(in english after ***)
Dans ce papier, je vais repérer les relations entre les différents bastions qui encerclent et protègent le patriarcat en mouvement, dont le bouclier actuel est le capitalisme.
La crise du capitalisme – qui cache derrière son petit doigt le patriarcat en mouvement – est antérieure à l’apparition d’un virus. Le capitalisme a trouvé dans l’apparition d’un virus l’opportunité de faire table rase de toutes contestations auxquelles il devait faire face, et aussi bien un ménage dans son organisation même, en ceci qu’il devait davantage *policer* la société pour continuer en toute *légalité* (c’est lui qui fait les lois auxquelles tous se doivent d’obéir) ses facéties délétères. Il a donné l’opportunité aux gouvernements du monde entier, de statuer de tout en « état d’urgence sanitaire », qui n’est qu’un *état de police* comme un autre.
Le cercle qui protège le patriarcat est composé de bastions tous en relations les uns avec les autres. Ils ont tous pour commun de se montrer comme seule disposition indispensable en évitant qu’apparaisse leur intrication circulaire ; et de montrer du doigt le capitalisme pour dissimuler l’*état d’esprit* du patriarcat. La progression de son emprise sur nos vies, sur la nature – je veux dire celle de ses pollutions – donne l’occasion de passer d’un bastion à l’autre pour révéler cette circularité et son *centre*, à partir de son point d’appui actuel : un virus.
Un virus : quoi et comment ?
Le destin d’un virus est de continuellement muter, de s’adapter. Il a donc une fonction naturelle. De plus, sur un organisme, il ne peut agir seul mais à l’aide d’un co-facteur, une bactérie (raison de l’azythromicyne dans le traitement par hydroxychloroquine) qui amplifie sa « virulence ». Cette bactérie se développe essentiellement sur le sucre. Le virus se développe lui aussi sur le sucre, mais à partir des résidus issus de la transformation de ce sucre par la bactérie. Le virus en question est un virus à ARN, c’est-à-dire qu’il a la même fonction que les mitochondries : transformer le sucre en énergie, en ATP. La présence de cette énergie excédentaire et du virus réveille la fonction des cytokines qui se déploient en surnombre (orage cytokinique) et celui-ci détruit le fragile équilibre d’un organisme *déjà* affaibli par une désorganisation de l’usage de ce sucre (diabète, obésité, cancer, foie, etc.). La qualité sucrée du sang se sature des fibrines de la coagulation, les thromboses apparaissent, la personne décède. L’hydroxychloroquine calme l’action des cytokines, l’azythromicyne (ou l'ivermectine) ralentit le développement de la bactérie co-facteur, le virus n’a plus rien à faire ; prévenir les tromboses avec un anticoagulant ou un fluidifiant sanguin. Apport de vitamine C à forte dose, de vitamine D et de zinc assimilable. La santé réapparaît, sans doute avec des séquelles, suivant la qualité *vitale* des organes atteints. Un sujet sain n’est pas ou peu atteint.
Un virus, d’où ?
Le virus de la covid-19 est essentiellement issu des élevages de visons, renards et autres chiens à fourrure, par un échange continuel entre leurs producteurs et de leurs reproducteurs ; et une adaptation concomitante du virus à son environnement. L’explosion de ce virus est due à un mode de production capitaliste, le mode de production de la marchandise.
Ce sont les échanges de géniteurs entre la Chine et l’Italie et autre Espagne ou Sud-Afrique, qui ont propulsé l’extension chez le vison, renard et autre chien à fourrure, du coronavirus. et de son adaptation au sapiens.
Que ce virus ait ou non été le produit d’une manipulation génétique, n’a pas d’importance en soi ; cela cache même la raison de l’expansion : la production capitaliste de gadgets... ici, destinés aux riches comme marque sociale de classe.
La concentration
Comme pour la production de l’énergie par le nucléaire, ou la production agricole avec ces grandes propriétés, des usines ou des entrepôts, le mortel réside dans la *concentration*, toujours et partout, qu’elle soit de produits chimiques, plastiques ou autres pollutions : la *concentration*. Nous devons revoir *notre* monde sur cette base : la dé-concentration de toute notre production et, par incidence, la gestion drastique de sa pollution qu’a générée cette concentration.
