d’objets (la réitération du prolétariat), rien de bon n’est à augurer. Car, si une perception du bonheur écologique est possible elle reste suspendu à ce contexte de confinement. De même qu’il est impossible aux gens de se déterminer à surseoir aux injonctions débilitantes d’un État, de même, ils seront incapables de pérenniser les bienfaits de cet air frais et parfumé. Il leur suffirait pourtant de tout simplement commencer par la *cessation de la production des objets* (dont ils font parti intégrante puisque l’État ne peut manipuler que des objets)... qui pourrissait il y a peu cette planète actuellement retrouvée.
D’un point de vue purement physique, ce confinement a isolé chacun d’autrui, sensiblement, sensuellement et sexuellement. Les « mesures de sécurités » instituées dans la rue, augmentent cette distanciation *sociale*... qui est surtout de perception *sexuelle*, on le sait bien. Interdire de toucher, d’embrasser, de faire l’accolade, etc. est un *véritable crime* d’État. Et ce *crime* va se perpétrer encore et encore durant des mois. On a vu l’augmentation de l’achat de sexe-toys pour les femmes (34 % en Italie) juste avant ce « confinement ». Cela signifie que la sexualité de la femme a besoin de celle de l’homme, ici objectivé (constaté comme objet) et objectisé (transformé en objet). Nous en sommes réduit à la masturbation, chacun de son côté. Que peut un « déconfinement » pour la satisfaction des femmes ? Ici, encre, nous avons des choses à dire pour les protéger de la violence masculine.
Ce confinement nous montre donc la violence de l’État, sur tous les aspects de la vie qu’il transforme en mort, *en peur de la vie*. Un peu plus loin que des statistiques qui ont établi la gabegie de cette affaire, nous devons anticiper la malveillance de l’État, ici mise à jour. Pour cela, il faut miner cette *foi* en lui.
L’injection de tant et tant d’agent pour un secours à l’Économie, ressemble à s’y méprendre à un *orage cytokinique*. Sachons donc, que l’Économie est moribonde et va corrompre tous ses organes vitaux. Il va se présenter un VIDE, un terrible vide qui va porter l’angoisse à des millions de gens, pour des raisons souvent contradictoires. Il faut prévoir de combler ce vide de choses vivantes et laisser les mortes se composter.
*************
[le 2 juin 2020]
Aidé des médias, l’État a *réussi* a instiller une immense panique, même chez les gens « sains ». Cette panique, c’est la *peur du contact d’autrui* (pour certains : même des yeux !). De fait, elle vient se surajouter à la paranoïa ambiante : les malades sont davantage malades et les gens sains en savent pas où donner de la tête.
Pour sursoir à cette panique, il faut non seulement avoir du courage, mais ce courage devait être accompagné de la *certitude* qu’on nous baisait la gueule, que l’État, le monde de la marchandise, l’Économie, la *morale* du capitalisme trouvent leur secours dans ce covid-19. Cela se constate simplement dans l’expression « distanciation *sociale* » quand il faudrait simplement dire « distanciation SANITAIRE ». L’humain est comme tous les animaux, un animal de contact : ici... « on » le lui interdit pour des raison policières.
Aujourd’hui, en France, les services sociaux s’étonnent ne la NON résurgence de la maladie... quoi de plus étonnant ? quand on sait que c’est un petit virus qui ne s’attaque qu’aux personnes « sous acharnement thérapeutique », et aux personnes ayant des problèmes avec des *excès* de sucre ? Une fois ceux-ci touchés... qui reste-t-il ?
Pour une part, ce courage pouvait être alimenté par l’étude des faits (statistiques, qui, comment, quoi, mode opératoire de l’État, implication démentielle de la police, forme et fonctionnement de la maladie, etc.) ce à quoi s’ajoute cette évidence de cette sorte de *faux suicide* de lÉconomie, puisque les plus riches de la planète continuaient allègrement à s’en mettre plein les poches.
Pour une autre part, ce courage devait s’assoir sur cette certitude que, quoi qu’il fasse, l’État EST la nocivité du monde, parallèlement au mode de vie impliqué par le capitalisme – qui cache derrière son petit doigt, le patriarcat *en mouvement*. Bien sûr, je ne suis pas dupe : ne serait-ce qu’en constatant la manière dont les gens ont obéi aux injonctions délirantes de l’État, il m’apparait que les gens ne sont *pas assez matures* pour pouvoir se prendre en main, pour prendre en main leur destiné.
J’ai parlé dans un post précédant, de *foi* : la foi (quelqu’en soit la sorte et la forme) est un mode d’assurance d’une angoisse, aminé par la pensée qui ne sait pas s’assoir et se calmer devant des faits et préfère résoudre le problèmes du moment dans l’utilisation d’images, par des rêves, *l’évasion*.
