mercredi 7 avril 2021

Cessons de prendre les virus pour des cons

[ in english more down, after *****]

 

Ce qui est dit sur *l'adaptation* du virus (ses "variants") me semble tout à fait pertinent.

Et continue de germer en moi cette idée que ce "virus" a une utilité biologique – une *fonction* –, pour qu'il varie tant, qu'il persiste à trouver le moyen "d'exécuter son ouvrage". Et que, de fait, il s'attaque à (il cherche à *réguler*, comme TOUS les virus de cette planète) un *surnombre* de bactéries.

Et il m’est apparu ce fait que je ne connaissais pas ... que ces "bactéries" seraient les mitochondries : ces bactéries commensales indispensables à notre existence qui sont présentent dans chacune de nos cellules. Pourquoi ?

Nos cellules contiennent un *nombre variable* de mitochondries. Je ne suis pas arrivé précisément à connaître les facteurs de cette variabilité. Mais si je pense, je me dis que *moins* UNE seule mitochondrie réussit à transformer les sucres en énergie, *plus* il faut de mitochondries. Hihihi. Et le « surnombre » serait celui-ci...  celui des mitochondries dans nos cellules.

Ainsi, chez les gens qui ont un problème de transformation de sucres en ATP, le virus vient réguler, en pénétrant dans une cellule affaiblie, le *surnombre* de ces mitochondries.

Seulement, le problème reste : celui des sucres et de leur transformation. Arrive l’orage cytokinique, etc., car le virus utilise les sucres non-transformés par les mitochondries, comme je l’avais supposé l’année dernière, en ré-utilisant l’ARN  des ( ! ) mitochondries pour les transformer en ATP dont les cytokines sont friands comme facteur de développement !

Le phénomène de « moins d’efficience conduit à un surnombre » mène à un problème de *place intracellulaire* où trop de mitochondries asphyxie la cellule... qui s’affaiblit.

Le genre de toutes les maladies qui est co-facteur de l'émergence de ce virus, est précisément l'amoindrissement du *fonctionnement* des mitochondries : cancer, d'abord, ensuite, obésité, diabètes, etc., en ce sens qu'elles ne savent plus transformer correctement, les sucres en ATP, en énergie.

Outre, donc, un changement de paradigme chez le malade des sucres, qui doit modifier sa manière de vivre, il existe en plus, des traitements pour cet excès de mitochondries, en ce sens qu’elles restent efficientes suffisamment pour ne pas *étouffer par leur nombre* la cellule. Mais, dans l’immédiat, on ne peut pas « guérir » les gens atteint par ce virus et ses variants. Il faut donc (comme le font les médecins sensés) calmer l’orage cytokinique et calmer le sang qui se coagule... et attendre.

Mais il est certain que les gens doivent SE changer pour percevoir le monde non plus comme une accumulation de sucres, mais comme une dépense d’énergie *gratuite* de la vie qui comprend comment se réguler (bon je suis un peu moral en disant cela, mais quoi ?).

En conséquence de tout ceci, on peut, effectivement, être « porteur » du SRAS-COV 2, sans que cela soit un inconvénient ; et on peut être détecté au PCR sans qu’on soit malade ; et on peut tout faire pour éviter son contact que cela sera inutile. Ce virus a une *fonction* et selon sa nature, il fonctionne ! On ne peut pas « éradiquer » un virus, comme on met un délinquant en prison (et d’ailleurs, est-ce la meilleure des solutions ? e vaut-il pas mieux mettre un politicien ?). Au surplus, comme *fonction*, ce virus est toujours de passage.

Cette société de malades affectifs a perdu tout sens de ce qu’est un *fonctionnement*, c’est-à-dire, l’intégration, l’intrication (ou l’imbrication) de la régulation de la vie par elle-même. Elle a perdu la notion de temps (« On est là pour gagner du temps », dit opportunément le Dr Fouché), et elle a égaré en conséquence la force du temps., sinon que comme briseur de grèves. Le temps n’est qu’une marchandise comme une autre pour le capitalisme ; le temps serait même, selon certains, la marchandise princeps du capital.  On voit qu’à ne rien y comprendre, on égare tout le monde et on pourrit la globalité et la régulation du monde, en affirmant qu’on y comprend rien.