Par sa concentration, ce coronavirus se montre comme le champignon de pourriture du mode capitaliste de production des objets et des êtres. Nous en faisons les frais à plusieurs étages :
- enfermement policier de la société, restriction de la liberté de se mouvoir, de penser, d’aimer, de se rapprocher, de se rencontrer, du hasard, etc. ;
- maladie touchant des gens eux-mêmes malades à cause de ce mode de production (diabète, obésité, cancer, atteinte du foi, etc.) ;
- continuation démentielle de ce mode de production coincé dans entre ses contestations, sa négation qui reste non-mortelle (nous devons devenir mortels pour ce mode de production) ;
- cette pollution qui auparavant n’était que chimique, organique, radioactive, minérale, est devenue aujourd’hui virale.
Le rôle du travail dans la transformation de l’homme en singe
Le travail est la transformation d’une chose en une autre par
- son passage à la fois dans l’esprit humain ;
- et son passage dans les mains (et les outils) de l’humain.
Cette transformation provoque immanquablement une destruction qui se manifeste sous la forme d’un résidu : la pollution. L’obtus de ce travail, depuis le début du chalcolithique, est de se désintéresser totalement de ce résidu, de la pollution que génère ce *travail*.
Cette pollution s’étale sans aucun doute sous forme de résidus, mais aussi bien dans l’aliénation de l’entendement de son action sur le monde de ce *travailleur*. Depuis son existence en tant que classe, initié au néolithique, ce *travailleur* est dépossédé à la fois de son action, du produit de son travail (une société caractérisée, d’abord, par l’instauration de l’État ET de l’impôt : le patriarcat) et de sa responsabilité vis-à-vis de cette pollution.
Le *mode* de production démentielle de millions de visons, chiens et autres renards par *quelques dizaines* de *travailleurs* dans le monde entier en vue d’en soutirer la fourrure, est le point d’expansion de ce virus qui s’étale sur le reste du monde. Nous avons ici un résumé, une *concentration* du résultat de ce mode de production, qu’il intéresse des animaux ou des plantes ou des humains dans leurs villes surpeuplées.
La non-bienveillance
L’entendement général de ce mode de production n’est pas précisément axé sur la malveillance vis-à-vis de la nature ou dans nos relations, mais sur l’achoppement, le désarrois et *l’absence de la bienveillance*, sur cette indifférence globale vis-à-vis de tout ce qui nous concernent, en tant qu’humains. La *non-bienveillance* est le phénix du monde actuel, que ce soit dans ces élevages, la destruction de la nature, ou nos propres relations ; non-bienveillance qui corrèle ce mode de production dit « capitaliste » qui cache derrière son petit doigt le patriarcat en mouvement. Dans les modalités qui font le monde du capitalisme, la bienveillance est impensable : c’est ce qui lui permet de se reproduire et de perdurer et de pourrir notre monde.
Un vaccin de masse
Dans la manière même de prendre soin des malades atteints par ce virus, nous trouvons cette *absence de bienveillance*, non pas dans le bon-soin qu’ils reçoivent dans les institutions (et encore !) mais dans les interdictions émises par les gestionnaires gouvernementaux du capitalisme (l’État ET l’impôt) pour interdire l’expression de cette bienveillance ; tout comme, par ailleurs, la pauvreté intellectuelle, affective, sociale qui a induit ces malades à être des facteurs de co-morbidité de ce virus... et la diminution de la jugeote de ceux qui les soignent. Et, une fois encore, la *concentration* capitaliste se retrouve dans cette image du « vaccin *de masse* », *image* qui dispense de toute bienveillance – car cette *image* transporte *en image* cette bienveillance – quant aux effets incertains ou secondaires au moment où les gens sont tout simplement mal soignés par ce capitalisme.
