Finalement (hélas !) cette covid-19 est comme une cristallisation de la qualité de l’affectivité sociale présente : acceptation des masques, refus de partage de doses vaccinales, rejet d'autrui qui n'est pas vacciné, flagellation de qui n'obéit pas aux gestes barrière, etc. Négative. Tout le monde s'est approprié cette "maladie" comme la négation de l'autre envers soi qui se voit "mis en danger de mort" au tournant d'un confinement, d'un horaire, d'une distance, d'une parenté, d'un contact, d'une jeunesse.
Le problème corolaire, est que l'animal humain est essentiellement un animal social ... enfin, j'aurais été enclin à le penser, à moins que d'affirmer que l’obéissance pour se protéger d’une « peur de mourir » est l'ultime facteur de cette socialité.
Ici, le produit de ces démarches publicitaires consistant à poser un problème pour le résoudre par un dispositif commercial, l'objectif publicitaire consistera à égarer au sujet sa propre volonté dans l'espoir d'un objet qu'on lui présentera salvateur (et de quoi donc ? de la vie qu'il a consentie à être réduite à une telle misère ?) et qui dominera pour finir son existence... et la sienne seule ou (à ses dires) celles sur lesquelles il fait peser son affectivité.
Mais ceci n’est pas de la socialité, ceci correspond davantage au narcissisme ambiant (le « moi-je ») titillé par le publicitaire. Le publiciste va appuyer sur le "Sauve ta peau, mon gars, tu n'as plus même cela pour toi !". Il a fallu au publicitaire beaucoup d'énergie, de corruption ( jusqu'aux plus hautes instances de l'État et des organisations internationales), de médecins, etc., etc. pour parvenir à effacer l'évidence : si cette maladie a été un court moment dangereuse, elle ne l'est pas restée longtemps, quand tout a été fait pour qu'elle le reste, jusqu'au mensonge d'État avéré.
On sait que l’objectif de la publicité n’est pas seulement de faire acheter, mais aussi de dissimuler qu’on sollicite votre achat... que vous procédez effectivement à l’achat « de vous-même ». Et on ne peut nier que toutes les dispositions actuellement prises, ne sont pas des sollicitations publicitaire, un peu violentes, certes... mais pour vendre quoi ? La peur a guidé nos pas vers notre perte quand nous arrivions à distiller convenablement la fin de l'État.
Mais, que s'agit-il de nous faire acheter, au prix de notre âme ?Je suppose qu'il s'agit de vaccins ! Depuis une année et demi, on nous casse TOUT pour nous faire acheter des vaccins. Longue campagne publicitaire, mais fructueuse, n'est-il pas ? Peut-être la plus rentable depuis longtemps.
On vous vend un vaccin qui n’en est pas un pour un virus qui n’est pas si mortel et ces vaccins sont adressés à des personnes qui ne sont pas concernés. Et tout cela, avec votre consentement éclairé, libre et paraphé.
La capacité à soutenir une tension *avant* la survenue de l'angoisse est corrélative à celle que l'on a de pouvoir jouir de la vie ; dans une autre société, plus orientée vers la santé du plaisir, j'aurais usé d'une formule inverse.
mercredi 23 juin 2021
La covid-19 : la plus grande, longue, large et la plus importante campagne publicitaire
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