Pour ce qui est de la coagulation du sang : comme le reste, il y a des mitochondries dans les hématites. Comme le virus sras-cov 2 s'occupe du surplus de mitochondries, il abime en même temps l'hématite, la cellule porteuse des mitochondries. La cellule éclate et libère de la fibrine qui est l’élément de la coagulation.....
bon... c'est peut-être un peu tiré par les cheveux, mais que cela se passe au niveau des poumons, c'est que c'est l'endroit où les hématites – qui ont trop de mitochondries – 'fonctionnent' (selon 'leur' fonction qui est de transporter CO2 et oxygène) "le plus mal".

De plus, quand ils parlent du système immunitaire, ils se trompent, à mon avis. Celui-ci ne protège pas des "microbes et autres virus", mais il a la fonction de nettoyer, et uniquement nettoyer des scories des "batailles" entre les virus et les bactéries. Les virus sont les régulateurs du surnombre des bactéries.
Et dans la covid, il s'agit de la mitochondries et son *surnombre* ici et là.

[Je n'avais pas vérifié mon idée, et j'ai cherché sur le web. J'ai trouvé ceci : « Ainsi, l'excès de graisse entraîne des mitochondries plus nombreuses mais mitochondries déformées et qui ne produisent pas l’énergie nécessaire aux cellules. »]


Un vaccin ne fera donc rien contre une maladie civilisationnelle : obésité, diabète, cancer, cœur et vaisseaux sanguins, poumons, etc. (maladies du sucre et de l’expectation – siting on the spot). Et on risque fort d'abimer ceux qui ne lui obéissent pas avec autant d'ardeur... ce qui ajoute à la maladie civilisationnelle, vous comprenez ?

Pour la nature, le virus sras-cov2 est une solution, c'est-à-dire la résolution d'un problème, pas le problème lui-même.

En fait, ce virus était présent (tel quel ou demandant une ou deux variations) dans la nature bien avant qu'il ne surgisse pour résoudre un problème que soulève la civilisation humaine, avec ses maladies humaines.... civilisationnelles !

Et comme c'est précisément cette civilisation qui excite l'existence de ce virus, cette civilisation - ou plutôt : ceux qui la créent... le capitalisme qui cache derrière sont petit doigt le patriarcat en mouvement – ne peut pas comprendre comment s'en guérir.... La *gestion* actuelle de cette maladie finalement bénigne pour le commun des mortels, est désastreuse, comme la gestion générale de la vie.

Et elle emporte tout le monde avec elle, même ceux qui y participent de loin !

Prenons soin de nous !


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What is said about the *adaptation* of the virus (its "variants") seems to me quite relevant.

And I keep thinking that this "virus" has a biological utility - a *function* -, so that it varies so much, that it persists in finding a way to "do its work". And that, in fact, it attacks (it tries to *regulate*, like ALL the viruses on this planet) a *superabundance* of bacteria.

And it occurred to me that I didn't know ... that these "bacteria" would be the mitochondria: those commensal bacteria that are indispensable to our existence and that are present in each of our cells. Why?

Our cells contain a *varying* number of mitochondria. I have not been able to find out precisely what factors account for this variability. But if I think about it, I figure that *less* than ONE mitochondrion is able to convert sugars into energy, *more* mitochondria are needed. Hihihi. And the "more" would be this... the superabundance of mitochondria in our cells.

So, in people who have a problem converting sugars into ATP, the virus regulates the *overcrowding* of these mitochondria by penetrating a weakened cell.