Rapides exemples de non-bienveillance
Un policier qui fait son boulot n’est pas malveillant, souvent, mais il n’est tout bonnement pas bienveillant : son métier interdit toute manifestation de bienveillance. Les éducateurs ne sont pas malveillants en soi, mais ils ou elles ne peuvent tout simplement pas montrer de *bienveillance* aux enfants dont elles ou ils s’occupent. Le gynécologue n'est pas malveillant vis-à-vis de la parturiente, mais il est vraiment très loin d'être bienveillant envers la naissance. La bienveillance est l’image du désordre, de ce que ces compliqués nomment idiotement l’anarchie qui est pourtant, elle aussi hors des clous de la bienveillance. Élever *en masse* des animaux encagés est manifestement un manque de bienveillance. Ainsi, l’absence de bienveillance est-elle le « trou noir » du capitalisme.
Un virus comme révolte de la non-bienveillance
Qu’un malheureux virus à rhume provoque une telle tentative de remise dans *ses* propres conditions de la nature, nous montre que l’absence de bienveillance se cherche ou se retrouve dans des circonvolutions interminables, des complications incompréhensibles, des cheminements recherchant sans fin un but imaginaire, sans jamais s’atteindre. Chercher des outils aussi compliqués qu’un (ou des) vaccin pour un rhume est démentiel, sinon que dans la seule destinée d’un *espoir de gain*. Cet *espoir de gain* est la matérialisation proprement dite de cette *indifférence à la bienveillance*. Centre du modèle capitaliste, cette recherche perpétuelle et effrénée de la sur-value *abstraite* (mais concrétisée par l’argent) fait l’objet de toutes les protections par évitement, par non-perception ou non-vision, comme la jonction du nerf optique dans l’œil du mode de production du capitalisme (qui cache derrière son petit doigt, le patriarcat en mouvement).
L’espoir de gain
L’*espoir de gain* – dont le cambiste est le modèle – est l’idée focale du capitalisme et l’ensemble du monde humain tourne autour de ce centre, tout, absolument tout : de l’enfant, la femme, le blé, les animaux, la terre, la mer, le ciel, l’activité humaine, l’air, le bruit, la pollution, etc., tout fait l’objet d’un espoir de gain. C’est la maladie qui caractérise la non-bienveillance, ancrée dans les pensées comme un tatouage (volontaire ou non) sur la peau. L’espoir de gain implique la police de tout et impose la police en tout, en évitant de se comprendre dans ce gros lot. Cet *espoir de gain* obnubile tout entendement qui ne rentre pas dans son cadre et, dès lors, fera tout pour trouver une réalisation. Et comme il est strictement instantanéiste, qu'importe pour lui les conséquences que cette réalisation provoque, ou qui lui sont consécutives.
L’espoir de gain semble être de « nature » humaine : non, il est tout simplement une recherche de compensation. Il est de cette sorte de nature humaine qui voit tout selon une *concentration* de la richesse des productions humaines en peu de mains, comme on dit. On le retrouve dans cet *unique* gagnant qui a tout écrasé pour parvenir seul. Mais il est dans toutes les têtes puisque tout le monde jalouse une telle concentration... et y participe, tous étant réduit à du minimum et en particulier, de bienveillance. Tout le monde cherche et court après cette compensation ! L’espoir de gain est le pieux du capitalisme. Il n’est peut-être pas indispensable à l’espoir de gain que les gens soient psychologiquement ou physiologiquement malades, mais il y gagne ; et beaucoup, car il peut alors mettre en place des dispositions policières qui le protègent davantage, des dispositions « financières » derrière lesquelles il cache sa honte et des dispositions « sanitaires » où il retrouve sa circularité : plus de plus, insatiable.
Le prestige et sa transformation de collectif à particulier dans le chef
Chaque élevage de visons, renards et autres canidés est de l’espoir de gain. Ces élevages favorisent l’éclosion de virus qui deviennent à leur tour un espoir de gain, la recherche d’une sur-valeur abstraire – mais concrétisée par l’argent – à tout, vivant comme mort. Cette sempiternelle recherche est un « état d’esprit ». Cet « état d’esprit » découle d’un des aspects grégaires de l’humain : briller aux yeux d’autrui. Il s’agit du *prestige*. Initialement, le prestige revenait en la possession d’un objet *dont on n’est pas propriétaire*, d’un objet collectif qui circulait de main en main suivant certaines règles. Le prestige émanait de la collectivité qui s’y retrouvait aussi bien.
