Le maitre-ouvrage de l'humain caractériellement cuirassé consiste à faire du paradis (la planète sur laquelle il pose ses pieds et son dos) un enfer.
Le paradis ce n'est pas ce petit bout d’espace de rien du tout nommé « Éden » mystérieusement placé quelque part sur la planète, non : le paradis c'est tout le reste et l’éden était cet enfer, avec son fatidique Arbre de la Connaissance inventé par Dieu qui a vomi sur l’ensemble du monde.
Depuis le début de son « humanité », l’humain est seul responsable de ses actes... et lui seul l’est, comme tous les animaux. Un jour, il a eu peur des conséquences de ses actes, et pour se décharger de ses responsabilités, il a inventé Dieu. Comme Dieu, l’humain est un lâche. Tant que les dieux ont correspondu à une *sensation* du monde, l’humain s’attribuait encore la responsabilité de ses actes ; dès lors que l’humain a inventé un dieu *autonome*, il s’est déchargé sur Lui de ses responsabilités, car il a perdu, cuirassé, la capacité d’assumer la responsabilité de ce qu’il fait.
Que l’humain cuirassé veuille transformer – ou transforme – son paradis en enfer n'est pas véritablement conscient, mais cette parcelle d’inconscience est sans doute la clé du problème. Les gens ne sont pas volontairement malveillants, mais ils le sont inconsciemment, sans en avoir conscience. Cette *ignorance* est l’expression de cette inconscience des conséquences de leurs actes, ou de l’impuissance à y remédier. La béance de cette inconscience (qui est le filtre psychique qui les *aveugle* (ils sont psychiquement et amoureusement aveuglés par cette ignorance), qui leur obstrue l’entendement, est cette absence de sa propre « connaissance » (pas la reconnaissance de la copulation, mais la connaissance de l’orgasme).
En ayant interdit à l’humain l’accès à l’Arbre de la Connaissance (l'orgasme et sa transe : les humains se sont « connus »), Dieu (l’irresponsabilité de l’humain cuirassé) a transformé le monde en enfer... Il le dit lui-même : « Femme, tu enfanteras dans la douleur » et « Homme, tu travailleras ».
Si Dieu existe, son procès est indispensable et il y sera condamné à vivre la condition d'humain. Il a tenté de s’absoudre de Son péché, dit-on, à travers le Christ... mais ce n’était pas Dieu lui-même, plutôt un subterfuge malheureux : il n’est *pas* passé en procès. Le procès du Christ est une cruelle farfeluterie, une foutaise de parodie du procès de l’ignorance humaine devant la responsabilité de son inertie sur le monde.
Le message du Christ omettait cette « connaissance » et l’incommensurable peur présente chez l’humain d’y accéder sereinement. Le paradis était déjà devenu un enfer, une poubelle de pourriture affective, sexuelle, sociale, environnementale.... parce que l’humain s’était, selon un Dieu jaloux de la femme, « connu », parce que l’humain avait pris connaissance de la puissance de l’orgasme et de sa transe, qu’Il jalousait. Dieu est jaloux de la beauté et de la puissance de la femme, car il ne peut y accéder ! Quand il « connait » la femme, c’est pour s’imposer à elle (parfois même sans copulation), et lui donner la charge de la gestation de son rêve avorté de sauver le monde.
Qui est alors ce Dieu ? C’est précisément cette inconscience dont je parlais plus haut, cette ignorance, dynamisées par la peur de l’orgasme et de sa transe. La haine de la Vie, c’est Dieu. Si tant de gens « croient » en Dieu, c’est qu’ils y reconnaissent leur propre haine de la Vie, que je résume par la haine de l’orgasme et de la transe amoureuse. Dieu est l’exacte mesure de l’inertie caractérielle des masses, de l’enfer dans lequel elles végètent et des éventuelles possibilités qu’elles auraient de pouvoir s’en sortir.
Le paradis ce n'est pas ce petit bout d’espace de rien du tout nommé « Éden » mystérieusement placé quelque part sur la planète, non : le paradis c'est tout le reste et l’éden était cet enfer, avec son fatidique Arbre de la Connaissance inventé par Dieu qui a vomi sur l’ensemble du monde.
Depuis le début de son « humanité », l’humain est seul responsable de ses actes... et lui seul l’est, comme tous les animaux. Un jour, il a eu peur des conséquences de ses actes, et pour se décharger de ses responsabilités, il a inventé Dieu. Comme Dieu, l’humain est un lâche. Tant que les dieux ont correspondu à une *sensation* du monde, l’humain s’attribuait encore la responsabilité de ses actes ; dès lors que l’humain a inventé un dieu *autonome*, il s’est déchargé sur Lui de ses responsabilités, car il a perdu, cuirassé, la capacité d’assumer la responsabilité de ce qu’il fait.
Que l’humain cuirassé veuille transformer – ou transforme – son paradis en enfer n'est pas véritablement conscient, mais cette parcelle d’inconscience est sans doute la clé du problème. Les gens ne sont pas volontairement malveillants, mais ils le sont inconsciemment, sans en avoir conscience. Cette *ignorance* est l’expression de cette inconscience des conséquences de leurs actes, ou de l’impuissance à y remédier. La béance de cette inconscience (qui est le filtre psychique qui les *aveugle* (ils sont psychiquement et amoureusement aveuglés par cette ignorance), qui leur obstrue l’entendement, est cette absence de sa propre « connaissance » (pas la reconnaissance de la copulation, mais la connaissance de l’orgasme).
En ayant interdit à l’humain l’accès à l’Arbre de la Connaissance (l'orgasme et sa transe : les humains se sont « connus »), Dieu (l’irresponsabilité de l’humain cuirassé) a transformé le monde en enfer... Il le dit lui-même : « Femme, tu enfanteras dans la douleur » et « Homme, tu travailleras ».
Si Dieu existe, son procès est indispensable et il y sera condamné à vivre la condition d'humain. Il a tenté de s’absoudre de Son péché, dit-on, à travers le Christ... mais ce n’était pas Dieu lui-même, plutôt un subterfuge malheureux : il n’est *pas* passé en procès. Le procès du Christ est une cruelle farfeluterie, une foutaise de parodie du procès de l’ignorance humaine devant la responsabilité de son inertie sur le monde.
Le message du Christ omettait cette « connaissance » et l’incommensurable peur présente chez l’humain d’y accéder sereinement. Le paradis était déjà devenu un enfer, une poubelle de pourriture affective, sexuelle, sociale, environnementale.... parce que l’humain s’était, selon un Dieu jaloux de la femme, « connu », parce que l’humain avait pris connaissance de la puissance de l’orgasme et de sa transe, qu’Il jalousait. Dieu est jaloux de la beauté et de la puissance de la femme, car il ne peut y accéder ! Quand il « connait » la femme, c’est pour s’imposer à elle (parfois même sans copulation), et lui donner la charge de la gestation de son rêve avorté de sauver le monde.
Qui est alors ce Dieu ? C’est précisément cette inconscience dont je parlais plus haut, cette ignorance, dynamisées par la peur de l’orgasme et de sa transe. La haine de la Vie, c’est Dieu. Si tant de gens « croient » en Dieu, c’est qu’ils y reconnaissent leur propre haine de la Vie, que je résume par la haine de l’orgasme et de la transe amoureuse. Dieu est l’exacte mesure de l’inertie caractérielle des masses, de l’enfer dans lequel elles végètent et des éventuelles possibilités qu’elles auraient de pouvoir s’en sortir.
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