But the problem remains: this about sugars and their transformation. Then comes the cytokine storm, etc., because the virus uses the sugars not transformed by the mitochondria, as I had supposed last year, by re-using the RNA of the superabundance (but impotent !) mitochondria to transform them into ATP which the cytokines are fond of as a development factor!

The phenomenon of "less efficiency leads to more" leads to an *intracellular space* problem where too many mitochondria suffocate the cell... which weakens.

The kind of diseases that are co-factors of the emergence of this virus is precisely the reduction of the *functioning* of mitochondria: first cancer, then obesity, diabetes, etc., in the sense that they no longer know how to transform sugars into ATP, into energy.

In addition to a paradigm shift in the patient's way of life, there are also treatments for this excess of mitochondria, in the sense that they remain efficient enough not to *stifle the cell by their number*. But, in the immediate future, we cannot "cure" people affected by this virus and its variants. So we must (as sensible doctors do) calm the cytokine storm and calm the clotting blood... and wait.

But surely people need to change-themself to perceive the world no longer as an accumulation of sugars, but as a *free* expenditure of energy from life that understands how to regulate itself (well I'm being a bit moral in saying this, but what?).

As a consequence of all this, one can, indeed, be a "carrier" of SARS-COV 2, without this being an inconvenience; and one can be detected by PCR without being sick; and one can do everything to avoid its contact that it will be useless. This virus has a *function* and according to its nature, it works! We cannot "eradicate" a virus, as we would put a delinquent in prison (and besides, is it the best solution? Wouldn't it be better to put a politician in jail?). Moreover, as a *function*, this virus is always in transit.

This society of emotionally ill people has lost all sense of what a *function* is, that is, the integration, the interweaving (or the interlocking) of the regulation of life by itself. It has lost the notion of time ("We are here to save time", says Dr. Fouché opportunely), and it has consequently mislaid the force of time, if not as a strike breaker. Time is only a commodity like any other for capitalism; time would even be, according to some, the princeps merchandise of capital.  We see that by not understanding anything about it, we lead everyone astray and we spoil the globality and the regulation of the world, by claiming that we understand nothing about it.


As for blood coagulation: like the rest, there are mitochondria in the hematites. As the sras-cov 2 virus takes care of the surplus of mitochondria, it damages at the same time the hematite, the cell carrying the mitochondria. The cell bursts and releases fibrin which is the element of coagulation.....
well... it may be a bit far-fetched, but the fact that it happens in the lungs means that this is the place where the hematites - which have too many mitochondria - 'function' (according to 'their' function, which is to transport CO2 and oxygen) 'the worst'.

Moreover, when they talk about the immune system, they are wrong, in my opinion. The immune system does not protect against "microbes and other viruses", but it has the function of cleaning, and only cleaning, the slag from the "battles" between viruses and bacteria. The viruses are the regulators of the bacteria surplus.
And in the covid, it is the mitochondria and its *overcrowding* here and there.



I hadn't checked my idea, and I looked it up on the web. I found this: "Thus, excess fat leads to more mitochondria but deformed mitochondria that do not produce the energy needed by cells. "]


So a vaccine will do nothing against civilizational disease: obesity, diabetes, cancer, heart and blood vessels, lungs, etc. (diseases of sugar and expectation - siting on the spot). And there is a great risk of damaging those who do not obey it so ardently... which adds to the civilizational disease, you understand?

For nature, the sras-cov2 virus is a solution, i.e. the resolution of a problem, not the problem itself.

In fact, this virus was present (as it is or with one or two variations) in nature long before it appeared to solve a problem raised by human civilization, with its human diseases.... civilization's!

And as it is precisely this civilization that excites the existence of this virus, this civilization - or rather: those who create it... capitalism that hides behind its little finger the patriarchy in motion - cannot understand how to cure itself.... The current *management* of this disease, ultimately benign for the common man, is disastrous, as is the general management of life.

And it is taking everyone with it, even those who participate from afar!

Take care of us !

Translated with whelp by ww.DeepL.com/Translator (free version)

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