La recherche du prestige a inventé le chef en ce moment précis où ce chef s’est accaparé d’un objet de prestige *collectif* pour en faire un bien *personnel* (prémices du patriarcat et de sa domination – la peur – sur la femme et ensuite sur la nature); et en ce fait corollaire où on l’a laissé faire, par identification. Le prestige a alors trouvé une représentation individuelle : le chef. La maladie de l’espoir de gain était dans les veines de ces gens-là. Car le prestige qui n’est pas « naturel » ou « collectif » (et, en conséquence éphémère) – porté par un objet dont on n’est pas le propriétaire – demande toujours plus, puisqu’il ne porte plus ce « collectif » dans l’âme qu’on lui a attribué. L’objet de prestige de cette sorte – personnalisé – devient alors un *fétiche*. On retrouve ce *fétiche* dans l’espoir de gain.
Le fétichisme de la valeur
Le véritable caractère fétichiste de l’objet qui se trouve dans la marchandise n’est pas dans la *valeur*, comme le dit Marx, mais dans *l’espoir de gain* qui réside dans la tête des cambistes de tous poils en manque de compensation : plus de plus – la sur-valeur dénonçant simplement cet espoir de gain réalisé. Pour être chef, il faut avoir un manque ; manque qu’on trouve à combler dans le pouvoir sur autrui (et non plus dans la conjonction des événements collectifs – Pierre Clastre), pouvoir auquel autrui *obéit* parce qu’il éprouve lui aussi ce manque, en miroir. Le désir de possession de plus de gain, *cet espoir de gain*, représenté par l’accumulation de valeur sous forme de biens, d’argent ou de personnes, est ce *fétiche* dans la tête de tous ceux qui en sont affublés. Ce fétiche et son application portable, le fétichisme, gouvernent par leur intermédiaire, le monde : les fétichistes sont eux-mêmes des objets de cette drôle d’idée du monde dans le drôle de monde qu’ils créent sur du décomposé immature.
Gilets Jaunes
Dans leur refus du chef et pourtant le choix de procéder à leur propre organisation dans l’acceptation du leader choisi, les Gilets jaunes sont sur la bonne voie d’en finir avec ce monde fétichiste du gain et ses virus.
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In this paper, I will identify the different bastions that encircle and protect the patriarchy in movement, whose current shield is capitalism.
The crisis of capitalism - which hides the moving patriarchy behind its little finger - predates the appearance of a virus. Capitalism found in the appearance of a virus the opportunity to wipe out all the contestations it had to face, as well as a clean slate in its own organization, in that it had to *police* society more in order to continue in all *legality* (it is capitalism that makes the laws that everyone must obey) its deleterious antics. He gave the governments of the whole world the opportunity to rule on everything in a "state of health emergency", which is just another "police state" like any other.
The circle that protects the patriarchy is composed of bastions all in relation to each other. What they all have in common is that they all show themselves to be the only indispensable arrangement, avoiding the appearance of their circular entanglement; and they all point the finger at capitalism in order to conceal the "state of mind" of patriarchy. The progression of its hold on our lives, on nature - I mean its pollution - provides the opportunity to move from one bastion to another to reveal this circularity and its "center", from its current point of support: a virus.
A virus: what and how?
The destiny of a virus is to continually mutate, to adapt. It therefore has its natural function. Moreover, on an organism, it cannot act alone but with the help of a co-factor, a bacterium (the reason for the azythromicyne in hydroxychloroquine treatment) which amplifies its "virulence". This bacterium develops essentially on sugar. The virus also develops on sugar, but from the residues resulting from the transformation of this sugar by the bacteria. The virus in question is an RNA virus, i.e. it has the same function as the mitochondria: to transform sugar into energy, into ATP. The presence of this excess energy and of the virus awakens the function of the cytokines which are deployed in excess (cytokinic storm) and this destroys the fragile balance of an organism *already* weakened by a disorganization of the use of this sugar (diabetes, obesity, cancer, liver, etc.). The sugar quality of the blood becomes saturated by the fibrin of coagulation, thromboses appear, the person dies. Hydroxychloroquine calms the action of cytokines, azythromicyne slows down the development of the co-factor bacteria, the virus has nothing more to do. Health reappears, probably with after-effects, depending on the *vital* quality of the affected organs. A healthy subject is not or only slightly affected.