De fait, les médecins et autres personnes qui se sont érigées contre la *masquarade* de la « gestion » de cette maladie (à laquelle il faut inclure la gabegie antérieure à son apparition) devaient avoir bien du courage (assis sur la certitude dont je parlais plus haut). Parler dans ce contexte de l’accumulateur d’orgone (l’orgone c’est l’énergie de la Vie) semble d’un courage encore plus puissant. Si les gens s’intéressent plus aux têteurs d’éther, c’est bien parce qu’ils veulent encore et toujours croire que la solution vient de l’extérieur, au lieu de l’atteindre par *l’intérieur* par l’utilisation des accumulateurs d’orgone.
L’État a instillé une PEUR dans les âmes, et cette peur est un rétrécissement de cette âme dans la cuirasse protectrice de la peur, contre une mort subjective. L’objet de l’État et des médias a été de donner une consistance de béton à cette peur, par l’intermédiaire du covid-19. Désormais, l’État est le sauveur, même s’il s’y prend très mal. Les médias ont bien fait leur boulot de complices. Bien que l’un comme les autres soient des idiots finis, c’est eux qui dominent la Vie et la réglementent.
Mais, cette peur a deux côtés où tous sont peureux : les forces de la marchandise, du spectacle et de l’État et les autres à qui on demande d’obéir et de consentir à leur propre soumission. Les gouvernements ne craignent pas de paupériser et d’affamer les gens (50 millions, dont plusieurs d’enfants par ailleurs maltraités), ils ne craignent en rien (aidés de leurs polices) de rendre encore plus malheureux des sapiens en les SÉPARANT les uns des autres. Sur les 4 milliards d’isolés, il y avait au moins 3 milliards nourris par une *économie de rue* et seulement elle.
Le goût de la liberté reste critique face à une laisse dont la longueur est au loisir de qui la tient. Chacun y va de sa grosse *musique* commercialisée et industrielle pour cacher l'angoisse que cause cette laisse.
Finalement, la solution du problème est complexe, car nous avons ici, l’immaturité des gens *qui a augmenté*, là des forces policières de plus en plus puissantes. Mais ce que protègent ces forces de polices (la gestion de l’État) est en état de pourrissement : la marchandise a tout pollué, tout détruit, tout pourri, le spectacle a séparé les êtres, la déforestation de NOTRE monde augmente de superficie, on continue d’envoyer au ciel DEUX sapiens pour affirmer qu’on a encore une maitrise *technique* (quand c’est précisément cette technique – prépondérance de cuirasse caractérielle mécaniste – qui est la mort du monde) sur la nature, etc., détérioration de la civilité, de la cordialité, de l’entraide, du bon-soin, perte de l’empathie, du sens commun (collectif !) de la joie et de la danse qu’on ne trouve plus que dans les églises et les rues haïtiennes... les plus pauvres de la planète !
Quand on voit qu’on hésite entre décrire comme révolutionnaire ou fou le fait de se serrer la main et de se faire la bise, on devine l’avancée de l’oppression ; et chez la femme d’autant plus. Du même coup, on constate l’avancée des incivilités... entre les gens. Redouter à tel point la mort, c’est ne plus savoir ce qu’est la vie ou ce que c’est que d’être vivant, de vivre ; ou alors à la manière d’un enfant déjà terrorisé qui, par ailleurs, reproduit – en adulte – le monde à l’identique de son oppression selon le bon vouloir de qui le décide.
Il ne reste plus aux gens que le « core » dans leur cuirasse auquel ils peuvent de temps à autre donner la possibilité de se dilater à travers l’acquisition d’OBJETS et non plus par la communauté de sensations avec leurs congénères dans des activités communes. Aujourd’hui, même quand ils sont ensemble, ils sont séparés par ces objets (chien, smartphone, chat, bagnole, etc.) et maintenant par *l’image* d’un virus.
Quand le gouverneur de NYC dit qu’il est *avec* les manifestations, c’est que le SENS des manifestations lui échappe, totalement; ou bien que le SENS d’une manifestation ne correspond plus à rien de ce à quoi on s’attend : reformuler le monde en détruisant ce qui empêche cette reformulation.
J’ai entr’aperçu quelque chose dans le Constitution kurde, avec ses *assemblés non-mixte de femmes*, avec son autorité administrative systématiquement bicéphale homme/femme (les femmes uniquement élues par les femmes) et ses délégués révocables à tout moment. J’ai réfléchi à pouvoir l’introduire en Europe : les femmes (bien qu’adulées aujourd’hui pour avoir été les « premières » de cordée) ne sont pas assez MATURES pour assumer une assemblée non-mixte de femmes ; que dire des hommes ? Même s’il est décidé une reproduction *active* de la cessation du travail par les gens eux-mêmes (qui trouveront alors les moyens de ne pas en pâtir !) nous n’avancerons pas, à cause de la persistance sans solution à deux problèmes, que seules les femmes peuvent résoudre pour sortir du patriarcat :
- la reproduction du patriarcat chez l’enfant (ou la protection de l’enfance contre le patriarcat) ;
- et les problèmes liés à l’amour vrai, celui des corps, aujourd’hui réglés par le patriarcat.
En dehors de cela, le monde, socialement, ne présente plus grand chose qui vaille, car cette socialité n’est que de marchandise, d’État et de spectacle : le capitalisme qui, même moribond, cache derrière son petit doigt, le patriarcat *en mouvement*.
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