A virus, from where?
The covid-19 virus is essentially derived from the breeding of mink, foxes and other fur-bearing dogs, through a continuous exchange between their producers, their breeders; and a concomitant adaptation of the virus to its environment. The explosion of this virus is due to a capitalist mode of production, the commodity mode of production.
It is the exchange of breeding stock between China and Italy that has propelled the extension in mink, foxes and other furry dogs, of the coronavirus. and its adaptation to the sapiens.
Whether or not this virus was the product of genetic manipulation is of no importance in itself; it even hides the reason for the expansion: the capitalist production of gadgets... here, intended for the rich as a social class brand.
Concentration
As with the production of energy by nuclear power, or agricultural production with these large properties, factories or warehouses, the mortal resides in the *concentration*, always and everywhere, whether of chemicals, plastics or other pollution: the *concentration*. We must review *our* world on this basis: the de-concentration of all our production and, by incidence, the drastic management of its pollution that this concentration has generated.
By its concentration, this coronavirus shows itself to be the rotten fungus of the capitalist mode of production of objects and beings. We are paying the price on several levels:
- police confinement of society, restriction of the freedom to move, to think, to love, to get closer, to meet, to chance, etc. ;
- disease affecting people who are themselves sick because of this mode of production (diabetes, obesity, cancer, faith, etc.);
- demented continuation of this mode of production stuck in its non-lethal negation (we must become mortal for this mode of production);
- this pollution which was previously only chemical, organic, radioactive, mineral, now viral.
The role of work in the transformation of man into a monkey
Work is the transformation of one thing into another through
- its passage through the human mind ;
- and its passage in the hands (and tools) of the human.
This transformation inevitably provokes a destruction that manifests itself in the form of a residue: pollution. The obtuseness of this work, since the beginning of the Chalcolithic, has been to be totally disinterested in this residue, in the pollution that this "work" generates.
This pollution is undoubtedly spread out in the form of residue, but also in the alienation of the understanding of its action on the world of this *worker*. Since its existence as a class, initiated in the Neolithic, this "worker" has been dispossessed both of his action, of the product of his work (a society characterized, first of all, by the establishment of the state AND of imposition: patriarchy) and of his responsibility towards this pollution.
The *mode* of demented production of millions of minks, dogs and other foxes by *some dozens* of *workers* around the world in order to extract their fur, is the point of expansion of this virus which spreads to the rest of the world. We have here a summary, a *concentration* of the result of this mode of production, whether it concerns animals or plants or humans in their overcrowded cities.
Non-benevolence
The general understanding of this mode of production is not precisely centered on malevolence towards nature or in our relationships, but on stumbling, disarray and *lack of benevolence*, on this global indifference towards everything that concerns us, as humans. Non benevolence is the phoenix of today's world, be it in these farms, the destruction of nature, or our own relationships; non benevolence that correlates this so-called "capitalist" mode of production that hides behind its little finger the patriarchy in motion. In the mode that makes up the world of capitalism, benevolence is unthinkable: it is what allows it to reproduce itself and to persist and rot our world.
A mass vaccine
In the very way of taking care of the sick afflicted by this virus, we find this "lack of benevolence", not in the good care they receive in institutions ( and still!) but in the prohibitions issued by the governmental managers of capitalism (the State AND the tax) to prohibit the expression of this benevolence; just as, on the other hand, the intellectual, affective, social poverty that has induced these sick people to be factors of co-morbidity of this virus... and the decrease of the judgment of those who take care of them. And, once again, the capitalist *concentration* can be found in this image of the "mass vaccine", *image* that dispenses with all benevolence - because this *image* carries *in image* this benevolence - as to the uncertain or secondary effects at the moment when people are simply badly treated by this capitalism.
Quick examples of non-benevolence
A policeman doing his job is often not malicious, but he is simply not benevolent: his job prohibits any manifestation of benevolence. Educators are not malicious in themselves, but they simply cannot show "benevolence" to the children in their care. Benevolence is the image of disorder, of what these complicated people foolishly call anarchy, which is also out of the nails of benevolence. Raising *in mass* caged animals is clearly a lack of benevolence. Thus, the absence of benevolence is the "black hole" of capitalism.
A virus as a revolt of non-benevolence
That an unfortunate cold virus provokes such an attempt to put back into *its* own conditions of nature, shows us that the absence of benevolence is sought in interminable convolutions, incomprehensible complications, paths endlessly searching for an imaginary goal, without ever reaching it. Looking for tools as complicated as a vaccine (or vaccines) for a cold is insane, if not in the sole destiny of a *hope of gain*. This *hope of gain* is the actual materialization of this *indifference to benevolence*. At the center of the capitalist model, this perpetual and unbridled search for *abstract* over-value (but materialized by money) is the object of all protection by avoidance, by non-perception or non-vision, like the junction of the optic nerve in the eye of the capitalist mode of production (which hides behind its little finger, the patriarchy in motion).
The hope of gain
The *hope of gain* - of which the trader is the model - is the focal idea of capitalism, and the whole human world revolves around this center, everything, absolutely everything: children, women, wheat, animals, the earth, the sea, the sky, human activity, air, noise, pollution, etc., everything is the object of a hope of gain. It is the disease that characterizes the non-benevolence, anchored in thoughts like a tattoo (voluntary or not) on the skin. The hope of gain involves the police in everything and imposes the police in everything, avoiding itself in this jackpot. The hope of gain seems to be of human "nature": no, it is simply a search for compensation. It is this kind of human nature that sees everything according to a *concentration* of the wealth of human production in a few hands, as they say. We find it in this *unique* winner who has crushed everything in order to reach alone. But it is in everyone's head since everyone is jealous of such concentration... and participates in it, all being reduced to a minimum and, in particular, of benevolence. Everyone seeks and runs after this compensation! The hope of gain is the pious of capitalism. It may not be indispensable to the hope of gain that people are psychologically or physiologically ill, but it does gain; and a lot, because it can then put in place police dispositions that protect it more, and "financial" dispositions behind which it hides its shame, and "sanitary" dispositions where it finds its circularity: moreover, insatiable
The prestige and its transformation from collective to individual in the chief
Every breeding of mink, foxes and other canids is a hope for gain. These farms encourage the emergence of viruses which in turn become a hope of gain, the search for an abstract - but concrete - surplus value to everything, living as well as dead. This never-ending search is a " frame of mind ". This " frame of mind " stems from one of the gregarious aspects of the human being: to shine in the eyes of others. It is the *prestige*. Initially, the prestige came back in the possession of an object *of which one is not the owner*, of a collective object which circulated from hand to hand following certain rules. Prestige emanated from the community that was there as well.
The search for prestige invented the chief at that very moment when he took possession of an object of *collective* prestige in order to make it a *personal* good (the first fruits of patriarchy and its domination - fear - over women and then over nature); and in this corollary fact where he was allowed to do so, by identification. Prestige then found an individual representation: the chief. The disease of the hope of gain was in the veins of these people. For prestige that is not "natural" or "collective" (and therefore ephemeral) - carried by an object of which one is not the owner - always demands more, since it no longer carries this "collective" in its soul that one has attributed to it. The prestige object of this kind - personalized - then becomes a *fetish*. We find this *fetish* in the hope of gain.
The fetishism of value
The true fetishistic character of the object that is in the merchandise is not in the *value*, as Marx says, but in the *hope of gain* that resides in the heads of the traders of all stripes in need of compensation: moreover - the excess value simply denouncing this hope of gain realized. To be a leader, one must have a lack; a lack that one finds to be filled in the power over others (and no longer in the conjunction of collective events - Pierre Clastre), a power to which others *obey* because they too experience this lack, in mirror image. The desire to possess more gain, *this hope of gain*, represented by the accumulation of value in the form of goods, money or people, is this *fetish* in the heads of all those who are afflicted with it. This fetish and its portable application, fetishism, governs through them, the world: fetishists are themselves objects of this funny idea of the world in the funny world they create on immature decay.
Gilets jaunes
In their refusal of the chief and yet the choice to proceed with their own organization in the acceptance of the chosen leader, the Gilets jaunes are on the right track to end this fetishistic world of gain and its viruses.
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